Plaidoirie Sur Le Liseur

considère qu’il faut s’intéresser aux étrangers. En l’an 367, il quitte la Macédoine pour Athènes où il y rencontre Platon. Il est fasciné. Il reste avec lui pendant 20 ans (étudiant, puis assistant). Platon l’aime beaucoup. Platon l’a surnommé « le liseur » ou bien « l’intelligence ». Platon lui porte une grande affection. Aristote se sépare intellectuellement de Platon, il est indépendant d’esprit. Platon accepte.   A la mort de Platon (347) il quitte Athènes et voyage beaucoup surtout en Asie mineur

propre, toujours opposé à ces successions invincibles qui donnent la victoire à l'orateur. C'est pourquoi la vraie prose ne reçoit point ces divisions préliminaires, ces résumés, ces rappels de principes qui sont la forme naturelle du sermon, de la plaidoirie, et des leçons magistrales. Bien mieux, si on allait au détail, on remarquerait que les liaisons de logique détonnent dans la vraie prose. C'est être pédant que d'en user trop ; mais le pédantisme, si bien nommé, est autre chose encore qu'une faute

savoir. Car, en fait, nostr’homme fut pourri d’une maille à l’autre par une syphilis. Il expira au bout d’une pathétique frénésie chansonnière. La salle se vida floup !, le cabaretier barra ses volets. C’était un mulâtre politisé, bon vivant mais liseur de journaux, adorateur d’un autre mulâtre nommé Bissette exilé par les békés après la parution d’un petit livre à la peau rouge. Passé minuit, le mulâtre politisé (bien qu’il soit très peau-blanche, on le criait Chabin car son cœur était nègre)

ou la publicité. Bibliographie Franck Evrard, La Nouvelle, Seuil, « Mémo », 1997. Brèves, une revue au sous-titre parlant : « Anthologie permanente de la nouvelle », éditée depuis 1981. Ressources Internet http://www.centrejacquespetit.com/godenne/liseur/index.php site de René Godenne, un spécialiste de la nouvelle. © Éditions Belin Ouverture du chapitre p. 124-125 Les photographies présentent le monde actuel dans toute sa diversité, parmi les thèmes présents, on peut citer : – Abbas, Enfants