Plaidoyer Pour Défendre Les Fleurs Du Mal

Qu’est-ce qu’un argument ? Qu’est-ce qu’une thèse ? Qu’est-ce qu’un argument ad hominem ? Qu’est-ce qu’une concession ? une réfutation ? un compromis ? une controverse ? un présupposé ? une alternative ? Qu’est-ce qu’une apologie ? un réquisitoire ? un plaidoyer ? une délibération ? un dilemme ? Logique et pseudo-logique : qu'est-ce qu'un syllogisme ? un paradoxe ? une contre-vérité ? un sophisme ? Quelle diférence faites-vous entre implicite et explicite ? Qu'est-ce qu'une liaison logique ? Citez-en plusieurs

l’époque romantique M. Desbordes-Valmore, « Je ne sais plus » G. F. Kersting, La Brodeuse C. Baudelaire, « Parfum exotique » Exercices d’approfondissement 1 A. de Lamartine, Méditations poétiques, « L’isolement » 2 C. Baudelaire, Les Fleurs du mal, « Paysage » 3 F.-R. de Chateaubriand, René 4 Pétrarque, Canzoniere, « En retournant en Italie » 5 A. de Musset, Poésies nouvelles, « Nuit de mai » 6 L. G. Damas, Névralgies, « Quand bien même » Prolongements Séquence 10 Romantisme et engagement

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l'architecture immobile ! Voyez les franges de la mer blanchissant les rescifs, et s'opposant au bleu saphir des eaux ; admirez les galeries, les terrasses bâties en haut de chaque maison et où les habitants viennent respirer l'air du soir parmi les fleurs, entre la cime des arbres de leurs petits jardins. Puis, dans le port, quelques voiles. Enfin, par la sérénité d'une nuit qui commence, écoutez la musique des orgues, le chant des offices, et les sons admirables des cloches en pleine mer. Partout

l'architecture immobile ! Voyez les franges de la mer blanchissant les rescifs, et s'opposant au bleu saphir des eaux ; admirez les galeries, les terrasses bâties en haut de chaque maison et où les habitants viennent respirer l'air du soir parmi les fleurs, entre la cime des arbres de leurs petits jardins. Puis, dans le port, quelques voiles. Enfin, par la sérénité d'une nuit qui commence, écoutez la musique des orgues, le chant des offices, et les sons admirables des cloches en pleine mer. Partout

blanchâtre comme je n’aurais jamais cru qu’un homme eût osé en porter, et dont la minceur n’évoquait pas moins que le frais de la salle à manger, la chaleur et le beau temps du dehors, il marchait vite. Marcel Proust, À l’ombre des jeunes filles en fleurs, 1918. 4 des H istoire Arts Noctambules 1. Surlignez le noyau verbal de chaque proposition. 2. Soulignez les propositions subordonnées et encadrez le mot subordonnant, puis recopiez la proposition principale de chaque phrase. Une . . . . . .après-midi

de la conviction à défaut de talent, des études à défaut de science. Il se bornera du reste à des considérations générales sur l’art, sans en faire le moins du monde un boulevard à son propre ouvrage, sans prétendre écrire un réquisitoire ni un plaidoyer pour ou contre qui que ce soit. L’attaque ou la défense de son livre est pour lui moins que pour tout autre la chose importante. Et puis les luttes personnelles ne lui conviennent pas. C’est toujours un spectacle misérable que de voir ferrailler

quelque lambeau humain, eut une fertilité formidable. De la route, après les pluies de mai et les soleils de juin, on apercevait les pointes des herbes qui débordaient les murs ; en dedans, c’était une mer d’un vert sombre, profonde, piquée de fleurs larges, d’un éclat singulier. On sentait en dessous, dans l’ombre des tiges pressées, le terreau humide qui bouillait et suintait la sève. 9 Une des curiosités de ce champ était alors des poiriers aux bras tordus, aux nœuds monstrueux,

l'auteur d'un livre qui a fait beaucoup de bruit : Berlin, Alexanderplatz. Il y dépeint, avec une verve un peu lourde, mais avec une bonne foi, une sympathie, une honnêteté qu'on ne peut qu'admirer, le monde interlope qui grouille dans ce quartier mal fréquenté où il exerce les fonctions de médecin. Un souffle épique traverse les pages de ce livre, le premier peut-être qui fasse voir Berlin dans sa vie profonde, animale et dangereuse.Je me demande pourquoi le Dr Döblin qui pouvait, si notre enquête

l’architecture immobile ! Voyez les franges de la mer blanchissant les récifs, et s’opposant au bleu saphir des eaux ; admirez les galeries, les terrasses bâties en haut de chaque maison et où les habitants viennent respirer l’air du soir parmi les fleurs, entre la cime des arbres de leurs petits jardins. Puis, dans le port, quelques voiles. Enfin, par la sérénité d’une nuit qui commence, écoutez 9 la musique des orgues, le chant des offices, et les sons admirables des cloches en pleine mer. Partout