Plaisir De La Lecture Roman

basée sur l’imagination de l’auteur. La vérité ne doit pas nécessairement être objective, et la littérature n’est pas un « jeu de dilettante ». Proust donne à la littérature un rôle de révélateur de la vérité du monde au travers de l’expérience de la lecture, elle est la « vraie vie » non pas au sens où lire un livre équivaut à vivre réellement une histoire mais elle éclaire une réalité du monde par l’expérience livresque. Cette réalité de l' « art véritable » s’oppose aux « connaissances conventionnelles »

oublier sa condition de mortel. Les spectateurs vont au théâtre pour « passer un bon moment », les lecteurs de roman s’attachent à des personnages dont ils suivent avec émotion le parcours. Les auteurs de romans policiers de nos jours emmènent leurs lecteurs dans un parcours plein de mystère qui les intrigue et proposent à leur sagacité une énigme à résoudre ; les nouvelles et romans fantastiques transportent dans un autre monde, dépaysent . Un auteur peut aussi mettre sa plume au service de

Voilà quelques semaines que je n'avais pas pris autant de plaisir à la lecture d'un roman. Et pourtant, rien ne me destinait à ouvrir ce livre... En effet, ni le titre, ni la couverture n'auraient, je pense, attiré mon regard dans les rayons de la librairie. Or il se trouve que cette fois là, j'étais en compagnie de mon doux et tendre, et qu'il a fortement participé à entretenir mon vice en faisant sa propre sélection de livres. Ce petit roman était donc sur nos étagères à attendre patiemment que son

Original ? Suffisamment étoffé ? Présente-t-il plusieurs degrés de compréhension et d'analyse ? -> J'ai déjà lu des romans aux scénarii supers intéressants mais très survolés. Cela perdait beaucoup de son charme car il y avait un fort potentiel mais il était mal exploité. Une sensation d'inachevé venait donc clore l'ouvrage. Et le scénario, c'est quand même la chose principale d'un roman non ? -> La galerie de personnage est-elle fournie ? ou au contraire pauvre ? Est-ce bien ou au contraire est-ce

marche à la mort, Vanina revient à Rome pour épouser un prince. Commentaires Constat : classe en logistique transport de 30 élèves dont 6 filles. Ils n’aiment pas lire ou sont mauvais lecteurs mais ils « adorent » qu’on leur fasse la lecture, une belle lecture (important pour la seconde séance) Les élèves vont pouvoir s’identifier ou non aux deux personnages principaux + les faire réfléchir, les faire lire et les faire écrire Intérêt de l’œuvre : texte court, facile à lire Personnages archétypes+

Malgré la remise en cause dont il a fait l'objet par les auteurs du Nouveau Roman, le personnage reste un élément fondamental de la fiction romanesque. Il entretient avec le lecteurune relation spécifique, différente de celle qui s'établit avec le spectateur rt le personnage de théâtre : elle repose souvent sur une convention. Qu'y a-t-il donc de particulier dans la constitution du personnage de roman ? Est-il indispensable qu'il soit entièrement calqué sur le réel ? En fait, il évolue entre deux

Montpensier. Le sujet de ce texte sera très proche du roman La Princesse de Clèves qui parut en 1678. Mme de la Fayette s’est inspirée de ce premier texte qu’elle a écrit et l’a fait devenir un roman. Il s’agit dans les deux textes d’une princesse qui se laisse prendre au piège d’un amour interdit et qui connaît un destin funeste. 2) Situation de l’extrait dans l’ensemble de l’œuvre : L’extrait proposé se situe dans la première partie du roman, Mme de Chartres introduit sa fille à la cour d’Henri

Fiction = apologues (roman, théâtre, poésie), incite à réfléchir sur l’homme et le monde. La thèse = le recours à la fiction est efficace ; pourquoi ? ; atouts et moyens pour argumenter Problématique : pourquoi une argumentation reposant sur la fiction serait-elle plus efficace que les genres d’argumentation directe pour susciter la réflexion ? Comparer la fiction (argumentation indirecte) l’argumentation directe : faits irréels, fictifs, contre faits réels Ouverture : parler des limites de la fiction

Les lectures d’Emma au couvent : partie I, chapitre 6 (pages 52-53) Il y avait au couvent une vieille fille qui venait tous les mois, pendant huit jours, travailler à la lingerie. Protégée par I'archevêché comme appartenant à une ancienne famille de gentilshommes ruinés sous la Révolution, elle mangeait au réfectoire, à la table des bonnes soeurs, et faisait avec elles, après le repas, un petit bout de causette avant de remonter à son ouvrage. Souvent les pensionnaires s'échappaient de l'étude

des amitiés dites « banales » que l’on peut étudier dans ces textes. En effet, le texte trois traite d’une amitié dite compassionnelle, fraternelle, dût à une situation obligeant les individus à éprouver une certaine forme de solidarité. Dans ce roman de Malraux les jeunes Chinois sont dans la même situation au même endroit au même moment, ils ne se voient pas, ne se connaissent pas et pourtant sont liés par la situation qu’ils sont en trains de vivre ensemble. Face à un mur ils préfèrent se donner