Plan Discours Vautrin Rastignac

liaison d'Hector avec l'avide Josépha ; enfin, elle espérait que personne au monde ne connaissait ses douleurs. Or, si Crevel parlait si lestement des dissipations du baron, Hector allait perdre sa considération. Elle entrevoyait dans les grossiers discours de l'ancien parfumeur irrité, le compérage odieux auquel était dû le mariage du jeune avocat. Deux filles perdues avaient été les prêtresses de cet hymen, proposé dans quelque orgie, au milieu des dégradantes familiarités de deux vieillards ivres

prêche (preek): mettre le croyant en position de choisir entre deux voies, l'une étant censée être celle de la tentation et l'autre celle de la rédemption (verlossing). Il y a donc bien ici une parodie du discours parabolique (als in een gelijkenis) et moral (zedelijk, moreel) de l'Eglise. Le discours moral tombe a fortiori (des te eerder) en quenouille (tomber en quenouille : opgegeven worden) au couplet suivant, où le fruit de cette réflexion délibérative est annulé par le choix réel de l'animal, dont

sa mère Françoise Thibaud et le couturier Jean-Claude Jitrois pour elle ; le producteur Jean-Claude Camus et l’animateur de télévision Guillaume Durand pour lui. Après les engagements des deux nouveaux époux, le maire, sacrifiant au traditionnel discours, ne peut s’empêcher d’y ajouter une touche personnelle qui suscite de nombreux rires complices parmi l’assistance : « Tu sais, Johnny, je connais certainement mieux que toi les paroles de tes chansons. Je te rappelle aussi que je suis le président

reforms. The most significant, Alain Chartier’s Quadrilogue invectif (1422), took France to task for failing to resist the conquering Henry V, and allowed Peuple to speak of its poverty, the Nobility to lament its decline and the Clergy to outline a plan for national revival. THE MIDDLE AGES 21 These developments reflect a change in the concept of history. Knowledge of the past was derived initially from Latin sources and the first histories were written by monks, like Raoul Glaber (c.950–

l'universelle analogie", tout étant "significatif, réciproque, converse, correspondant" (Pl. II, p. 133), et à ce moment insiste plus nettement que dans le sonnet sur le fondement transcendant du symbolisme ainsi défini, et comme gagé mystiquement. Au plan non plus mystique, ou spéculatif, mais poétique, on voit dans la suite du sonnet qu'un des outils privilégiés de cette visée analogique est la synesthésie -déjà commentée, à partir d'Hoffmann, dans un passage du Salon de 1846 (Pl. II, p. 425-426),