Planche Maçonnique

A  LA  GLOIRE  DU  GRAND  ARCHITECTE  DE  L’UNIVERS   Groupement  Maçonnique  de  Loges  Mixtes  et  Indépendantes       RøEøAøAø         La  PERSEVERANCE       Travail  au  2er  degré     «  Je  suis  un  Compagnon  et  je  le  dis»         Par  William  L.               Ecrite  9  avril  2011   Lu  le  6  février  2012   1     Vénérable  Maitre  de

peut détruire cette lumière intérieure qui nous anime et ne demande qu’a s’épanouir » en effet l’être Humain est imparfait, car toujours soumis à des passions et des excès qui peuvent conduire aux pires extrémités, je fais référence là à la Planche de Mon Frère Éric qui a si bien traité ce sujet dernièrement. Tendre vers la perfection est un but en soi, mais l’atteindre est tout à fait utopique, car si l’homme parfait existait il ne serait pas ce qu’il est, c’est pourquoi je dirais plutôt « 

source d’éclairage selon le dictionnaire et est également définie de différente manière selon le domaine d’activité certaines personnes. En effet c’est ce qui va nous amener à nous intéresser à la lumière sur le plan profane –religieux et maçonnique. A-la lumière chez profane Pour un profane la lumière n’est qu’une source d’éclairage qui permet de voir dans l’obscurité. Malgré qu’elle est définie de différente manière dans différent domaine d’activités ;par exemple pour un physicien

A  LA  GLOIRE  DU  GRAND  ARCHITECTE  DE  L’UNIVERS   Groupement  Maçonnique  de  Loges  Mixtes  et  Indépendantes       RøEøAøAø         La  PERSEVERANCE       Travail  au  2er  degré     «  Je  suis  un  Compagnon  et  je  le  dis»         Par  William  L.               Ecrite  9  avril  2011

physiques, morales ou intellectuelles qui permettent à une personne de s’imposer ou de réagir. Il y a de nombreuses définitions dans le dictionnaire, mais la question que je me suis posée en ayant eu le sujet de ma planche, c’était comment la Force fait-elle partie de ma vie maçonnique, de ma quête spirituelle, de cette démarche volontairement entreprise, dans laquelle je me pose encore tant de questions, pour lesquelles ne n’ai pas trouvé de réponses. Mais, petit à petit, avec l’aide des symboles

gobelet et les raisins" s'assemblèrent pour former une grande loge. Cette grande loge devient l'organe supérieur chargé de la régularité des groupes existant et l'ouverture de nouvelles loges. Le banquet est une des plus vieilles traditions maçonnique. Il s'est rapidement transmis en France, où fut établi un cérémonial : porté des santés sous la conduite du VM qui règle aussi la progression du service. Ne pas parler à haute voix, ni de fumer et toujour sous l'autorité du VM.

toute la symbolique de la loge agissant comme un aide-mémoire. Il concentre en une surface déterminée les symboles disposés de façon préétabli. Ils sont différents selon le grade auquel travaille l’atelier. Dans certains rituels, les symboles maçonniques sont tracés à même le sol au début de la tenue puis sont ensuite effacés. Le tracé de loge fait partie intégrante de leur cérémonie d’ouverture. Comme ce travail d’écrire puis d’effacer devenait fastidieux, on finit par les peindre sur une toile

cette précision nous pouvons faire ici une difference importante en etre et paraitre En effet le tablier est le seule insigne distinctif du franc macon .L'expression ceindre le tablier est synonyme de devenir franc macon. Le tablier est un habit maconnique . Or le mot habit vient du latin "habitus" ,qui signifie manière d'être.Tandis qu'un vetement a comme fonction de recouvrir ,de vetir.Le travail maconique n'a aucune considération pour le paraitre,pour les vetures honorifiques au moins ils n'ont

Le dégrossissage de la pierre brute correspond à la fois au gros oeuvre de l’alchimiste et à l’organisation du monde par son créateur. Dégrossir la pierre brute est donc le travail essentiel de l’apprenti. L’apprenti d’ailleurs par l’initiation maçonnique (qui est une nouvelle naissance) retrouve l’état de la nature, il se débarrasse de tout ce que la société a pu lui apporter d’artificiel et de mauvais et retrouve aussi tout ce qu’elle lui a enlevé de spontané et de bon. Il retrouve la liberté de

symbolique qui entoure les premières étapes de l’initiation : la coupe d’amertume. L’apprenti, avant de se lancer dans un tel travail d’architecture et d’y faire naitre des idées personnelles, doit nécessairement étudier son sujet : ouvrages divers, planches d’autres frères, dans d’autres loges voire d’autre obédiences. M’étant livré à cet exercice je suis resté d’abord assez perplexe. En effet, en fonction des FF qui s’expriment, cette partie du rituel est assez souvent décrite comme parfaitement accessoire