Plante génétiquement modifiée

environnements, les milieux naturels y compris les différentes espèces y vivant. Schéma : Son rôle : La biodiversité a donc un rôle primordial sur l’existence de l’homme : elle lui permet de se nourrir (végétaux, viande…), de se soigner (les plantes…), de purifier l’air (les arbres absorbent du CO2 et rejettent de l’oxygène), de se chauffer (les arbres)…. Sans la biodiversité, l’existence humaine est menacée. La diversité biologique est distribuée de manière très irrégulière sur terre, mais

dans el sang, il ne provoque donc pas d’allergies. Les chercheurs se demandent si on pourra fabriquer suffisamment de sang avec cette nouvelle innovation. Une autre équipe travaille sur des plants de tabac génétiquement modifiés et qui produisent de l’hémoglobine. Cependant, l’hémoglobine produite par les plants de tabac est toxique pour les reins et se dégrade trop rapidement. Le problème pourrait être enlevé en enfermant les protéines d’hémoglobines dans les cellules rouges synthétiques. b• Les

Les plantes hébergeant Thr304 PDS ont eu une résistance maximum au rapport de la sensibilité (R/S) 57 et 14 fois de plus haut que cela du type sauvage pour des traitements avec le norflurazone et le fluridone, respectivement. Ces usines ont montré la croissance et le développement normaux, même après l'exposition à long terme à l'herbicide. Car Thr304 PDS est d'origine végétale, il pourrait devenir plus acceptable que d'autres marqueurs sélectionnables pour l'usage en nourriture génétiquement modifiée

affirment que les OGM sont contraints par les lois de la reproduction et qu'ils ne devraient pas exister. SOURIS KNOCK-OUT Les souris qui sont placé au-dessus du sous-titre sont des souris knock-out, se sont des souris domestiques qui ont été génétiquement modifié non pas afin d'activer de nouveaux génes, mais pour en désactiver dans les cellules souches de celles-ci. Ces cellules souches en question sont toutes identiques, donc elles sont pluripotentes. Pourquoi voudrais-t-on désactiver des gènes

ont mis au point des variétés stériles. Plus étonnant encore, certaines semences génétiquement modifiées sont désormais dotées d’un gène faisant office de mécanisme autodestructeur, annihilant la semence au bout d’un certain temps. On parle de « gène répresseur » ou de « toxine- suicide ». Leur fonctionnement est analogue à celui d’une carte téléphonique à puce dont le crédit s’épuise. La semence est génétiquement programmée pour mourir après un premier fonctionnement. La plus connue fut celle de

d’intérêts économiques importants. En 1999, un chromosome humain, le 22, est séquencé et, le 14 avril 2003, la fin du séquençage du génome humain est annoncée. L’homme est loin d’être le seul sujet d’étude en génétique puisque certaines plantes génétiquement modifiées, les fameux OGM, sont déjà commerciali sées. De ce fait, entre autres, la bioéthique est devenue un sujet de plus en plus présent pour les chercheurs. Le but principal de la bioéthique est de contrer l’eugénisme tout en permettant à

est nécessaire Principe de précaution • Les ingrédients, technologies ou procédés pouvant engendrer un risque pour la santé ou l’environnement ne sont pas autorisés. • Non autorisés: – Nanoparticules (particule size < 100 nm) – Organismes génétiquement modifiés (OGM) et dérivés (contamination < 0.1%) – Pas de gamma and x-ray irradiation – Pas de test sur animaux pour les produits finis et sur les matières premières/ingrédients sauf si imposé par la loi Origine et procédés d’obtention des

particulier dans le domaine du vivant. Déjà le Plant Patent Act (1930) aux Etats-Unis avait introduit une modification en supprimant la différence traditionnelle entre le vivant et l’inanimé et en la remplaçant par l’opposition entre le naturel et l’artificiel. Le brevetage des plantes obtenues artificiellement était donc autorisé. Cette disposition s’est appliquée essentiellement aux plantes environnementales. Plus tard, dans les années 1970, fut voté le Plant Variety Protection Act, concernant plus de

conséquences économiques considérables. De plus, nous constaterons qu’une évolution des consommations et des pratiques alimentaires sont étroitement liées à une alimentation dite de qualité (agriculture biologique), à une alimentation génétiquement modifiée. On ignore à ce jour ses effets, négatifs ou non sur la santé. Nous verrons également que la recherche de profit n’a plus de limite, l’homme veut produire à moindre coût et en grande quantité, mais il s’expose alors à des risques insoupçonnés

espèces, des gènes et des écosystèmes. La biodiversité est également l’ensemble de toutes les relations que partagent les êtres vivants entre eux, comme la coopération, le partage, l’instinct de survie ou bien de chasse… Représentante à la fois des plantes, des animaux et des hommes, la biodiversité désigne la vie dans tous ses aspect, qu’ils soient visibles ( océans, éléphants, forêts…) ou invisibles à nos yeux ( bactéries, virus…). Que ce soit par le biais de l’homme ou par des moyens naturels, la