Platon Théétète Thalès

constituer un savoir) 4. Le savoir lui-même (conceptuel, enseignable, exprimable) Exemples : mathématiques, technique artistique mais pas génie Sophia : savoir (intuitif, non exprimable, strictement personnel) « Philosophie »vient du grec « sophia ». Platon : « Amour immodéré du Savoir ». De la sagesse, de la vérité Au XIX, il y avait trois visions différentes de la philosophie – Les anglais : épistémologie — interrogation essentielle sur la pratique des sciences. – Les français : « Comment à partir

  Le miracle grec a consistait dans le passage d’une civilisation orale à une culture écrite   Mais également dans le passage d’une parole poétique et prophétique avec les premiers auteurs (Homère, Hésiode) à un discours logique et démonstratif (Platon, Aristote)   Et encore, les Grecs ont inventé la logique, l’induction, la déduction, le syllogisme, le principe d’identité,…le théâtre, le rapsode,…la tragédie (Eschyle, Sophocle et Euripide) et la comédie (Aristophane), l’Histoire (Hérodote, Thucydide)

réalité et transforme cette réalité. Ici contrairement à ce qu’on va trouver chez les modernes, il n’y a pas de scission entre la vérité et la réalité. Leçon inaugurale du collège de France : « L’Ordre du discours », Foucault : entre Hésiode et Platon : s’est opéré un nouveau partage à travers lequel la vérité s’est trouvé redéfini. L’idée sur laquelle insiste Foucault c’est que dans un premier temps avec ces rois de vérité, le discours vaut par son énonciation et donc pour pouvoir valoir, ce discours

Premières traces : Préhistoire et Antiquité 4.1.1 Préhistoire 4.1.2 Mésopotamie 4.1.3 Égypte pharaonique 4.1.4 Chine de l'Antiquité 4.1.5 Science en Inde 4.2 « Logos » grec : les prémisses philosophiques de la science 4.2.1 Présocratiques 4.2.2 Platon et la dialectique 4.2.3 Aristote et la physique 4.3 Période alexandrine et Alexandrie à l'époque romaine 4.4 Ingénierie et technologie romaines 4.5 Science au Moyen Âge 4.5.1 En Europe 4.5.2 Dans le monde arabo-musulman 4.6 Sciences en Chine

inconscient. Ainsi, ayant perdu ses assises sacrées, la parole devra justifier autrement sa puissance d’une part, et d’autre part, n’étant plus l’expression de l’absolu, elle devra chercher ailleurs les motifs de sa validité. Philon, à la suite de Platon et d’Aristote évidemment, témoigne de la solution qui fut donnée à ces problèmes. D’un côté « Dieu », la transcendance, Idées ou Etre. De l’autre, « les fonctions naturelles », la physique (phusis), le pneuma, la matière. Donc la dualité, l’invention

Introduction aux grands courants de la philosophie (Marianne Sluszny) Ce syllabus a été revu partiellement cette année. Rédigé et revu cette année : Le cours 1 : Introduction. Le cours 2 : Les présocratiques Le cours 3 : Socrate et Platon Le cours 7 : Descartes Les cours 8 et 9 : Les Lumières Philosophiques Le cours 10 : Hegel Non revu cette année mais ok : Le cours 11 : Marx Le cours 12 : Nietzsche. Attention donc : imprécisions, explications insuffisantes ou changement dans l’exposé cette année

Socrate 1/ Vie de Platon 2/ Mort de Socrate 3/ Socrate ou la vie de l’esprit par la parole Séance 2 : Platon ou la parole philosophique Séance3 le Phèdre : un dialogue déroutant 1/ Plan : une structure théâtrale Séance 3 Le prologue 1/ Les personnages présents et évoqués : Phèdre, Socrate, Lysias et sa famille, Isocrate 2/ Le cadre spatio-temporel : lieux, dates, actions. Une géographie théâtrale (Derrida 77). Séance 4 La question des mythes Intro : • mythe et philosophie • Platon décrit le crépuscule

régime politique lié à l’ethos de la Cité, mais sans lui ôter une dimension polémique typique des débats d’idées chez les anciens Grecs. En effet, des politeiai idéales se sont multipliées chez les théoriciens grecs : les modérés ou conservateurs, tel Platon, ont pour but de diminuer la licence populaire ; d’autres au contraire, tel Démosthène, veulent lutter contre la tyrannie et l’autorité personnelle. Mais au-delà de cette dimension strictement politique et polémique, Aristote fait de la Constitution

d’anomalies génétiques ; dans la culture, ceci est plus net encore : un environnement défavorable, une éducation défaillante, peuvent contribuer à ce qu’un enfant ne développe pas ses possibilités, ou développe des potentialités mauvaises. C’est ainsi que Platon disait qu’un homme doué d’une intelligence hors du commun peut, en l’absence d’une éducation saine et au sein d’une société corrompue, mettre toute l’acuité de son intelligence au service du mal. D’où la portée considérable aussi de la réflexion de

l'idée d'un cercle. Les grandes figures de ces nouvelles mathématiques sont Thalès (-625 – -547), Pythagore (-580 – -490) et l'école pythagoricienne, Hippocrate (-470 – -410) et l'école de Chios, Eudoxe de Cnide (-408 – -355) et l'école de Cnide, Théétète d'Athènes (-415 – -369) puis Euclide. Il est probable que cette école grecque des mathématiques ait été influencée par les apports mésopotamiens et égyptiens. Ainsi Thalès voyagea en Égypte, et il a pu rapporter en Grèce des connaissances en géométrie