Plaute Harpagon

au cours des fêtes données en l'honneur de Dionysos, les grandes Dionysies. Par opposition à la tragédie, qui mettait en scène des personnages de haut rang (princes et rois), elle était considérée comme un genre mineur. Aristophane, en Grèce, puis Plaute et Térence, à Rome en sont les plus illustres représentants. • En France, la farce est particulièrement présente au Moyen Âge (xiiie -xvie siècle). Elle se donne alors en plein air, à l'occasion d'une fête. L'intrigue (généralement une grossière

surtout de la bourgeoisie dont il dénonce les travers (prétention nobiliaire, place des femmes, mariage d'intérêt…), Molière a créé en même temps des personnages individualisés emblématiques et approfondis dont la liste est longue : Monsieur Jourdain, Harpagon, Alceste et Célimène, Tartuffe et Orgon, Dom Juan et son valet Sganarelle, Argan le malade imaginaire… Contrairement à la presque totalité des auteurs de comédie de son temps, l'invention dramatique de Molière s'appuie peu sur l'imitation de modèles

présente une exagération du vice d’Harpagon. En premier lieu, lorsqu’il se plaint de toujours devoir débourser de l’argent. Au cours de la préparation de la réception, Harpagon s’entretient avec Maître Jacques. Il lui demande s’il lui préparera un bon repas. Maître Jacques lui répond qu’il le fera à condition d’avoir de l’argent. Harpagon est outré et s’exclame : « Que diable, toujours de l’argent! Il me semble qu’ils n’aient autre chose à dire : « De l’argent, de l’argent, de l’argent » Ah! Ils n’ont

La comédie met en scène des personnages qui ont des défauts, des vices. Pour faire rire, l'auteur accentue volontairement à l'excès ces défauts. Ainsi, M. Jourdain (Le Bourgeois Gentilhomme, Molière) est obnubilé par son désir de devenir noble, Harpagon (L'Avare, Molière) est soucieux du moindre sou... Les auteurs de comédie usent et abusent des bons mots en faisant de la langue française un vivier de jeux de mots, de calembours, de déformations possibles... En jouant sur les mots, sur la langue

suffisent. En revanche, tu peux caractériser le monologue plus précisément (résumé, registre) Le personnage d’Harpagon se montre dans cette scène particulièrement nerveux. En effet, nous avons pu remarquer la rapidité et l’impulsion avec laquelle Harpagon a réagi lorsqu’il s’est aperçu du vol de sa cassette. Lorsqu’il dit : « que ferais-je pour le trouver ? où courir ? où ne pas courir ? N’est-il point là ? N’est-il point ici ? » Le protagoniste ne sait pas où chercher, il ne sait pas qui aurait

de l'acte V de cette œuvre qui nous raconte un conflit entre Valère et Harpagon. Nous allons voir en quoi le conflit entre les deux personnage est d'un genre plutôt comique. Dans une première partie nous allons étudier la nature des deux personnages et dans une seconde partie les comiques utilisés pour rentre cette scène divertissante. Les deux personnages de cette scène ont un différent, Valère veux demander à Harpagon la main de sa fille alors que ce dernier pense que Valère lui a voler toute

convaincre Harpagon d’épouser Mariane. IP1 Différence d’âge * IS1 Éloge des vieux Fond : Mariane préfère les vieux Forme : Champ lexical de la vieillesse (vieillard, barbe, lunette, sexagénaire, marques, etc) * IS2 Dévalorisation des jeunes Fond : Les jeunes sont de beaux godelureaux Forme : Une aversion épouvantable pour tous les jeunes gens et n’a d’amour que pour les vieillards. (antithèse) Texte d’analyse Dans l’Avare de Molière, Frosine essais de convaincre Harpagon d’épouser Mariane

Beaucoup d’hyperboles qu’il emploie dans son monologue grossissent la situation (lignes 2, 9-10, 11, 26). Ressemblance entre justice et juste Ciel : Harpagon fait sans doute appel « aux forces du Ciel », à Dieu pour punir et l’aider à retrouver son argent pour pouvoir tout remettre en ordre. Il vient à s’accuser lui-même, ligne 5-6. Harpagon personnalise son argent pour prouver l’importance qu’il a à ses yeux. L’argent est d’ailleurs tellement important pour lui qu’il finit par lui parler, lignes

écrite en prose. Molière a écrit cette pièce de théâtre sous le règne de louis XIV a Paris durant la période du classicisme. La pièce de théâtre a aussi eu une adaptation cinématographique avec louis defunes dans le rôle de l’avare, Harpagon. Résumé : Harpagon, veuf qui est le père de deux enfants, leur impose, comme à ses domestiques, des conditions d'existence indignes, du fait de son avarice de bourgeois pourtant riche qui fait obstacle à leurs amours respectifs. Sa fille, Élise, est amoureuse

premières scènes introduisent les personnages. Mais dans l’Avare, Molière les définit par couples amoureux, dans un premier temps Elise et Valère, puis Cléante et Mariane. Un seul personnage s’oppose à la conception de l’amour réciproque, Harpagon. En effet, Harpagon défend une pratique très courante au XVIIème siècle, le mariage d’intérêt. Il est donc pertinent de confronter les deux visions de l’amour et du mariage présentées par Molière dans l’Avare et de tenter de déterminer les raisons pour lesquelles