Plèbe

coercition et de juridiction sans garantie de procédure sur leurs troupes sur leurs ennemis. Après, ils peuvent devenir proconsul et présider une province. Il y a d’autres postes mais qui ne font pas partie du cursus honorum : _ Les tribuns de la plèbe : ils ne sont pas des véritables magistrats à l’origine. Les tribuns les intérêts des plébéiens. Ils ne peuvent quitter Rome, sont inviolables et jouissent du d’intercession (jus intercessionis) , sauf à l’égard des décisions des censeurs. Ils peuvent

testament (jus commercii)droit de mariage (jus conubii)droit d'intenter une action judiciaire (jus legis actionis)droit de porter la toge (interdit aux non-citoyens) et la tria nomina (prénom, nom de famille et surnom)droit à l'assistance d'un tribun de la plèbe pour sa défense (jus auxilii)droit d'être jugé selon le droit romaindroit de faire appel au peuple dans les procès criminels (jus provocationis), excepté dans l'armée où le consul à droit de vie et de mort sur les soldats. Sous l'Empire on peut faire

année de la mort de Crassus, il devient l’amant de Fausta, fille de Sylla et femme de Milon et se fait surprendre en plein adultère. Cette aventure en fait lun des adversaires les plus résolus de Cicéron et Milon. - En -52 se fait nommer tribun de la Plèbe - En -50 il est exclu du sénat par les censeurs (pour ses mœurs et par rancune politique) - En -49 César le fait à nouveau élire questeur pour qu’il puisse revenir au Sénat - En -47 manque de se faire assassiné pdt la guerre d’alexandrie ; il a

même manière, il décide de la paix et de la guerre. Il recommande les candidats aux magistratures, y compris aux postes de gouverneur des provinces sénatoriales. Il est détenteur de la puissance tribunicienne : cet ancien pouvoir des tribuns de la plèbe permet à l’Empereur de s’opposer à la décision d’un magistrat romain et porter assistance à tout citoyen qui fait appel à lui. Régulièrement au long de son règne, l’Empereur exercer, avec un magistrat qu’il veut honorer, le consulat. Deuxième partie

espèce de mérite, lui qui, dans tout le reste, n'a rien de ce qui ressemble à l'homme. » La loi Manilia En -69, Cicéron fut élu édile puis préteur en -66. Cette même année, il défend de sa parole et de son autorité le projet du tribun de la plèbe Manilius qui consiste à mettre les armées d’orient sous le commandement de Pompée pour vaincre le roi Mithridate VI. « Pro Lege Manilia » est son premier grand discours politique. Le consulat de Cicéron En -64, une des années où Cicéron se présenta

exactement quand le système juridique romain débute réellement. Le premier texte légal, dont le contenu nous est connu avec quelques détails, est la Loi des Douze Tables, datée du milieu du Ve siècle av. J.-C. Selon les historien romains, le tribun de la plèbe Gaius Terentilius Harsa a émis un projet pour mettre par écrit les lois et ainsi empêcher les magistrats d'appliquer arbitrairement les lois. Après huit ans de lutte, les plébéiens réussissent à persuader les patriciens d'envoyer une délégation à Athènes

expression du patriciat, est hériditaire ; mais les personnes de naissance libre et qui reponde à la condition requise de posséder un millions de sesterces peuvent aspirer à y entrer graçe à leur élection comme questeur, puis comme édile ou tribun de la plèbe, préteur ou consul. Le nouveau sénateur n'en devient pas pour autant un patricien, mais ses descendants feront partie de la nobilitas. L'exercice du pouvoir est donc intimement liée à la detention d'imagines. Le portrait prend donc dans la vie romaine

l’année suivante (481) est chargé de repousser les ennemis de Rome : il rencontre quelques difficultés à mobiliser les citoyens qui entendent bien faire valoir leurs droits contre les patriciens, il y parvient néanmoins avec l’aide de tribuns de la plèbe et part combattre les Èques tandis que son collègue consul, Spurius Furius Fusus, part faire un simulacre de campagne contre les Véiens. Caeso remporte une victoire sur les Èques. Écrasante, mais pas décisive puisque son infanterie refuse de poursuivre

le système juridique romain débute réellement. Le premier texte légal, dont le contenu nous est connu avec quelques détails, est la Loi des Douze Tables, datée du milieu du Ve siècle av. J.-C. Selon les historien romains[5],[6],[7], le tribun de la plèbe Gaius Terentilius Harsa a émis un projet pour mettre par écrit les lois et ainsi empêcher les magistrats d'appliquer arbitrairement les lois. Après huit ans de lutte, les plébéiens réussissent à persuader les patriciens d'envoyer une délégation à Athènes

dépensant beaucoup en réceptions, et entame le parcours politique classique (cursus honorum) : tribun militaire, questeur en 69 av. J.-C. en Espagne, puis édile en 65 av. J.-C., il capte la faveur du peuple en rétablissant le pouvoir des tribuns de la plèbe et en relevant les statues de Marius. Chargé de l’organisation des jeux, il emprunte massivement pour en donner de spectaculaires, alignant selon Plutarque le nombre record de 320 paires de gladiateurs[27]. Parallèlement, César poursuit son activité