Pleur

cris» x2. III. Les personnages morts rencontrées par Ulysse. - Elpènor : compagnon d’Ulysse, ils ont laissé sont corps dans le palais de Circé sans l’enterrer => Ulysse pleure en le voyant car il est pris de pitié. => Il demande à Ulysse de lui faire une tombe. - Anticlée (mère d’Ulysse) : Il ne savait pas qu’elle était morte, il pleure en la voyant car il est pris encore une fois de pitié. Il l’empêche d’approcher du sang car Tiresias n’a pas parlé. Elle va lui parler une fois qu’elle aura bu le sang

plusieurs personnes se mettent a le remarquer. Il évite alors de marcher au soleil mais cela n’est pas toujours possible. il passe devant une école, un enfant cri qu’il n’a pas d’ombre et pour les calmer, il leur jette des pièces d’or Une fois seul, il pleure et se remet en question : «  déjà laissé au moins le pressentiment qu’autant l'or en ce monde l'emporte sur le mérite et la vertu, autant l'ombre surpasse dans l'opinion l'or lui-même ; de même qu'auparavant j'avais sacrifié la richesse à ma conscience

brisé de larmes », « pleurait » il pleure, il éprouve le Nostos (Nostalgie, regret, douleur du sol natal) Kléos: gloire immortelle, mort vaillante au combat comme Achille La Métis: l'intelligence rusée, la prudence avisée Comparaison d'Ulysse Chant V vers 432« comme quand le poulpe qu'on arrache à sa retraite » Chant VI v130« comme le lion des montagnes, assuré de sa force » Chant VIII vers 523« comme une femme pleure son époux en l'étreignant » Ulysse pleure Mémoire importante Chant

alors l’occasion à ses compagnons de transgresser les ordres. Ulysse est un héros qui pleure beaucoup : il pleure la mort de ses compagnons, il pleure aussi l’évocation des événements de la guerre de Troie par Demodocos (chant VIII). C’est avec beaucoup de pudeur aussi qu’il tente de dissimuler ses larmes aux autres convives, tout comme chez la nymphe Calypso lorsqu’il s’isole au fond de la grotte pour pleurer l’absence de son épouse et de son fils. A ce stade la tristesse d’Ulysse semble être un

lui essuyer les yeux, Lucky n’a donc aucune raison de lui assener un coup. Enfin nous avons un comique de situation qui est amusant avec la didascalie : « Lucky pleure » et la réplique : « Estragon- il pleure » cette situation est comique car nous retrouvons l’absurdité de la pièce, estragon n’a aucune raison de pleurer, mais il pleur quand même. En résumé nous avons évoqué en quoi ce texte pouvait être également comique grâce au comique de geste et de situation. Ensuite, on peut également

assonances(el) et (jer)dans le premier quatrain donne une fluidité, un prolongement qui s'oppose à tour de rôle au resserrement des assonances(ur) donnant une belle musicalité au poème.. Il personnifie la beauté par le corps d'une femme qui parle(sein,cœur,pleure,ris,mes yeux)ce qui donne un caractère de vivacité à la beauté, la deuxième strophe est aussi commencé par le même "je" et lui accorde la souveraineté (je trône dans l'azur),la beauté pour lui est la plus suprême ,il utilise une deuxième comparaison

ça fait mal ! » elle soupir. « bon je vais faire vraiment plus doucement, allez ! J'y vais ! ahhh !! » elle se tortille et se met à pleurer A ce moment là l'infirmière entre, m'observe discrètement « vous pleurez ?, oui ! c'est moi qui vous fait pleurer ? Non c'est pas vous j'ai mal vous n'y pouvez rien, allez y c'est rien !» Je continu mon soin, elle pleure encore, alors je regarde l'infirmière et je dis : «  je lui fait mal, elle va m'en vouloir ! » Elle acquiesce en hochant de la tête

au lit. Je m’en vais donc revoir Mme L. et lui annonce. Elle se met à pleurer. Je lui demande ce qu’il ne va pas. Elle répond en sanglotant : « j’en ai marre, je veux aller aux toilettes, je ne veux pas du bassin ! ». Face à son chagrin, j’essaie de la rassurer et je lui explique avec mes mots que c’est provisoire et que nous pourrons l’emmener aux toilettes dès que cela sera possible. Elle me sourit, mais continue de pleurer, je lui tends un mouchoir qu’elle accepte. Je lui dis que je dois partir

m'empressais de m'habiller et je partis faire le tour du camping. En courant, je percutais quelqu'un et je l'aidais à se relever. C'était une amie, je l'interrogeais sur ce qu'elle avait constaté. Elle ne répondit pas, mais je pu m'apercevoir, qu'elle avait pleuré. Elle tremblait, elle regardait autour et ses yeux traversèrent les miens. Je l’a réconfortais malgré mes angoisses, et cette peur qui nous envahissait tous les deux. Je regardais encore l'heure, dix heures! Toujours par la trace d'un rayon de soleil

qui pétillent, toujours en train de rire, enfin bref, je vais bien. Et puis regardes toi maintenant, à pleurer son absence, à dire qu'il s'est foutu de toi, tu regardes les gens mais tes yeux sont vides d'émotion, tu pleures tout les soirs, tu ne ries plus,tu vas mal. Alors que ce n'est rien , c'est juste un garçon, c'est pas l'homme de ta vie, il en aura juste fait un peu partie. Arrêtes de pleurer sur ton sort ! Tout les jours il y a des gens qui perdent un membre de leur famille, qui perdent la vie