Pleure Pas Germaine

revient à Paris en mai à la demande de Verlaine. Rimbaud regagne les Ardennes à la fin de l’année 1872. En 1873, il commence à rédiger Une Saison en enfer. Rimbaud rentre chez lui et termine Une Saison en enfer. En 1874, Rimbaud est à Londres avec Germain Nouveau avec qui il s’est lié d’amitié. L’année suivante, Rimbaud part pour l’Allemagne, puis séjourne en Suisse et en Italie. À la fin de cette année, il rentre à Charleville. Il signe un engagement de six ans dans l’amée coloniale hollandaise en

Je ne veux pas la faire Je ne suis pas sur terre Pour tuer des pauvres gens C'est pas pour vous fâcher Il faut que je vous dise Ma décision est prise Je m'en vais déserter Depuis que je suis né J'ai vu mourir mon père J'ai vu partir mes frères Et pleurer mes enfants Ma mère a tant souffert Elle est dedans sa tombe Et se moque des bombes Et se moque des vers Quand j'étais prisonnier On m'a volé ma femme On m'a volé mon âme Et tout mon cher passé Demain de bon matin Je fermerai ma porte Au nez des années

combat » . Le choix de ce thème n’est pas anodin. Napoléon III, passionné d’antiquités gallo-romaines, cherche à insuffler un sentiment d’identité nationale. C’est d’ailleurs à lui que l’on doit la création du musée des Antiquités Nationales de Saint Germain en Laye. Aussi, cette vision du héros fédérateur, galvanisant les siens pour se libérer du joug de l’ennemi, ne peut que séduire l’Empereur. (On omettait de se souvenir que Vercingétorix avait souvent pactisé avec l’ennemi.) Regardez comme nous entrons

Cependant, s'il nous arrive d'entendre dans la rue « Cet enfant est mal élevé!! », cela prouve que nous avons chacun une vision différente de l'éducation. Par exemple aux États-Unis l'enfant est roi et il n'est pas rare d'entendre des enfants hurler ou pleurer dans les transports en commun sans que cela dérange quelqu'un. En France par exemple, les gens seront agacés de ce même comportement. Je pense qu'il faut trouver une médiane à cela en s'ouvrant à une pluralité de culture. La seule éducation « commune

Candide que les l'Eglise l'a converti et qu'elle lui dit tous les dimanche que tout le monde est enfant d'Adam. Or l'esclave ironise cette situation « Je ne suis pas généalogiste mais si ces précheurs disent vrai, nous sommes tous cousins issue de germains. » Et il critique aussi les hommes qui le maltraitent toujours en restant sur cette idée de religion «  Vous m'avouerez qu'on ne peut pas en user avec ses parents d'une manière plus horrible » Avec ce discours, l'esclave paraît supérieur à ces Hommes

détient toute libertés et n’a donc en aucun cas une tel obligation ! Maintenant si vous voulez bien me laissez continuer ce que j’avais entrevu, j’aimerais vous dire que les poèmes parlant de sentiments profond comme de l’amour, dans le poème de Germain Nouveau «  L’amour de l’amour », n’ont aucune caractéristique d’un poème engagé et ne sont créé que pour que le lecteur se reconnaisse dans les mots, ressente une émotion, un sentiment, le fasse rêver, donner espoir … Dans ce poème, le poète n’est

devrait-il pas être éternel ! Comme j'ai pleuré, pendant des nuits entières, sur les pauvres femmes de jadis, si belles, si tendres, si douces, dont les bras se sont ouverts pour le baiser et qui sont mortes ! Le baiser est immortel, lui ! Il va de lèvre en lèvre, de siècle en siècle, d'âge en âge. - Les hommes le recueillent, le donnent et meurent. Le passé m'attire, le présent m'effraie parce que l'avenir c'est la mort. Je regrette tout ce qui s'est fait, je pleure tous ceux qui ont vécu; je voudrais

devrait-il pas être éternel ! Comme j'ai pleuré, pendant des nuits entières, sur les pauvres femmes de jadis, si belles, si tendres, si douces, dont les bras se sont ouverts pour le baiser et qui sont mortes ! Le baiser est immortel, lui ! Il va de lèvre en lèvre, de siècle en siècle, d'âge en âge. - Les hommes le recueillent, le donnent et meurent. Le passé m'attire, le présent m'effraie parce que l'avenir c'est la mort. Je regrette tout ce qui s'est fait, je pleure tous ceux qui ont vécu; je voudrais

qui onques fut en vie, Chacun pour vous doit noir vêtir et querre : Pleurez, pleurez, fleur de chevalerie. O Bretagne, pleure ton espérance, Normandie, fais son enterrement, Guyenne aussi, et Auvergne or t'avance, Et Languedoc, quiers lui son monument. Picardie, Champagne et Occident Doivent pour pleurer acquerre Tragédiens, Aréthusa requerre Qui en eau fut par pleur convertie, Afin qu'à tous de sa mort le cœur serre : Pleurez, pleurez, fleur de chevalerie. Hé! Gens d'armes, ayez en remembrance

voûtes du Louvre ils marchent à pas lents; Ils s’arrêtent devant ses portes; Viennent-ils lui ravir ses sacrés ornemens? Muses, penchez vos têtes abattues; Du siècle de Léon les chefs-d’oeuvre divins Sous un ciel sans clarté suivront les froids Germains; Les vaisseaux d’Albion attendent nos statues. Des profanateurs inhumains Vont-ils anéantir tant de veilles savantes? Porteront-ils le fer sur les toiles vivantes Que Raphaël anima de ses mains? Dieu du jour, dieu des vers, ils brisent ton