Pline l'Ancien

enfants de Dieu. • Le plan de l’Apocalypse permet de la comparer à un édifice aux proportions architecturales parfaitement symétriques. • La clé des symboles de l’Apocalypse est donnée soit dans le livre lui-même, soit dans les livres prophétiques de l’Ancien Testament, comme la prophétie de Daniel qui est généralement considéré comme le premier tome d’un ouvrage dont l’Apocalypse serait le second. Voici ce qu’a écrit à ce sujet l’Abbé Memain : • « Le prophète Daniel avait vu, dans une vision, l’immense

précieux pour reconstituer la fine cuisine romaine. Les plus importants sont le livre de cuisine d'Apicius (cuisinier gourmet qui vécut sous le règne de Tibère), les traités d'agriculture de Caton, Varron, Columnelle et Palladius. L'ouvrage de Pline l'Ancien sur l'Histoire naturelle et les descriptions de festins chez les riches Romains (tel le festin de Trimalchion) nous éclairent également sur les pratiques culinaires de l'époque. La reconstitution de recettes romaines n'est pas aisée : les textes

construit, et de façon contractuelle un espace exemplaire, lieu où l’on exhibe ses capacités sportives, mais aussi un lieu dans lequel est mis en évidence un publique qui participe. Circus Maximus signifie en latin : «  le plus grand cirque ». Selon Pline, il pouvait accueillir environ 250 000 spectateurs, et plus encore dans ses dimensions maximales, atteintes au ive siècle, où les catalogues des Romains citent le chiffre de 385 000 spectateurs, ce qui en fait de loin le plus grand édifice de spectacles

est le véritable coupable et ses valets auraient été vu en train de détruire la ville ouvertement, dans le but de reconstruire une ville à son image, et une maison à la hauteur de sa personne. Les auteurs Dion Cassius dans Histoires de Rome, Pline l’Ancien dans Histoires naturelles et Eutrope reprenant les sources de Tacite et Suétone ont la même opinion que Suétone, pour eux, Néron est le commanditaire de l’incendie qui ravagea Rome en 64. Sulpice Sévère rapporte tout de même que Néron était à

bilinguisme, situation éminemment favorable à une sorte de compénétration. On sait que les Gaulois ont conservé dans leur latin un certain nombre de mots de leur langue première, mots que l’on retrouve en français ou dans les dialectes actuels de l’ancienne Gaule (oïl et oc). Il est évident que les Gaulois ont aussi prononcé le latin à la gauloise et qu’ils ont dû garder dans leur latin des structures de ce qui a été leur langue maternelle. Malheureusement, notre connaissance limitée du gaulois ne

A) les provinces appartenants au peuple et au Sénat "la Bétique se trouve attribuée au peuple"(l2) La province romaine de Bétique (Hispania Baetica) couvre le sud de l'Espagne, et correspond à peu près à l’actuelle Andalousie. Elle est issue de l'ancienne Hispanie ultérieure, et tire son nom du Baetis, nom latin du fleuve Guadalquivir. D'apres l'encyclopédie de Diderot et d'Alembert, le géographe Strabon affirme que cette province était peuplée par les Turdetani et les Turdules, sans préciser quelles

Cirque » ou « Cirque Maxime ». Il servait à d’immenses courses de chars. C’est le plus vaste et le plus ancien hippodrome de Rome. Pline aurait dit qu’il pouvait contenir jusqu’à 250 000 spectateurs, il pouvait en contenir plus encore au IV siècle (environ 385 000). Il a été plusieurs fois ravagé puis amélioré. Le début de la construction a été sous le règne de Tarquin L’ancien. Aujourd'hui il ne subsiste qu'une large ellipse en terre (les gradins et la spina ayant disparus). La Tour de Pise Elle

d'ouvrir une route vers l'Italie centrale et du Sud, où, au moment de son apogée, prend le chemin franchi par les Étrusques et les Latins. Certains historiens suggèrent que durant les dix années, la Gaule a perdu plus d'un million d'habitants. Pline l'Ancien, à la suite des calculs mêmes de César, parle de 1 192 000 morts. La conquête de la Gaule, par le biais des Romains, relie enfin définitivement la Méditerranée et l'Europe continentale : ni le vainqueur Jules César, ni le vaincu Vercingétorix

bile et mélancolie. La maladie provient, logiquement, du déséquilibre entre les humeurs. Les praticiens médiévaux s’inspirent de la médecine arabe des IXe-XIe siècles (Avicenne, Albucasis...) et également des textes grecs antiques (Galien, Pline l’Ancien,…). 2011 C. Meyer-Coclez Infirmière Hygiéniste À partir du XIIIe siècle, une ville de 4000 habitants peut accueillir 5 à 8 praticiens. Avec la naissance de l’Université, médecine (soin des maux internes) et chirurgie (traitement des abcès

le bel Imeros la suivait ». Eros, selon les plus anciens mythes helléniques, ne serait donc pas le fils de Vénus, mais une divinité bien antérieure à celle-ci. La naissance marine de la déesse de l'amour inspire les artistes depuis l'Antiquité. Pline l'Ancien admirait une œuvre d'Apelle de Cos, le plus célèbre peintre de la Grèce ancienne : « Sa Vénus anadyomène, c'est à dire sortant de la mer, a été consacrée par le divin Auguste dans le temple de son père César. Ce tableau a été célébré par des vers