Pline l'Ancien

parfaitement vivre en utilisant ce type de métabolisme. C'est en particulier le cas pour de nombreuses bactéries, donc certaines sont utilisées dans l'alimentation humaine depuis très longtemps, comme dans la préparation du yaourt. C'est ainsi à Pline l'ancien, qui vécu au Ier siècle après JC, que revient le premier témoignage sur une préparation comparable à du yaourt (les Barbares savent "épaissir le lait en une matière d'une agréable acidité"). En effet, le yaourt est un aliment obtenu par fermentation

Nord et de l'Anatolie, les Grecs anciens ne faisaient pas un usage courant des cosmétiques ; pourtant, les courtisanes grecques usaient de parfums importés, de dépilatoires, de fards à joues, et de fards pour les yeux à base de khôl. v. J.–C., et Pline l'Ancien, dans son Histoire naturelle, au Ier s. apr. J.–C., ont fait le point des connaissances en la matière. L'Europe médiévale Lorsque l'influence de Rome en Europe s'estompa, les notions romaines de propreté corporelle et de parure disparurent également

généralement d’urine humaine putréfiée pour dégraisser les laines brutes et les vêtements de laine. Il y avait même, du temps de Pline, une telle consommation de cette matière pour cet objet, qu’on avait imaginé divers moyens de la ramasser. (Peut-être) la cause qui engagea Vespasien à mettre un impôt sur l’urine, comme le rapporte Suétone (Vie de Vespasien)… Pline l’Ancien indique plusieurs espèces de craies, ou terre grasse, en usage de son temps pour blanchir les vêtements de laine. Il cite surtout

recherche encore aujourd'hui quels furent les écrits auxquels elle eut accès (en plus de la Bible) et qu'elle a sans doute pu cacher. Les hypothèses sont surtout orientées vers Virgile ou encore Ovide pour les poètes, ainsi que Galien, Aristote, Pline l'Ancien et Hippocrate, concernant les écrits médicaux. Elle a également certainement eu accès aux écrits de Dioscoride13. Quoi qu'il en soit, la majorité des historiens s'accorde à lui attribuer une place fondamentale dans l'histoire de la pharmacobotanique

également une divinité amazigh10,11,12. D'autres chercheurs désignent les Banou Ifren comme étant les habitants de l'ancienne ifrīqīyā إفريقيا qui désignait jadis en arabe l'actuelle Tunisie et que le nom d'Afrique découle de la nomination de la tribu des Banou Ifren13,14. De plus, les Banou Ifren seraient les Ifuraces, tribu qui rassemble les Afar. Les Ifuraces habitaient l'ancienne tripolitaine et sont des Zénètes Berbères, que Corripus a désigné dans son livre par Ifuraces15. Les étymologies

Ces représentations rendent grâce à la puissance et à la gloire de Dieu. L’art est conçu comme un enseignement religieux, les animaux constituant des symboles à décrypter. La symbolique du bestiaire médiéval tire sa source de multiples références à l’Ancien et au Nouveau Testament. Animaux exotiques ou fantastiques et parfois familiers sont interprétés en fonction de la leçon dogmatique ou morale qu’on veut en tirer. Les exemples du bien sont généralement le lion, la panthère, la licorne, le cerf, l’aigle

Pétrarque, les Anciens sont proposés en modèle à l’imitation des Modernes. Vasari, dans sa vie de Léonard, raconte comment les artistes retrouvèrent le chemin de la perfection quand « ils virent déterrer certains antiques des plus célèbres cités par Pline : le Laocoon, l’Hercule et le Torse géant du Belvédère, ainsi que Vénus, Cléopâtre, Apollon et beaucoup d’autres. Leur douceur et leur fierté, leurs membres bien arrondis, choisis parmi ce qu’il y a de plus beau dans la vie, leurs gestes contrôlés

ceci aussi exactement que possible. C’est ce qu’on appelle la thèse de la “circumduction umbrae”. L’idéal de ressemblance dans l’art se propose par l’anecdote célèbre du concours entre les deux peintres grecs Zeuxis et Parrhasios, rapportée par Pline l'Ancien dans son Histoire Naturelle: le premier se vante d'avoir peint des raisins si parfaits que les oiseaux ont essayé de les picorer. Parrhasios, profitant de l'absence de son compagnon, ajoute un rideau peint par-dessus l’oeuvre de ce dernier. À

troupes dirigées par un chef (le dominus gregis). Tout comme les costumes et le maquillage, le jeu de l'acteur est strictement codifié. Les nombreux traités écrits à ce sujet, soit par des acteurs (comme Roscius), soit par des théoriciens (comme Pline l'Ancien), nous sont partiellement conservés par les citations qu'en fait Quintilien (surtout le livre XI de l'Institution Oratoire). Le comédien doit travailler trois éléments dans son jeu : * la voix; * la gestuelle ; * la posture ; -------------------------------------------------

destination des jeunes filles pauvres. En outre, il annula les dettes envers le trésor impérial. De nombreux écrivains furent en outre protégés par les empereurs qui cultivés appréciaient les arts. Trajan protégea de nombreux auteurs comme Pline le Jeune, Tacite, Plutarque, Dion Chrysostome, etc… dont certains firent plus tard le récit élogieux de sa vie. Antonin, qui était un véritable humaniste, favorisa l’essor des lettres. C’est sous son règne que de nombreux écrivains se firent connaître