Pline le Jeune

* Pline l'Ancien, 23-79 romain * Pline le Jeune, 61-114 romain * William Hamilton, 1730-1803 britannique, premier homme à exposer le fonctionnement d’un volcan scientifiquement parlant. * Barthélemy de Saint-Fond, 1741-1819 français, étudie les produits volcaniques * Déodat de Dolomieu, 1750-1801 français, étudie plutôt les minéraux que les volcans. * Jean-Baptiste Bory de Saint-Vincent, 1778-1846 français, élève des Déodat. Premier à faire une description générale du Piton de

devînt une place puis un marché. Aujourd'hui, il ne reste que de légers vestiges de ce cirque. Au XVI ème siècle, on peut encore apercevoir les arcades de l'étages inférieur, la porte principale et une partie des gradins. Texte latin de Pline le Jeune dans son ouvrage « Les démons du stade » |Omne hoc tempus inter pugillares ac libellos iucundissima quiete transmisi. "Quem ad modum, inquis, in urbe potuisti ?" | |Circenses erant, quo genere spectaculi ne levissime

bien plus aux objets qu’à leurs producteurs. D. Les récits fondateurs : = Ce sont des mythes qui permettent d’expliquer les origines de la peinture et qui permettent d’avoir accès à ces faiseurs d’images. 1. “ Zeuxis et les oiseaux” : Pline l’Ancien (23-79 après J.-C.), L'Histoire naturelle (une monumentale encyclopédie), livre XXXV (l’art et les artistes) Le tome est consacré à l’art, c’est une vaste compilation sur l’art à la fois biographique et technique et c’est la première entreprise

  matériel  fondu  de  réservoirs souterrains arrive à la surface.   En  79​ ,  Pline  l'Ancien  décrit  le   début de  l'éruption du Vésuve,  et remarque  notamment  que des  séismes  précèdent  le début d'une  éruption. Mais malheureusement,  il  a  voulu  se  rendre  au  plus  près  de  ces  événements,  et  fut  donc  tué  par une des  nombreuses  nuées ardentes qui  détruisit  la ville  de  Pompéi. Pline  le Jeune, son neveu, n'ayant pas  pu accompagner son oncle, fait une description précise de l'éruption nommée «éruption 

maquettes modernes des bâtiments comme sources archéologiques afin de permettre au lecteur de comprendre quel était le paysage urbain. P. Zanker utilise par ailleurs comme sources secondaires les écrits de polygraphes et grammairiens tels que Pline le Jeune et Fronton. Son texte étudie principalement l’histoire du paysage urbain et politique, et est issu d’une conférence se consacrant au mécénat dans l’histoire. Il parait dans un collectif de spécialistes dans des champs divers qui examine les relations

l ‘époque romaine : -> Comédies de Plaute (fin IIIe siècle av. J-C) -> Cicéron, Ad familiares, XIV Anagnostes = lecteur en grec Une pratique caractéristique des usages de la vie mondaine et aristocratique. officium amicitia Lettre adressée par Pline le Jeune à son ami Valerius Paulinus (II,2) « Je suis en colère ; j’ignore si je dois l’être, mais je le suis. Tu sais combien l’amitié (*amor) est injuste parfois, impatiente souvent, pointilleuse (*mikraitos, en grec) toujours. Cependant mes motifs sont

Colle de Français n°1 Khâgne Considération sur Cicéron Ce chapitre est l’occasion pour Montaigne de critiquer la tradition rhétorique antique dont il prend pour paradigmes Cicéron et Pline le Jeune. Il fustige leur style grandiloquent et leur quête de gloire que l’on retrouve même dans leurs correspondances privées. Il s’opère dans ce chapitre une analogie entre l’entreprise épistolaire et l’entreprise des Essais. En effet, en exposant ce pour quoi il ne peut pas s’adonner à ces correspondances

|La fonction politique de la représentation du héros (début) |Renouveau de la société | |Supports |Pline le Jeune |Pétrone | | |Aelius Spartianus

réalité. Il était impératif pour les cités conquérantes de s’informer sur les potentialités des territoires, sur les marchés qui alimentaient les villes et sur les réseaux de distribution des denrées alimentaires ou des biens précieux. 12 13 Pline le Jeune, 1972, Panégyrique de Trajan, Paris, Les Belles Lettres, 200 p. Georges HACQUARD, 1952, Guide romain antique, Paris, Hachette, p. 138. 14 Clarence J. GLACKEN, 2000, Histoire de la pensée géographique, tome 1, Paris, CTHS, 297 p. Jean-Paul FERRIER

et au noble savoir. Gargantua s'éveillait donc vers quatre heures du matin(4). Tandis qu'on le frictionnait, on lui lisait quelque page des saintes Ecritures, à voix haute et claire, avec la pro­nonciation convenable. Cet office était confié à un jeune page, originaire de Basché(5), nommé Anagnostes(6). Selon le thème et le sujet du texte, il se mettait à révérer, adorer, prier et supplier à plusieurs reprises le bon Dieu, dont la lecture prouvait la majesté et les merveilleux jugements. Puis