Plotine

public cultivé mais large. les rhéteurs et poètes => la critique littéraire spécialistes de l'art oratoire ou de la poésie, qui abordent l'art en tant que sujet littéraire. les philosophes => la critique morale Platon, Aristote, Plotin. Réflexion sur le bien ; en quoi l'art est qqch de bien ou de mal (en gros)? les artistes => la critique technique Les auteurs qui ont parlé de l'art ont des étiquettes très différentes les unes des autres. Chacun aborde l'art du point

métaphysiques, ou philosophiques, qui, eux, ne peuvent pas faire l'économie de s'interroger sur l'existence d'un principe premier : idée de Bien (Platon), cause première (Aristote), existence de l'Être immuable (Parménide), présence de l'Un primordial (Plotin), Voie (taoïsme), pensée dialectique (Hegel), principe vital (Bergson) etc. La Bible prétend que Dieu a créé le monde ex nihilo, c'est-à-dire de rien : "Au commencement Dieu créa le ciel et la terre." (Gn 1,1). Saint Jean soutient que "Dieu est Amour"…

ne soit hypertrophié ni atrophié ». Mais ce qui permet peut-être de mieux comprendre encore cette pensée de Schopenhauer ce sont tous ses propos visant à combattre et à démentir une idée qu’on a déjà rencontrée, lorsqu’on parlait de Platon et de Plotin, à savoir que l’idée du beau ne peut pas être une imitation de la nature. Autrement dit « les sources empiriques de l’art – objets de nature – ne peuvent être que des stimulants qui servent à éveiller la réminiscence géniale d’une idée antérieure

Beau en soi correspond à ce moment de jouissance dernière où le voile des belles apparences va se déchirer. Une telle mystique du Beau annonce aussi bien l'esthétique de Schopenhauer et sa théorie de la contemplation que la métaphysique négative de Plotin, pour qui le Beau en soi est le dernier éclat de l'Être avant l'identification dernière au Non-Être de l'Un. Conclusion D'une façon générale, la philosophie classique se méfie des désirs. Qui souhaiterait les satisfaire tous s'exposerait au

* pour former Marc Aurèle « pas moins de cinq stoïciens Enfin, * Marc Aurèle fut à la fois philosophe et empereur (en 161). * Musonius, le cynique, conseillait Vespasien (en 70). Du côté des néo-platoniciens, on peut rappeler que : * Plotin eut une influence sur l'empereur Gallien ; * Julia Domna (en 187), philosophe, était l'épouse de Septime Sévère et devint ainsi impératrice ; * Julien fut philosophe et empereur romain (en 361). Dans les temps modernes, on voit : * Locke

à la légende Galliena Augusta qui souvent mal comprises l'ont fait taxer d'efféminé et l'ont peut être déjà déconsidéré. Il eut pour le soutenir et l'entourer les tenants de la plus grande école philosophique de son temps, le néo-platonisme, dont Plotin était le chef. Il fut le compagnon et le conseiller de l'empereur, de sa femme Salonine et des milieux de la cour. Autour d'eux gravite tout un cercle de philosophes, sophistes et d'hiérophantes. Par ses tendances personnelles et le choix de cet entourage

activité incessante comme la chasse, l’entrainement militaire, c’est un homme physiquement irréprochable. Ses mœurs son évoquées par Pline comme irréprochable donc la vertu, la piété en opposition aux tyrans et aux mauvais empereurs. La femme de Trajan, Plotin, est aussi vue comme un modèle de vertu (tenue simple, nombre de serviteur modeste,…). Trajan va utiliser la domus Flavia ce qui lui sera utile. Il fait preuve de compétence et d’intérêt sur tous les domaines, il s’intéresse à tout. Il est donc

tout raser : nouvelle alliance avec les humains (quitter ce principe de péché original) Alliance avec l'humain et le divin : une partie du divin dans le corps humain (Jésus) C’est lui qui renoue cette alliance avec l'humain en opposition avec Plotin : dieu ne peut pas s'abaisser à être humain il va donc pouvoir voir ce que l'on veut (homme fait à l'image de dieu) analogie entre corps de jésus et corps de l'oeuvre question plastique que cela impose si jesus n'est pas vraiment mort, il ne

d'Aristote, de Plotin et plus généralement du legs gréco-romain, faisant évoluer les visions du monde issues de la chrétienté médiévale.  Les autres illustraient, par des représentations artistiques, les travaux de l'école philosophique de la Nouvelle Académie des Arts de Florence. Marsile Ficin : 63-94 C'est l'un des philosophes humanistes les plus influents de la Première Renaissance italienne. Il dirigea l'Académie platonicienne de FlorenceIl a traduit et commenté l'œuvre de Platon et de Plotin, il connaissait

Bibliothèque d’Alexandrie), et la Métaphysique ne fut éditée que très tardivement. Aristote fut commenté par la tradition néoplatonicienne et intégré à cette philosophie, qui tenta une synthèse entre Platon, Aristote et l'orientalisme, par exemple Plotin, Porphyre et Simplicios. Le philosophe latin Boèce, également consul de l’Empire romain autour de l’an 500 sous le roi ostrogoth Théodoric le Grand, traduisit la Logique et les Analytiques d’Aristote. Il laissa en outre trois livres de commentaires