Pluie d'animaux

les accumulent, les creusent, les sculptent, les plantent, les tracent, les peignent…. Cet art est éphémère, car les installations faites de feuilles, de fleurs, de glace, de neige s’évanouiront avec le temps… souvent sous l’action du vent, de la pluie, des marées... Voici quelques artistes plus une de leur oeuvre : 1- Robert Smithson (1938-1973) Spiral Jetty (Jetée en spirale) 1970 Œuvre in situ 6783 tonnes de roche noire, terre, pierres, cristaux de sel, algues, eau Longueur 457 m, largeur

Mon nom resteras dans la légende_Partie I La pluie ne semble pas s’arrêter, je voie de moins en moins loin ma respiration est de plus en plus dur, je jette un coup d’œil à mon ATH fixé à mon poignet qui m'indique ma situation pourquoi pas, hémorragie, perde de la vue, multiples blessures. Bon je pense que j'avais compris sa, je suis peut-être pas mal amoché, mais pas au point de ne pas faire un jugement sur mon état, ce qui m’intéresse, il s'agit de ma vitalité qui est représentée par une barre

de rétention d’eau est un énorme étendu d’environ 1 terrain de football qui est encavé et creusé par l’homme. Son principe de fonctionnement est très simple. Lors d’une pluie, l’eau qui circule dans les rues d’un quartier est directement dirigé par voie souterraine vers le bassin de rétention. Ce bassin recueille donc l’eau de pluie et limite l’envoie inutile d’eau vers les aqueducs municipaux. La conception de bassins de rétention dépends de certaines municipalités. En effet, il existe plusieurs

nature et la fonction des termes entre crochet. 1) Je voyais [les enfants grimper la colline]. 2) Il courait [comme un chien effrayé par l'orage]. 3) J'étais absent [lorsqu'il est arrivé à la maison]. 4) Je sais [que cet enfant a menti]. 5) [La pluie crépite sur le toit de l'immeuble]. 6) Cette maison [dans laquelle je passe mes vacances] n'a aucun confort. 7) [Vu que tu as mal travaillé], tu ne peux pas sortir jouer avec tes camarades. 8) J'irai [où tu voudras] dès que j'ai fini mon repas.

vieille campagnarde, ridée, sévère, qui semblait toujours recevoir les pratiques à contrecoeur, avec une sorte de méfiance.     Nous étions en mai ; les pommiers épanouis couvraient la cour d'un toit de fleurs parfumées, semaient incessamment une pluie tournoyante de folioles roses qui tombaient sans fin sur les gens et sur l'herbe.     Je demandai : "Eh bien ! madame Lecacheur, avez-vous une chambre pour moi ?"     Etonnée de voir que je savais son nom, elle répondit :     "C'est selon, tout

6 Poemes Mon cœur tel un œuf bien blanc, Cache au final un arbre bien dur, Qu’on nomme Acacia ! Quand je ère dans les rues de Paris, je lève la tête en direction du ciel qui sort tout juste du crépuscule je vois un soleil ou une lune en forme de chaussure  et il me parraît si merveilleux  et si …! Si tu as froid en hiver, Et si tu te plains j’irai jusqu’à mettre des bougies aux plafonds miséreux, pour que la cire coule et fonde au plus profond de ton âme Tempête de sable

pollué par les fumées et poussières provenant du chauffage domestique ... conséquences: il y a le "smog" qui recouvre les grandes villes il y a des trous dans la couche d'ozone il y a l'effet de serre il y a la pluie acide il y a une formidable hausse des maladies (allergies, cancer, ...) il y a des catastrophes climatologiques il y la fonte des glaces polaires .... b) la pollution de l'eau par les détritus ménagers éjectés par

harmonie acceptez la civilisation et notre savoir ! Vous savez et le voyez que nous sommes bien plus intelligents que les autres et cela depuis bien longtemps crois-moi. Et bien sur la civilisation rien de mieux nous dormons ay chaud, à l’abri de la pluie, la grêle voir la neige ; avec la civilisation le monde sera sans problèmes ! Plus de soucis de cannibalisme de personnes a moitiés nues, tous cela sera fini plus aucuns soucis financier puisqu’avec le temps la technologie avancera et nous aurons des

sur les toits, dans le brouillard, aiguillonnéesDe fers et de paratonnerres,Les cheminées.Se regardant de leurs yeux noirs et symétriques,Par la banlieue, à l'infmi.Ronflent le jour, la nuit,Les usines et les fabriques.Oh les quartiers rouillés de pluie et leurs grand-rues !Et les femmes et leurs guenilles apparues,Et les squares, où s'ouvre, en des cariesDe plâtras blanc et de scories,Une flore pâle et pourrie.Aux carrefours, porte ouverte, les bars :Etains, cuivres, miroirs hagards,Dressoirs d'ébène

m’envahissait, malgré mon pas rapide et mon lourd vêtement ». (L. 6-7) Par ailleurs, dans « Des pas lourds dans l’escalier », la pluie est utilisée pour montrer le changement de température et que le temps est sombre. Cette explication naturelle est démontré par l’extrait qui suit : « [...] et la pluie commençait à tomber avec force». (L.36) Aussi, cette pluie est employée comme cause de maladie et comme une raison de mal-être. La citation suivante le démontre : « [...] m’en arriver c’est d’être