Pluie

Il y avait-il une différence entre la pluie et la neige ? Mise à part leur couleur et leur consistance, il n'y en avait pas. C'était de l'eau. L'un ne faisait certes pas de bruit contre les carreaux, mais l'autre avait un son délicieux qui rendait mes nuits plus douces. J'entendais, encore et encore, les petites gouttes qui tombaient dans les gouttières en fer et qui produisaient un son métallique dans les canalisations qui reliaient l'extérieur et la salle où je me situais. Le silence enveloppait

précipitation (cm) 60 80 droite de régréssion linéaire y = 29,024x + 1170,4 3 Grâce au tracé du graphique, on observe une relation linéaire entre l’altitude et l’intensité des précipitations, il y a donc un effet orographique car la quantité de pluie qui tombe est fonction de l’altitude : les précipitations sont donc plus importantes au niveau des altitudes élevées.  Gradient de précipitation D’après la droite de régression qui a pour coefficient directeur 29, à chaque fois que les précipitations

: elle détient de la vapeur d'eau qui forme les nuages. Ceux-ci sont poussés par le vent et lorsqu'ils traverse esnt des régions froides, la vapeur d'eau se refroidit. Elle retombe sur la sol, sous forme de pluie, de neige ou de grêle. Quand l'eau de pluie arrive sur le sol, elle peut : - s'évaporer dans l'atmosphère - ruisseler sur le sol et alimenter les ruisseaux, rivières et fleuves - s'infiltrer dans le sous-sol et alimenter les nappes souterraines. 8 Schéma du cycle

régions inconnues que ton cœur demande. " " Levez-vous vite, orages désirés qui devez emporter René dans les espaces d'une autre vie ! Ainsi disant, je marchais à grands pas, le visage enflammé, le vent sifflant dans ma chevelure, ne sentant ni pluie, ni frimas, enchanté, tourmenté et comme possédé par le démon de mon cœur. " La nuit, lorsque l'aquilon ébranlait ma chaumière, que les pluies tombaient en torrent sur mon toit, qu'à travers ma fenêtre je voyais la lune sillonner les nuages amoncelés

Sur les ailes des oiseaux Et sur le moulin des ombres J'écris ton nom Sur chaque bouffée d'aurore Sur la mer sur les bateaux Sur la montagne démente J'écris ton nom Sur la mousse des nuages Sur les sueurs de l'orage Sur la pluie épaisse et fade J'écris ton nom Sur les formes scintillantes Sur des cloches des couleurs Sur la vérité physique J’écris ton nom Sur les sentiers éveillés Sur les routes déployées Sur les places qui débordent J’écris ton nom Sur la lampe

sang répandu Est-ce la terre qui le boit et qui se saoule drôle de soûlographie alors si sage... si monotone... Non la terre ne se saoule pas la terre ne tourne pas de travers elle pousse régulièrement sa petite voiture ses quatre saisons la pluie... la neige... le grêle... le beau temps... jamais elle n'est ivre c'est à peine si elle se permet de temps en temps un malheureux petit volcan Elle tourne la terre elle tourne avec ses arbres... ses jardins... ses maisons... elle tourne avec

comme un grand lys. Arthur RIMBAUD   (1854-1891) Il pleure dans mon cœur Il pleure dans mon cœur Comme il pleut sur la ville ; Quelle est cette langueur Qui pénètre mon cœur ? Ô bruit doux de la pluie Par terre et sur les toits ! Pour un cœur qui s'ennuie, Ô le chant de la pluie ! Il pleure sans raison Dans ce cœur qui s'écœure. Quoi ! nulle trahison ?... Ce deuil est sans raison. C'est bien la pire peine De ne savoir pourquoi Sans amour et sans haine Mon cœur a tant de

vos mains Comme une boîte à bijoux ; Il va pleuvoir jusqu’aux mois doux. Alain SERRES (1956- …) N’écoute pas celui qui répète Les feuilles mortes Tombent, tombent les feuilles rousses, J’entends la pluie sur la mousse. Tombent, tombent les feuilles molles, J’entends le vent qui s’envole. Tombent, tombent les feuilles d’or, J’entends l’été qui s’endort. Tombent, tombent les feuilles mortes, J’entends l’hiver à ma porte. Pernette CHAPONNIÈRE

la conséquence de crues ou simplement de fortes averses. L’inondation des zones urbanisées n’est pas toujours liée à la proximité d’un cours d’eau. Les principaux facteurs qui influences la durée et l’intensité des inondations sont la quantité de pluie qui tombent, l’état des sols : le degré d’imperméabilisation, les pratiques culturales, l’aménagement et l’entretien du réseau hydrographique c'est-à-dire l’ensemble des milieux aquatiques présents. Les inondations sont presque toutes différentes.

déjà omniprésent à cause des « kigos ». Par exemple, « le vent d’automne » est comparé à « une aile de corneille », oiseau noir et de mauvais augure; « les étangs de notre automne » débordent « de pluie et de nuit », ce qui rend le souvenir et le paysage très sombre et peu avenant, d’ailleurs « pluie et nuit » est répété à la fin du poème pour amplifier cette noirceur; le narrateur, seul, dit entendre « une oie sauvage crier sa solitude », alors que d’habitude, les oies, à l’automne, s’assemblent