Poeme Aurore

LES AURORES BOREALES http://www.banditdenuit.com/apropos22.htm Les aurores boréales (aurora borealis ou Northern lights ou bien encore aurores polaires) sont des phénomènes naturels provoqués par de très puissantes éruptions solaires. De grandes quantités de matières solaires s’échappent de l’attraction solaire sous forme de particules et forment une sorte de « vent solaire », celui ci atteins la terre. Notre planète est protégée de ce vent solaire, sauf au niveau des pôles Nord et Sud, et ce

passer l’idée à un public très varié. Dans le poème « Comprenne qui voudra » de Paul Eluard. L’auteur a voulu dénoncer le fait que les femmes qui avaient couchéavec des Allemands étaient des traitres et se faisaient raser les cheveux sur la place public pour montrer qui elles étaient et pour les humiliées pour ce qu’elles avaient fait. Paul Eluard a fait cepoème dans le but que faire réfléchir et faire réagir les gens. Paul Eluard a voulu écrire ce poème pour redonner de la dignité à ces femmes humiliées

soudain de sa femme Nusch. En dédiant ce poème à sa défunte compagne, il fait savoir que le mort de sa bien-aimée représente aussi la sienne. Nous montrerons dans un premier temps que ce poème est basé sur la rupture, deux idées antinomiques s’y côtoient : la vie et la mort, puis nous verrons comment l’expression de la souffrance, d’une mort vécue est assimilée par le poète et quelle est sa réaction face à celle-ci. Le premier alexandrin peut illustrer ce poème, car il est comme coupé en deux : « notre

LEFORT Amaury 3eB Questions 1 à 8 pages 244-245 Poèmes : Paul Éluard « Courage » et Robert Desnos « Demain » 1) Le poème « Courage » a été écrit en 1944 et le poème « Demain » a été écrit en 1943. La France est en pleine deuxième guerre mondiale et subit l’Occupation des Allemands. Les mots qui permettent de montrer que c’est une période difficile sont : froid, faim, ne mange plus, vieux vêtements, malheur, affamés, pâleur, maigreur, tremblant, souffrant, gémir, éteint. 2) Paul Éluard

 on retrouve ici des références à sa terre natale à  laquelle  il  est  très  attaché  :  vers  8  “les  prés”,  vers  10  “verte  rive”,  vers  11  “fleuve  mien”  qui  évoque  la Loire, finalement vers 14 “l’angevin”.  Ce poème reflète une expérience personnelle  .  (​ le moment)  Le  poème  se  situe  au  levé  du jour, vers 6 “l’aube”.On voit encore les étoiles de la nuit , le ciel  rougit   ,  ensuite  au  vers  7  “mille  perlettes  rondes”  il  utilise  une  métaphore  pour  désigner  la  rosée. 

Sonnets pour Hélène, Te regardant assise Ronsard Introduction: Ce poème figure dans le recueil des Sonnets pour Hélène, oeuvre de la maturité du poète. Fille d'honneur de la renne Catherine de Médicis, aussi remarquable par son esprit que par sa beauté, Hélène de Surgères avait perdu son fiancé dans la guerre civile et demeurait inconsolable. La reine invita Ronsard à l'immortaliser. Peu à peu, malgré leur différence d'âge et la réserve de la jeune fille, il se prit de l'aimer sincèrement

9) -> rime avec "aurore" (vers 11) pour évoquer le résultat de leur ténacité - jeu avec les rimes de la 1re strophe en opposant "force" (vers 1) de l'attente et les "entorses" (vers 3) du temps gémissant b) La force collective - choix d'énonciation par Desnos -> force venant d'un élan de collectivité. Résistant dès le 1re vers, rejoins par d'autres dans la 2me strophe -> emploit le pronon "nous" : anaphore + répétition de nous à partir de la 2me strophe jusqu'à la fin du poème - Pronom "nous"

Texte C - Pierre de Ronsard, Sur la mort de Marie, sonnet CVIII, Le Second Livre des Amours (1578). Texte A - Paul Eluard : «Notre vie» (Le Temps déborde, 1947) Notre vie tu l'as faite elle est ensevelie Aurore d'une ville un beau matin de mai Sur laquelle la terre a refermé son poing Aurore en moi dix-sept années toujours plus claires Et la mort entre en moi comme dans un moulin Notre vie disais-tu si contente de vivre Et de donner la vie à ceux que nous aimions Mais la mort a rompu l'équilibre

Commentaire du poème Le poète s'en va aux champs de Victor Hugo Le poème Le poète s’en va aux champs, est apparu dans le recueil Les Contemplations, livre I, dans la section Aurore, publié enavril 1856. Le poème date de juin 1831. Les Contemplation se divise en deux parties : autrefois et aujourd'hui. La mort de Léopoldine, fille de V. Hugo, trace la frontière entre ces deux mondes. Dans lapremière partie, "autrefois", les poèmes chantent la joie de vivre, l'amour et la nature. Ce poème de style romantique

A travers ce corpus de poème nous pouvons voir directement un certain aspect engagés de ces différents poètes en ce qui concerne le sujet de la Guerre. En effet, nous pouvons voir cet aspect critique de Rimbaud dans son poème « le mal », celui de Boris Vian dans « A tous les enfants… », ou encore Pierre Audier (également connu sous le nom de Robert Desnos, et enfin Gabriel Celaya, un poète espagnol dans son poème « La poésie est une arme chargée de futur ». En effet, ces quatre poèmes, tournent autour