Poeme If Kipling

bleus, s'éparpillent,  flottants et voletants,  comme de bleues brindilles d'une lettre d'amour au vent, d'une lettre déchirée  qu'on était en train de faire  pendant que la destinataire  hésitait à l'entrée. Rainer Maria Rilke (20e s )      IF... (Traduction de Jules Castier) SI... Si tu peux rester calme alors que, sur ta route, Un chacun perd la tête, et met le blâme en toi; Si tu gardes confiance alors que chacun doute, Mais sans leur en vouloir de leur manque de foi; Si l'attente

« jeunesse », qui englobe une communauté d’individus unis par l’âge. Le terme a ici un effet dramatique puisqu’il conglomère par ce biais les jeunes en une entité unique et puissante qu’il prend à parti dans une même unité. De même, Kipling, dans son célèbre poème en alexandrins « If », publié en 1918 et traduit en Français par André Maurois, dresse un portrait moral élogieux de l’homme idéal, et joue sur les contrastes qui traduisent les difficultés rencontrées dans cette quête de la sagesse : « si tu peux

fondée en octobre 1933 par José Antonio Primo de Rivera[20], fils de l’ancien dictateur, señorito (+/- play boy, voire « fils à papa »[21]) courageux et sympathique à ses adversaires, fasciste catholique, qui lisait If de Rudyard Kipling (« Un jour tu seras un homme, mon fils… », un poème mis en musique par Bernard Lavilliers…) avant de lancer ses militants au combat. La Falange fusionne en mars 1934 avec les JONS sans pour autant que l’idéologie (un carlisme sans référence monarchiste, plus anticapitaliste)

(vir) et la femme ? 2- Ensuite ; à quelle motivation l’émetteur obéit-il en faisant cette observation ? Est-ce un reproche adressé à quelqu’un dont la conduite bestiale ou cruelle est indigne d’un homme ? Ou est-ce un compliment, comme dans le poème de Kipling, « If », où un père enseigne à son fils qu’être homme, c’est être capable de « voir détruit l’ouvrage de (sa) vie et sans dire un seul mot (se) mettre à rebâtir », et conclut « You’ll be a man, my son ! » ? Ainsi, selon le contexte, même la phrase

bourgade située dans le comté de Meath, existaient dès le xviiie siècle avant J.-C. Elles consistaient en divers concours que les Grecs ne pratiqueront pas, notamment le saut en hauteur et le lancer d'un essieu de char, le roth-cleas. Un fragment de poème, datant du vie siècle avant J.-C., émanant d'Aristée, chroniqueur de l'île de Marmara, nous apprend que de lointains peuples du nord s'adonnaient à l'athlétisme : il s'agissait peut-être de ce guerrier d'une force surnaturelle qui se saisit à deux

avait refermé sa main sur la sienne et l'avait f serrée fiévreusement. Il sentait les cals de ses mains frotter If contre les siens, et une grande pitié lui gonflait le coeur. Il voyait l| ses yeux affamés, pleins de désir et son pauvre corps de jeune J femelle mal nourrie, d'une maturité précoce déjà flétrie. Alors j doucement, il l'avait enveloppée de ses deux bras, s'était baissé If et l'avait embrassée sur les lèvres. Il avait encore dans les i oreilles son petit cri heureux et la sentait

centuries and it is only in the last generation that Laclos’ Les Liaisons dangereuses has overtaken Rousseau’s La Nouvelle Héloïse as the finest of eighteenth-century novels. Authors and books wither and die while others are constantly rediscovered; and if whole genres (tragedy for instance) disappear, new ones (cinema, most obviously) emerge to take their place. It may well be that the only helpful characteristic of Literature is the ability of some plays, poems and novels to stir a vital reaction, irrespective

religieux par ses parents libres penseurs qui lui donnèrent une éducation laïque et antifasciste, son père lui inculquant le goût des classifications. Mais il était plus attiré par la littérature, ses lectures favorites étant celles de Stevenson, Kipling et, surtout, Nievo. Il fut fasciné aussi par le cinéma. Il écrivit des pièces de théâtre comiques, des nouvelles, des bandes dessinées et même quelques poèmes. En 1941-42, il fit, dans l’étouffante atmosphère du fascisme (période qu'il allait évoquer

hommes sous son Commandement afin qu’ils puissent, sans aucun doute, battre toute force qui leur serait opposée sur le champ de bataille. Je suis, Monseigneur, votre obéissant serviteur. WELLINGTON « Tu seras un Homme, mon Fils » Poème de KIPLING Si tu peux voir détruit l’ouvrage de ta vie Et sans dire un seul mot te mettre à rebâtir, Ou perdre en un seul coup le gain de cent parties Sans un geste et sans un soupir, Si tu peux être amant sans être fou d’amour ; Si tu peux

. . ] par les mineurs, les ouvriers et les De fait, il existait un très actif parti des Travailleurs à Chicago, fort de plusieurs milliers de membres, originaires pour la plupart d'Allemagne et de Bohème. Ce parti entretenait des relations avec la If< Internationale d'Europe. Au beau milieu des grèves des che­ mins de fer, à l'été 1877, il organisa un rassemblement de six mille personnes environ, au cours duquel on exigea la nationalisation des chemins de fer. Albert Parsons fit un discours inspiré