Poésie pastorale

de cours et la vie campagnarde. -l’ombre et le frai vers 24 sont des métonymies qui renvoient à l’idée de nature. On peut voir la paronomase avec « ombre »et « sombre asiles ». La nature est vue comme un refuge de l’Eden ( paradis) -> image pastorale: image du berger dans la nature paradis champêtre -> image bucolique inspirée de l’auteur, poète Virgile. 3) solitude productive Retrait dans la solitude. Elle est associée au vers 38 à l’image du désert. Ce n’est pas un milieu aride, sec

Les ombres tombent des montagnes,  Elles croissent à veüe d'oeil,  Et d'un long vestement de deuil  Couvrent la face des campagnes. | 3.2 Pyrame et Thisbé | 1621, poème dramatique, ou baignait en partie une atmosphère pastorale, était aussi le lieu d’une intense poésie de la nature ou la passion était amplement valorisée.Poème ayant pour but l’amour entre Pyrame et Thisbé. S’aime mais sont séparé par leur sang et leur famille. C’est également l’unique œuvre dramatique du poète.En 5 actes.Dans

Montesquieu. Marivaux. Prévost. (p.58) 16.Le théâtre. Le sage. Marivaux. (p.61) 17.La crise de la poésie. Les idées esthétiques. La nouvelle sensibilité. (p.63) 18.Voltaire, théoricien, « philosophe » et écrivain. (p.64) 19.Un homme-clé du XVIIIéme siècle :Diderot. (p.68) 20.Rousseau et le préromantisme. (p.71) 21.Vers la Révolution. Le théâtre : Beaumarchais, Mercier. Le roman : Laclos, Sade. La poésie : Chénier. (p.75) 1.Humanisme et Renaissance. L’École lyonnaise

Molière), dialogue dans le théâtre comme dans la fable * Lettres, maximes => littérature morale vise à donner un savoir moral -> car les divertissements font oublier les notions de bien et de mal et il faut le leur rappeler * Le roman : registre pastoral => La scène littéraire du 17e s. est occupée par la querelle des anciens et des modernes. Les anciens, représentés par Boileau LF et Molière, revendiquent le classicisme et considèrent que les écrivains de l’antiquité ne peuvent être qu’imités

mais fait preuve d’humanité. De plus, c’est un héro qui connait l’échec. | Epopée traditionnelle qui se déroule avec l’aide des dieux. | * L’importance de la Muse La muse de la poésie épique est Calliope (on la considère comme étant la mère d’Orphée). La poésie épique est donc considérée comme une poésie divine mais aussi comme un art divin. En effet, selon les grecs, le poète ne crée pas, il ne fait que transmettre ce que lui inspire la muse. (Chant VIII, p 137) * L’énigme du « je »

teintées d'amour et de souffrance, le tout bercé par des images énigmatiques. Lorsque Gala le quitte pour Dali, la rupture lui est douloureuse. Mais le poète s’évertue à utiliser ses déboires amoureux pour parfaire son art et s’adonner de plus belle à la poésie. Artiste majeur, les poèmes de Paul Eluard sont considérés comme de véritables chefs-d'oeuvre. JEAN DE LA FONTAINE Issu d'une famille relativement bourgeoise, Jean de La Fontaine passe toute son enfance et son adolescence

LE THEATRE CLASSIQUE I) Introduction Au début du siècle, le théâtre n'est pas un genre fort noble : il est joué par des comédiens nomades, devant un public plutôt grossier. Le répertoire est alors assez pauvre, constitué surtout de pastorales. À la fin du siècle, c'est un tout autre tableau. Au XVIIe siècle, le théâtre obtient ses lettres de noblesse et devient le siècle du théâtre. Les succès littéraires grandissant, le plus beau moyen de mettre en avant tous les beaux textes restait sans

mouvements littéraires ou spirituels -Le monastère de Port- Royal est le centre du : Jansénisme -Les auteurs suivants peuvent être qualifiés de baroques : Cyrano de Bergerac/Paul Scarron -Les principaux genres précieux sont : le roman/la lettre/la poésie galante -La « génération de 1661 » comprend : Molière/Racine/La Fontaine/Boileau Les auteurs et leurs œuvres -L’art poétique de Boileau paraît en : 674 -Le succès de Racine cesse après l’échec de : Phèdre -Les remarques sur la langue française

l’Inventif », apparait juste le pronom personnel « moi ». On hésite sur le nom de ses parents, on est même allé jusqu'à faire d’Homère un Dieu et il partageait le cœur des muses, jusqu'à supposer qu’il pouvait être le fils d’Apollon (dieu des arts et de la poésie) et de la muse Calliope ; d’autres on dit qu’il était le fils de Hermès ; pour lui donner une importance plus grande qu’il était le fils d’Orphée et de Musée. On suppose qu’il vient de Smyrne où coule le fleuve qui lui a donné son 1er nom. Mais on

et l’idée qu’on se fait de l’amour à une époque (cf. Les femmes savantes). 4. Dans la farce : Gauloiseries (ex. Rabelais), cocuage (cf. George Dandin) Amour lyrique 1. lyrisme galant et mondain : la poésie marotique, le sonnet pétrarquiste, le roman précieux ou pastoral développent les thèmes galants (compliments à l’être aimé, tourments de l’amant…) selon une phraséologie raffinée (carte du Tendre) ; ex. Honoré D’Urfé. 2. la passion inquiète : l’amour, mélange de plaisir et de souffrance