Poesie Transfiguration Du Reel

1. Les courants litteraires au XIX et XXeme siecles Premierement je decrit une litterature francaise au XIX siecle avec sa chaque domaine : la poesie, le theatre et les romans : La littérature française du xixe siècle s'inscrit dans une période définie par deux dates repères :1799, date du coup d'État de Bonaparte qui instaure le Consulat et met d'une certaine façon fin à la période révolutionnaire, et 1899, moment de résolution des tensions de l'affaire Dreyfus et de la menace du Boulangisme et

....................................................................................... 3 Piste 1 : Face à l’Histoire......................................................................................................................... 4 1. La poésie épique : de la matière légendaire à une métaphysique de l’histoire ......................... 4 2. Quelle responsabilité des poètes face aux désastres et crises de l’histoire ? ........................... 5 3. Mêler l’intime et l’historique : l’historicité

jouir de plus grandes œuvres de la littérature et de l'art. L'on pourrait presque parler d'émulation morale des peuples par les auteurs. Les romanciers et conteurs seraient alors les « professeurs des peuples » car mettant devant eux la transfiguration du réel en sorte qu'ils voient, pour les bons lecteurs en tout cas, les idées et enjeux de l'œuvre. Or « rire est le propre de l'homme » dit Rabelais. Il faut donc tenter de faire passer des idées par le biais de la comédie ou de l'ironie mais aussi

contenir de poétique dans l'historique. » Et comme exemple de modernité, Baudelaire cite le dessinateur Constantin Guys. En apparence, un flâneur, un collectionneur de curiosités; il reste « le dernier partout où peut resplendir la lumière, retentir la poésie, fourmiller la vie, vibrer la musique, partout où une passion peut poser son œil, partout où l'homme naturel et l'homme de convention se montrent dans une beauté bizarre, partout où le soleil éclaire les joies rapides de l'animal dépravé [7] ».

**Les réflexions de Platon et Aristote sur le théâtre posent trois questions auxquelles les théories postérieures sur le théâtre, jusqu'à l'époque contemporaine, n'ont cessé de chercher à répondre : -Quel rapport le théâtre entretient-il avec le réel ? -Quel impact le théâtre a-t-il sur le spectateur et sur l'acteur ? -Quelles sont les caractéristiques de l'écriture dramatique par rapport aux autres genres littéraires ? 1- La mimesisMimesis

monologue intérieur autonome, « a monolog-novel » (monologue en une nuit avec absurdité jusqu’au suicide satyrique puis dénouement grotesque). Il est avant tout un dramaturge. Dans Melle Else, croisement entre monologue intérieur et théâtre (et non pas poésie). Il s’appuie sur la dernière définition de Dujardin pour critiquer Joyce : « donner l’impression du tout-venant », une matière informe dont il va chercher à dramatiser le déroulement en y ajoutant l’exploitation de l’idée de crise, d’un moment extraordinaire

nos préjugés à propos de la réalité quotidienne, vis-à-vis de laquelle elle nous aide à prendre une distance salutaire, en nous permettant de voir lucidement le réel qui nous entoure, et même, pour les plus heureux, comme le montre la fameuse allégorie de la caverne du livre 7 de la République, elle permet de voir ce qui est réellement réel au-delà des apparences immédiates. C'est une activité réflexive, de prise de conscience de soi, le lieu où la pensée s'exerce explicitement et en toute conscience

ORGANISEE et VIVANTE. 111. « Le sentiment est un être qui vit et qui change par conséquent sans cesse » / « il n’y a guère dans l’âme humaine que des progrès . » (109) Une sensation qui change n’est plus du tout la même sensation. Le changement réel est sans substrat identique, sans noyau commun, il est HETEROGENEITE PURE. 59 : le langage est homogène alors que les ressentis de notre conscience sont HETEROGENEITE PURE. « la pure durée pourrait bien n’être qu’une succession de changements

les éléments du réel, sans rien choisir, serait, si cette entreprise pourrait s’imaginer, répéter stérilement la création… en fait… l’art n’est jamais vraiment réaliste. » Afin de mieux mettre en relief l’inaccessibilité d’un idéal purement mimétique, le lauréat du Prix Nobel de Littérature imagine alors un cas limite : celui d’un homme dont les moindres faits et gestes auraient été filmés, depuis sa naissance, par une caméra, braquée en permanence sur sa personne. Quoi de plus réel, en effet, qu’une

mais ne s’y réduit pas» Ainsi, dans le domaine de l’apprentissage d’une langue, il ne suffit pas de posséder des savoirs linguistiques et des savoir faire communicatifs pour être à même de communiquer efficacement dans une situation de communication réelle. Dans la perspective de dépasser la trilogie «savoir, savoir faire et savoir être», la compétence est à considérer en termes de savoir combinatoire « qui s’acquiert dans et par l’action » comme le souligne Le Boterf. Ceci permet de dire que : l’élève