Poignard

Raquin, qui est devenue paralysée et muette, vit toujours avec eux. Leur mariage tourne mal, Laurent se met à frapper sa femme, et un jour, ils décident de se tuer réciproquement : Laurent envisage d’empoisonner Thérèse, tandis qu’elle pense le poignarder. Avant de commettre l’irréparable, ils découvrent ce qu’ils ont décidé de faire, et s’empoisonnent, d’un commun accord, sous l’œil de Madame Raquin. Cette œuvre est la troisième d’Emile Zola, qui déjà fidèle au naturalisme, a voulu créer des tempéraments

son arme. Après plusieurs esquives, Blod avait compris le système d'attaque de son ennemi et décida d'agir. Il para la lame de son adversaire avec la première de ses dagues qui aurait pu se briser sous la force du coup ennemie, mais étonnamment le poignard ne broncha pas. L'homme de la forêt se servit de sa deuxième dagues pour éventrer son ennemi qui se figea puis s'affala dans le sol poussiéreux bientôt couvert de liquide couleur rubis. Le géant fut prompt à se remettre de la défaite de son ami

Paradoxalement, seuls les yeux des chevaux expriment un peu d'humanité. Ainsi le chaos domine le tableau, autant pour la forme que pour le fond. La composition est marquée par le désordre : au centre la tache rouge sang du mamelouk supplicié, un poignard espagnol et un poignard français sont dirigés vers lui. Ici, Goya révolutionne la représentation de guerre. Traditionnellement, les peintures de bataille servent à louer les vainqueurs qui veulent voir leurs actes immortalisés et qui commandent les tableaux

J’ai fait la fille douce, innocente, et timide,Mais voyez-vous cet oeil de pleurs de rage humide ?Elle tire un poignard de son sein .Voyez-vous ce poignard ? - Ah ! vieillard insensé,Craignez-vous pas le fer quand l’oeil a menacéPrenez garde, don Ruy ! je suis de la famille,Mon oncle ! - Ecoutez-moi. Fussé-je votre fille,Malheur si vous portez la main sur mon époux !Elle jette le poignard, et tombe à genoux devant le duc.Ah ! je tombe à vos pieds ! Ayez pitié de nous !Grâce ! Hélas ! monseigneur,

d’Hernani est mise à prix, mais la loi de l’hospitalité étant sacrée, Don Ruy Gomez de Silva fait barricader le château De Silva et décide de le protéger. Hernani et Doña Sol restent seuls et dissipent tout malentendu. La jeune femme lui montre le poignard qu’elle a dérobé au roi. Hernani et Doña Sol échangent des mots d’amour et s’enlacent. C’est alors que surgit Don Ruy Gomez qui a des mots très durs sur l’attitude d’Hernani mais, au nom de l’honneur, il se refuse toujours à trahir son hôte. C’est

doit se rendre, grâce à une craie magique qui lui ouvre une porte, dans un autre monde souterrain où, grâce à la clef, elle devra récupérer un poignard niché dans une cachette. La cachette se situe dans une salle à manger au milieu de laquelle trône une immense table qui présente de somptueux plats, qu'Ofélia a interdiction de manger. Ofélia trouve le poignard, s'en empare, mais en passant le long de la table au bout de laquelle une improbable créature semblant dormir est attablée, elle ne peut s'empêcher

dispersés IIème axe : la composition de la page Le poème est composé de façon symétrique selon un axe central qui va du C (pouvant figurer le pommeau du poignard tuant la colombe) au ? (au milieu du jet d'eau) et au O à la base du jet d'eau.On distingue deux parties : la colombe : oiseau emblématique de la paix et de l'amour, celui-ci est poignardé. D'ailleurs le vers 1 est brisé au milieu par la disposition de " poignardées " et le C majuscule. La guerre a détruit les relations affectueuses qu'entretenait

2 mai 1808, les Espagnols tuent un soldat français. Goya décide de peindre cette scène et de la représentée comme une mêlée chaotique. La composition est marquée par le désordre ; au centre, la tache rouge du soldat français tué, un poignard espagnol et un poignard français sont dirigés vers lui. Les visages des hommes expriment la sauvagerie, leurs regards sont ceux de bêtes féroces. Paradoxalement, seuls les yeux des chevaux expriment l’incompréhension de ce chaos, ils semblent rester dignes

pas uniquement sur cette question de laïcité. En effet, l’autre problème soulevé est celui de la sécurité. Il est du devoir de chacun d’assurer la sécurité des autres, en ne la menaçant pas. Le port du poignard constitue-t-il une entrave à la sécurité d’autrui? Oui, tout comme un couteau ou un poignard en serait une. Puisque la croix et la kippa, qui sont l’expression évidente de deux religions distinctes, sont tolérées (tout comme la main de Fatima qui elle symbolise la religion musulmane) lors de

écrits à la place de plusieurs personnes. Poème : Ce texte a été écrit dans les tranchés. Description de la forme du poème : 1er dessin ressemble à une colombe = illustration de la première partie du titre + « poignardée » = le C= pommeau d'un poignard 2eme dessin ressemble à des jets d'eau qui jaillissent d'un bassin = illustration de la 2eme partie du titre : « le jet d'eau » = la disposition des mots des poèmes permet de dessiner le thème dont parle le poème. Les dessins sont organisés en