Poignard

d’Hernani est mise à prix, mais la loi de l’hospitalité étant sacrée, Don Ruy Gomez de Silva fait barricader le château De Silva et décide de le protéger. Hernani et Doña Sol restent seuls et dissipent tout malentendu. La jeune femme lui montre le poignard qu’elle a dérobé au roi. Hernani et Doña Sol échangent des mots d’amour et s’enlacent. C’est alors que surgit Don Ruy Gomez qui a des mots très durs sur l’attitude d’Hernani mais, au nom de l’honneur, il se refuse toujours à trahir son hôte. C’est

le fronton de sa maison s'effondrer, et surtout elle a vu Cesar à genoux et poignardé. Faisant fi de ce mauvais présage, le dictateur se rend à la réunion prévue. Alors qu'il s'assoit, les conjurés l'entourent, comme pour lui rendre hommage. SOUDAIN, l'un d'eux saisit la toge de Cesar au niveau des épaules, pendant qu'un autre le FRAPPE par-derrière. Il reçoit 23 coups de poignard. Alors qu'il s'effondre, poignardé à mort, il a le temps de s'adresser à Brutus une dernière fois : «  TOI AUSSI

place pour festoyer Les grandes nappes de tables sont utilisaient pour s’essuyer les mains Absences de manière a table (ont mange avec les doigts / reste au chien) Plat liquide : Ecuelle Aliment solide : Epais morceaux de pain Les couteaux : poignard, dagues ( pas hygiénique) Renaissance : Introduction de la fourchette par Catherine de Médicis Introduction, de l’assiette en faïence Du XVII et XVIII : Apparition service à la Française (chez les souverains et autres maisons bourgeoises

[ Macbeth, après avoir poignardé Duncan et commandité l'assassinat de Banquo par des assassins ; décide de retourner voir les sorcières une deuxième fois pour qu'elles lui « prédisent » ce qu'il va lui arriver. Macbeth cherche de l'assurance, il n'est plus sur de lui, ce dernier est envahi par la peur, consécutive au crime, mêlée de culpabilité et de folie, il est très perturbé même si il a choisi « la voie du sang ». Il vient supplier les sorcières pour qu'elles répondent à ces questions. ]

l’hôtel depuis une bonne dizaine de minutes, c'était lui qui m'avait appelé. Nous étions donc les premiers sur les lieux du crime. Il n'y avait pas de témoin, la fenêtre était resté ouverte, apparemment l'assassin était parti dans la nuit après avoir poignarder de sept coup de couteau la première victime puis de deux la seconde victime. Sur cette fenêtre il y avait quelque goutte de sang sur la poignée. Je m'empressais de récolter les premier indices. L'homme s'était prit sept coup de couteau dans

brigand qui soit, avant sa mort, ce dernier lui raconte sa belle et terrible histoire… Jeune soldat d'origine basque, il croise la route d’une bohémienne, Carmen, aussi belle que sensuelle et en tombe fou amoureux comme beaucoup d'hommes. Lorsqu’elle poignarde une collègue dans un établissement, il l'emmena au poste. Mais sur la route, par amour pour elle, il la relâche, et rentre ainsi dans l’illégalité. Après avoir été dégradé et avoir déserté, Don José devient contrebandier. Mais il apprend que Carmen

Mal. Nous avons souligné la présence de verbe d'actions et d'énumération. La narratrice enchaine les différents verbes d'action "affronter des désastres, courir d'atroces dangers, lutter au bord de précipices, recevoir dans le dos des coups de poignard, être séquestrée, maltraitée par d'affreuses mégères" Il y a également une gradation "précipités du haut des falaises, broyés, noyés, mortellement blessés" Le roman d'aventure met en scène des héros qui vont faire des actions extraordinaires

définitivement installé entre Thérèse et Laurent. Leur vie est une suite infernale de querelles, de cauchemars et d’hallucinations. Après avoir tué une fois, chacun d’eux ne voit que le meurtre de l’autre comme issu possible. Ainsi Thérèse a prévu de poignarder Laurent, tandis que Laurent prépare a sa femme un verre de poison. Ce dénouement met donc un terme à leurs souffrances et à leurs remords. Présentation du texte : dans cet excipit Zola a une intention didactique, à travers une mise en scène habile

», traduisent encore son hésitation face au fait qu’il doit agir et la manière dont il doit le faire. Il n’est pas habituer à tuer, et ne sais donc pas réellement comment procéder. Il s’interroge sur prendre la lame de rasoir ou plutôt le poignard : « le poignard lui répugnait moins » finalement. « Ses doigts crispés » montrent que tout son être est paralysé et anxieux à l’idée de tuer cet homme et il prend vraiment conscience au fur et à mesure qu’ « assassiner, ce n’est pas seulement tuer… ». C’est

il a été peint en 1867, il est exposé au Walters Art Museum à Baltimore aux Etats-Unis. Ses dimensions sont 215,9 x 368,3 cm. Ce tableau représente la mort de César : au milieu du tableau, on peut voir les conjurés habillés en blanc et armés de poignards s'enfuir. Au premier plan à gauche, on peut voir César gisant à terre habillé d'une toge blanche. Derrière lui, on aperçoit un trône bleu renversé à droite, où sont situés les sièges du sénat vides et quelques-uns sont renversés, Il y a une personne