Poignard

petit matin, il resta sur ses gardes et lorsque Astyanax se montra il surveilla ses moindres faits et gestes. Sous ses vêtements il avait dissimulé un poignard, il lui fallait trouver le moment favorable pour tuer Oreste. L'occasion va se présenter très vite lorsqu'Oreste se présente devant lui,Astyanax n'hésite pas un moment et sors son poignard pour lui asséner un coup, mais au même moment la main ferme de Pylade l'arrête dans son geste et l'arme se retourne alors contre Astyanax et lui porte

Un débat de conscience Harmodius est à part : il ne parle pas mais délibère en lui-même. Exprime sa répugnance au crime à la fin du poème : anaphore indignée : “Quoi !”, suivie d’infinitifs qui rendent compte de l’horreur du crime : “frapper”, “poignarder”. Harmodius craint les reproches de sa conscience qui devra rendre compte devant le monde, devant “le ciel noir, (…) ces mers sans borne, (…) ce gouffre obscur et morne, (…) l’ombre et (…) l’immensité”. Figuration du débat de conscience par dédoublement

Les ordinateurs ont tous un vrai virus. Chapitre 13 Après être sorti de la mine Dozmary, il est capturé par les gardes. M. Rictus et Sayle veulent savoir pourquoi Alex ne veut pas parler de son oncle Ian. Alors M. Rictus donne un coup de poignard. Alors Alex dit la vérité. Donc Sayle se souvient de quand il était petit. Les élèves se moquaient de Sayle: ils lui disaient que c'était un nain et un gardien de chèvres. Alors Sayle veut se débarrasser des élèves de toutes les écoles de ce pays

les rats, la maladie, la faim, la souffrance, la peur, et surtout la mort. Ils en sont déshumanisés. En permission, Bäumer retrouve la chaleur familiale, mais ne peut exprimer l’horreur de ce qu’il vit. Rejoignant péniblement l’atroce combat, il poignarde un soldat français et éprouve une énorme culpabilité. Plus tard, avec son ami Kropp, ils sont pris dans un bombardement et conduits à l’hôpital où son camarade est amputé. Remis, Bäumer retourne au front et constate que beaucoup de compagnons sont

Darry se met en colère et le frappe. Ponyboy s‘enfuit et rencontre Johnny. Comme ils errent dans le quartier, Bob, Randy, et trois autres Socs ivres les confronte. Les SOC essayent de noyer Ponyboy dans une fontaine et Johnny est terrifié alors il poignarde Bob, le tuant accidentellement. Ponyboy et Johnny retrouvent Dallas, qui leur donne de l'argent et une arme chargée et leur dit de se cacher dans une église abandonnée. Ils y restent pendant quelques jours, et pendant ce temps Ponyboy lit Gone with

faussement naturel: végétal, semblable à une grotte (symbole du ventre maternel? Grotte platonicienne?), qui n’est constitué ni de courbes, ni de lignes: ambiguïté. • Les lignes de fuite convergent non vers Médée personnage éponyme mais vers le poignard, qui devient le point crucial de la scène et l’enjeu du regard. L’horreur qui n’est pas donnée immédiatement mais résulte d’un travail de suivi des lignes de fuite, est donc savamment mise en scène.L’image de Médée • Médée apparaît comme l’héritière

se trouve rapprochée de Nedjma et croit voir Lakhdar le couteau dans le ventre, entre la vie et la mort (« Jamais je ne pourrai te rassurer Moi le dernier des paysans. A mon arbre sacrifié je ne sais ce qui me retient de l’homme que j’étais ou du poignard qui me supplante », p.59). C’est l’écho de sa voix qui lui parvient et qu’elle associe à son fils. En fait, Kateb Yacine a investi la cause des femmes, une autre catégorie d’opprimés. Il revient sur cette question lors d’un entretien[footnoteRef:1]

d'une vie modeste ! J'étais née, moi, pour être sage, et je la suis devenue sitôt qu'on m'a permis d'user de ma raison. Mais dans l'âge des illusions, de l'inexpérience et des besoins, où les séducteurs nous assiègent pendant que la misère nous poignarde, que peut opposer une enfant à tant d'ennemis rassemblés ? Tel nous juge ici sévèrement, qui, peut-être, en sa vie a perdu dix infortunées ! FIGARO. Les plus coupables sont les moins généreux ; c'est la règle. MARCELINE, vivement. Hommes

converser ), le front plissé, la bouche ouverte. Il est en posture d’infériorité ( puisqu'il est allongé tandis que les femmes sont debout dessus de lui ) et de défense ( puisqu'il a les bras tendu pour empêcher la femme d'appuyer d'avantage sur le poignard ). Holopherne regarde la personne qui regarde le tableau, et qui le regarde donc, il implore son aide. Les deux femmes sont représentées debout à côté du lit, elles sont entrain d'égorger Holopherne. La femme à gauche est habillée d'une robe

d’Hernani est mise à prix , mais la loi de l’hospitalité étant sacrée, Don Ruy Gomez de Silva fait barricader le château et décide de protéger Hernani. Hernani et doña Sol  restent seuls et  dissipent tout malentendu. La jeune femme lui montre le poignard qu’elle a dérobé au roi. Hernani et doña Sol  échangent des mots d’amour et s’enlacent. C’est alors que surgit Don Ruy Gomez qui a des mots très durs sur l’attitude d’Hernani mais au nom de l’honneur, il se refuse toujours à trahir son hôte. C’est