Points Commun De La Comedie Et La Tragedie

pour les questions religieuses, et du forum possible offert par les mystères, donc l’interdiction de représenter des mystères à Paris est prononcée en 1548. Cela ne signe pas tout à fait la mort de cette forme car Marguerite de Navarre a écrit des comédies ou moralités sacrées qui sont à mi chemin entre les mystères et le théâtre savant. Plus tard, on commença à l’employer pour décrire les interludes de jeu improvisé et farfelu joués par les acteurs au milieu d’un drame religieux au théâtre appelés

personnages en action. Il y aurait donc un fondement mimétique essentiel au théâtre qu'Aristote oppose – sans doute trop frontalement - aux arts de la diégèses, aux arts fondés sur le récit. Extrait 1-a : Aristote montre bien qu'il y a un point commun entre l'oeuvre d'Homère, celle de Sophocle et d'Aristophane, l'imitation. Mais c'est le mode d'imitation qui diffère. Un art de la représentation : aurait pour spécificité de rendre effectivement présent. Un art de la présence incarnée. Présence

irruption du surnaturel dans la réalité -> champ lexical mystère, ellipses, figures de style (métaphores, comparaisons, personnifications),... - roman gothique : sentimental et macabre, se caractérise par la présence d'un certain nombre de lieux communs au genre. Il s'agit d'éléments de décor, ou de personnages mais aussi de situations stéréotypées et de procédés narratifs - roman courtois : Long récit écrit au Moyen-Age en vers octosyllabiques/prose. Il met en scène des chevaliers qui combattent

théâtre profane : farce (comédie d'humour grossier, voire obscène)... 2. La Renaissance * arrêt du théâtre religieux suite au décret royal de 1548 interdisant la représentation publique de drames religieux * redécouverte du théâtre antique dans toute l'Europe à commencer par l'Italie : différence entre la commedia erudita (oeuvres littéraires aux modèles classiques) & la Commedia dell'arte (théâtre populaire proche de la farce) * renaissance de la tragédie marquée par les nombreuses

LA COMEDIE. Statut ambivalent : « ancien », mais « bas ». Genre antique : garanti par l’héritage des anciens, grecs (Aristophane) et surtout latins (Plaute, Térence). L’inventio est souvent cadrée par les sujets antiques, puisés chez Plaute et Térence essentiellement, mais pas toujours : l’invention de sujets neufs est mieux tolérée pour la comédie que pour la tragédie. Genre bas : 1/ laisse un peu plus de latitude formelle que la tragédie, est plus perméable à l’influence d’autres formes d’art

moralité du théâtre et sur le jeu de l'acteur (par exemple : Diderot, en partisan de la pantomime (on fera un lien vers la pantomime traitée dans un article consacré à Diderot, le Neveu). Héritages et tendance nouvelles du théâtre au XVIIIème : La tragédie, genre à l'honneur au XVIIème va perdre son importance et se transformer : elle est notamment représentée par Crébillon père et Voltaire. Le premier en fait une sorte de drame sanglant très expressif : il inclut sur scène des scènes atroces qui contrastent

par Pagnol avec Fernandel pour acteur. La pièce est sous-titrée par Pagnol "Pièce en 4 actes ". Elle est précédée d'un parafe "la société, voyez-vous, Monsieur, si elle continue, elle tuera les justes" . Pagnol ne précise pas si c'est une comédie, une tragédie, un drame. C'est une pièce traditionnelle et populaire. Il s'agit d'un texte narratif : l'histoire de la métamorphose en homme d'affaires d'un professeur d'institution privée. Le thème de la pièce c'est essentiellement le rapport entre l'argent

romantique que pour un auteur d’une tragédie classique. L’auteur du drame romantique estime que le non respect de l’unité de temps et de lieu traduit la vraisemblance car une action a sa durée et son lieu propre tandis que l’auteur d’une tragédie classique estime, lui, que le respect de l’unité de temps et de lieu traduit justement la vraisemblance ! ü Il ne tient pas compte de la règle de la bienséance. ü Il adopte le mélange des genres : tragédie et comédie. ü Nous avons un héros dramatique

Sommaire : Introduction Quelque définition Frise chronologique Présentation du 17ème Les moralistes Versailles et les jardins à la française L’académie française La querelle des anciens et des modernes Le genre romanesque Le théâtre classique La comédie classique Le triomphe de Lully La colonnade du Louvre Les Bergers d’Arcadie Conclusion Introduction : Le passage de l’âge baroque au classicisme, qui concorde avec l’établissement progressif d’une monarchie absolu (notamment avec Richelieu et Mazarin

une action importante a ou a eu lieu, « théâtre d'une guerre ». D'après certains metteurs en scène, il suffirait juste d'avoir un lieu, un temps, un acte et un public. Il y a aussi différents types de pièces de théâtre :par exemple la tragédie ou la comédie. Mais pour quelle raison va-t-on au théâtre? Pour tenter de répondre a cette question nous verrons en premier lieu les différentes émotions que le public peut y trouver en fonction de la pièce, l'émotion du direct et l'idéologie de la