Points Communs Classiques Et Néoclassiques

soviétique Nicolas Kondratiev (1892 – années 303) met en évidence (thèse de 1922) l’existence de cycles dont la périodicité serait comprise entre 30 et 50 ans. Schumpeter les baptisera cycles Kondratiev. Ces cycles présentent des caractéristiques communes : . en phase A : les prix, la croissance de l’activité, la production et l’emploi varient dans le même sens à la hausse ; . en phase B, c’est l’inverse : la phase B correspond à la phase descendante du cycle. La phase A correspond ainsi à la période

la perception du rôle des microentreprises dans les économies en développement .. 6 1.1. Jusqu’aux années 80 : la thèse des activités résiduelles et de la dynamique bloquée.... 7 1.1.1. Point de vue microéconomique................................................................................ 8 1.1.2. Point de vue macro-économique : la thèse du missing-middle ................................. 9 1.2. Un intérêt croissant pour les dynamiques des microentreprises depuis les années 80..10 1.2.1

économique), l’économie plurielle représente une société qui se compose de 3 grands secteurs d’activités : 1er secteur : le secteur privé classique qui regroupe des entreprises capitalistes à but lucratif dont leur finalité est la maximisation des profits. // Théorie du producteur (offre) + Théorie des consommateurs (demande). 2ème secteur : le secteur public classique qui regroupe un gouvernement et une administration qui gèrent des activités qui sont offertes gratuitement ou quasi-gratuitement, à la

Boudon, les individus ont toujours de bonnes raisons d’agir comme ils le font. La tâche du sociologue est de retrouver ces bonnes raisons afin de comprendre le comportement des acteurs. Trois définitions de la rationalité : celle des économistes néoclassique : raisons objectives qui fondent l’action rationalité axiologique de Weber (avec valeurs morales) rationalité psychologique proposée par Boudon (émotions, passion…) D’une manière générale, Boudon n’envisage pas qu’une action soit considérée

. . . . . 7 1.2.2 Choix et coûts d’opportunité individuels . . . . . . . . . . 8 1.2.3 Choix et coûts d’opportunité collectifs. . . . . . . . . . . . 10 1.2.4 Frontière des possibilités de production . . . . . . . . . . 14 2 La théorie néoclassique du consommateur 17 2.1 La contrainte budgétaire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 17 2.2 Les préférences du consommateur. . . . . . . . . . . . . . . . . . 18 2.3 La fonction d’utilité . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

sorties du contexte dans lequel elles ont été écrites, parfois brandies comme des slogans publicitaires par les spécialistes du « prêt-à-penser ». Ainsi en va-t-il de la célèbre métaphore de la « main invisible », qui sert encore de véhicule aux lieux communs les plus redoutables sur les bienfaits de l’économie de marché. Les interprétations généralement associées à la métaphore, censée symboliser tantôt le fonctionnement présumé harmonieux du « marché », tantôt la convergence spontanée des intérêts privés

indépendamment de ses manifestations concrètes. Partant, s’intéresser à l’essence du droit pénal implique que l’on s’intéresse au droit pénal en lui-même et sans prendre en considération les règles qui le composent. Pour mieux cerner le droit pénal de ce point de vue, il faut d’abord s’intéresser ce à quoi il s’applique, à son objet, puis à ce qui fait sa spécificité. TITRE 1 : L’OBJET DU DROIT PÉNAL L’objet du droit pénal permet de connaître la raison de son existence. Le droit pénal s’intéresse au phénomène

donc production marchande et non marchande. Service non marchand : police, justice. Service marchand et non marchand : éducation, santé. Production exclut certaines activités : travail bénévole, femme au foyer… Le courant des économistes néoclassiques du début des années 70 jusqu’à aujourd’hui a une vision subjective de la production. Tout ce qui satisfait un besoin directement ou indirectement relève de la production qu’il y est ou non échange. C’est une conception qui sert de bas à de nombreux

MACROECONOMIE Introduction à l’histoire de la pensée économique (HPE) Chap 1 : Deux grands apports de l’analyse classique. Chap 2 : Quelques grands apports l’analyse néo-classique. Chap 3 : Les déterminants de l’inflation à LT. La reformulation de la TQM. Chap 4 : Un développement contemporain de l’économie. * Définition de l’HPE : L’HPE peut être définie comme l’histoire des idées, des méthodes et des théories scientifiques dans le domaine de l’économie. Les idées émanent d’auteurs

académiques d’auteurs contemporains clés tels que : Granovetter, swedberg, white, burt, Bourdieu… 2. Commenter : « Il existe aujourd’hui presque autant de champs de recherche et de méthodologies en sociologie économique qu’il en existe en économie ». Autre point de complexité : à côté des sociologues qui analysent à leur manière les objets d’études traditionnels des économistes (la monnaie, les marchés, les entreprises, le travail, etc.), il y a des économistes qui analysent à leur manière les objets d’études