Points Communs Fascisme Nazisme Stalinisme

bien-être ? Comment définir rigoureusement ces finalités ? Et quelles sont précisément les institutions politico-juridiques (constitution, législation, type de gouvernement, etc.) qui permettent de réaliser ces différents types de finalité ? De ce point de vue, il faut veiller, dans le traitement d’une telle question, à ne pas se contenter de parler de l’« État » en général, mais distinguer entre différents types d’États, de régimes politiques, de législations. III. Peut-on attendre de la politique

pour l'URSS et des difficultés et erreurs politiques nées de la fin de la Première Guerre mondiale pour l'Italie et l'Allemagne. Comme nous l'avons vu plus haut, ces régimes ont de réels points communs, mais aussi leurs spécificités propres. 1. La naissance des régimes totalitairesLa conquête du pouvoir par le fascisme en Italie• Entre 1918 et 1920, une importante crise morale, politique et sociale secoue l'Italie. Des usines sont occupées par les ouvriers à Milan et à Turin. La multiplication des mouvements

..................... 40 L'avènement du stalinisme ........................................................................................................... 40 La structuration du communisme international ............................................................................ 41 Parallèle avec la Révolution française ........................................................................................... 42 Une autre alternative ? Les fascismes ........................................

Révolution a proclamé) Dès la naissance du mot, le clan des libéraux est loin d'être homogène: monarchistes, bonapartistes... chacun étant un aspect différents du libéralisme. Il existe des nuances d'un groupe à l'autre mais des principes restent communs: gens hostiles aux menées contre révolutionnaires (aristocrates, cléricaux) les libéraux s'entendent pour défendre les principaux acquis politiques de la Révolution car ils ont un fort attachement à un régime de type parlementaire. Foi dans les

mixte la démocratie grecque, c’est un régime qui a pu servir de modèle pour ceux qui se sont opposé aux monarchies absolues notamment. Pour autant c’est un régime qui doit être démythifié, il faut en prenant la réalité concrète à Athènes, soulever 4 points qui illustre le caractère très problématique : le principe de la participation : on sait que à Athènes il y a avait beaucoup de citoyens qui se désintéressait de la vie politique => grande indifférence. C’était le cas surtout quand les décisions

modèle de l’Eglise catholique. Toutes les autres Eglises réformées ne connaissaient d’un point de vue institutionnel que des pasteurs et des consistoires. Dans l’Eglise anglicane, au dessus des pasteurs, il y a les Evêques. Or, tous les réformés d’Angleterre n’acceptent pas ce type d’organisation (on parle souvent d’organisation épiscopalienne), nombreux sont ceux qui sont aussi en désaccord sur certains points de doctrine, et l’ensemble de ceux qui critiquent cette proximité entre l’Eglise anglicane

Chapitre 1. Nous verrons ensuite que cette Première guerre mondiale peut être perçue comme le berceau du 20e siècle : c’est de cette guerre que débouchent toutes les idéologies -> accouche du communisme et des nouvelles formes de nationalisme (fascisme, nazisme). C’est une guerre qui va faire apparaître les grandes fluctuations économiques du 20e siècle. On verra que le monde prend appui sur de nouvelles idéologies et démontre la quête universelle d’un modèle social. Chapitre I : La Première Guerre

jeunesse, la propagande et le culte du chef sont omniprésents, ceux qui sont considérés comme des opposants aux différents projets totalitaires sont persécutés, enfermés. La violence extrême est une méthode commune aux trois régimes. I La genèse des régimes totalitaires A De la Révolution au stalinisme 1 La Russie en crise En 1917, la Russie est un pays archaïque : Le tsar a tous les pouvoirs. La population est majoritairement rurale et de nombreux paysans vivent encore sous un régime féodal. Le régime

vague révolutionnaire : monarchie de juillet (Bourbons)). En 1848 (2e République jusqu’en 1852 où Napoléon III devient empereur, 2e Empire) et 1870 (2e République) aussi, on observe de nouveaux élans révolutionnaires et révoltes partout en Europe (Commune de Paris,…)  désir de révolution, mais propre au pays. Une révolution volée ? Où est la souveraineté populaire promise ? C’est l’avènement du siècle bourgeois. Bourgeoisie : ce n’est ni le peuple, ni l’aristocratie ; elle veut

culture comme ce qui vient adoucir et policer les murs humaines et lloigner dune nature frustre, rude et violente. Et pourtant, il suffit dune simple constatation historique pour mettre mal cette ide le XX sicle, raffin par sa culture la fois dun point de vue artistique et technique, voire politique est galement un sicle de grande barbarie. Si on analyse le lien entre culture et barbarie, il est bien sr souhaitable de montrer comment la premire peut mettre un frein la seconde, mais galement impossible