Poiret

fougueux de ses pièces repose sur un effet comique qui ne peut être bien rendu que s'il est vu. Et, plus près de nous, une pièce comme La Cage aux folles de Jean Poiret est difficilement lisible. Non pas que les dialogues soient compliqués, mais encore une fois, même si l'on a une imagination fertile, il est difficile de croire que la scène où Poiret apprend à son partenaire et complice Michel Serrault comment tartiner ou porter une tasse à ses lèvres, donne le même effet lue que vue. Il est aussi possible

  Fiche 1  Le roman Le Père Goriot commence à Paris à  l'automne 1819. Dans la pension Vauquer, rue  Nueve­Sainte Geneviève, sept pensionnaires  habitent ensemble : Mlle Michonneau, Victorine  Taillefer, Madame Couture, Monsieur Poiret,  Bianchon, Vautrin, Eugène de Rastignac, et le  père Goriot.    Rastignac est un beau, jeune et ambitieux homme  qui vient d'une famille noble à Charente. Il arrive à  Paris pour faire ses études de droit et trouver  fortune. Sa famille n'a plus de l'argent, mais il 

complète faite par le narrateur des lieux et des personnages. Après avoir décrit la pension, le narrateur nous promène dans une véritable galerie de portraits des habitants où figurent la propriétaire Mme Vauquer, la vieille demoiselle Michonneau avec Poiret, et Victorine, Mme Couture sa gouvernante puis celle du Père Goriot. Quand il présente un personnage, le narrateur veut créer un effet de réalité en imposant une physionomie. Dans le cas de Vautrin, personnage déguisé sous une fausse identité, l’entreprise

indépendantes juxtaposées évoquant l'action de Rastignac s'oppose la longueur languissante de la phrase : «Le travail, compris comme vous le comprenez en ce moment, donne, dans les vieux jours, un appartement chez maman Vauquer, à des gars de la force de Poiret ». · Vautrin instaure une relation de maître à disciple à l'égard de Rastignac comme le montre l'accumulation des verbes d'ordre : «  jugez », « il faut ». · La scène pose le hors la loi comme reconnaisseur de talents.  II/ Le cynisme de la morale

depuis 40 ans une pension bourgeoise rue Neuve-Sainte-Geneviève en compagnie de Christophe et de la grosse Sylvie. Dans cette pension logent divers personnages tels que Madame Couture, veuve d’un commissaire ordonnateur de riche dot, un vieillard nommé Poiret, Vautrin, un personnage railleur et sarcastique échappé du bagne, Eugène de Rastignac, jeune homme qui se prépare à une belle destinée et enfin le père Goriot, ancien fabricant de vermicelles vivant dans les mêmes appartements que mademoiselle Michonneau

fille que son père a déshéritée après la mort de sa mère, au profit de son frère, mais elle récupérera son héritage après la mort de son frère. Elle vit pauvrement avec une parente, Mme Couture • Mlle Michonneau, femme avide et peu morale • Poiret , c'est un homme qui contribue aux conversations en répétant toujours ce que les autres viennent de dire. • Bianchon, medecin, il est ami a Rastignac. La composition : Parties: Personnage principale: Pages: Type: I) Une pension bourgeoise

ses espérances trompées. Vautrin : Autrement Jean Collin est un prisonnier évadé qui tente de cacher sa véritable identité, et il essaie de donner à Rastignac des leçons pour devenir riche en tuant le père de Victorine Taillefer. Le couple M. Poiret et Mme : Ce couple va dénoncer à la police pour gagner la récompense promise pour la capture du prisonnier évadé.

millions de personnes.Chapitre 8 : Sa mère réussit à ouvrir une boutique. Ils ouvrirent un salon « Maison haute couture de Paris » et ils affirment que M. Paul Poiret serait présent. Elle appela un ancien camarade à elle au temps de sa ‘’ carrière théâtrale ‘’. Elle fit venir un certain Alex Gubermatis qui était acteur, il se déguisa en Paul Poiret et joua son rôle et dès le lendemain, la boutique haute couture fut lancé avec éclat et les célébrités ainsi que les riches vinrent s’habiller chez eux.Chapitre

seront ses amants, se drogue et finis par épouser un homme « respectable »avec qui elle termine sa vie, bien que stérile. Mais le terme garçonne est évidement plus ambiguë. D'un côté une mode orchestré par les grands noms de la haute couture : Paul Poiret, Channel, Anna, de l'autre il s'associe volontiers à un côté plus péjoratif : femme-homme, uranienne, c'est à dire homosexuel ou une manière de s'émanciper que l'on associera plus au terme "femme émancipée". Combat féministe, lesbien, ou simple forme

Résumé: Paris, automne 1819. Dans une pension miteuse de la rue Neuve-Sainte Geneviève, la maison Vauquer, se côtoient des pensionnaires et des habitués du quartier. Ils ont pour nom Mlle Michonneau, Victorine Taillefer, Madame Couture, Monsieur Poiret, Bianchon, Vautrin, Eugène de Rastignac et le père Goriot. Il y a le père Goriot, soixante neuf ans, le plus âgé de la Maison Vauquer et aussi le plus ancien des pensionnaires. Les premiers temps, il habitait au premier étage l'appartement le