Poiret

Etude du portrait de M. Poiret 1. Quelle est la visée de cette description ? C’est une description dévalorisante. 2. Comment ce portrait s’organise-t-il ? En trois parties : - la description physique (l. 1-14) - la recherche des raisons expliquant cette apparence :( réponse son travail (l. 14-24) - conclusion : sa place sociale nécessaire (l. 24-fin) 3. Par quel procédé le narrateur passe-t-il d’une partie à l’autre ? Trouvez-vous judicieux le procédé utilisé ?

l'époque, est réservée aux veuves et aux domestique.  Elle n'est pourtant pas la seule à l'époque à utiliser le noir, mais la seule à l'imposer avec autant d'importance dans ses tenues de jour ou de soir. À la vision de cette petite robe noire, Paul Poiret dira que Gabrielle Chanel a inventé la« pauvreté du luxe ». La petite robe noire appelée officiellement LBD en anglais « Little Black Dress », devient alors symbole d'élégance et de raffinement. André Leon Talley précise que « dans les années

garnis d’une abondance de fleurs disposées en buissons, on pouvait aussi trouvait des plumes d’autruches à brins renoués qu’on appelait des « pleureuses ». Par la suite, les chapeaux se firent plus petits. On vit apparaître le du turban, lancée par Poiret. Pou la première fois certaines femmes ont eu le courage de couper leur cheveux, l’auteure de cette innovation fut Eva Lavallière. De multiples autres accessoires étaient également de rigueur. Les ombrelles destinées à protéger la blancheur du teint

brodés de strass et de perles, comportent des panneaux qui permettent le mouvement, comme cette robe de 1923 signée Lenief, baptisée "Ouvert la nuit", du nom d’un roman de Paul Morand paru en 1922. L’exposition présente d’autres robes signées Paul Poiret, Jacques Doucet, Jean Patou, Lucien Lelong... Les soirées mondaines ou de gala imposent une élégance plus luxueuse. On pourra notamment admirer le manteau "Sigurd" dessiné par Jeanne Lanvin en 1927, en taffetas de soie brodé de paillettes et de fils

l'occasion du Salon d'automne et de la présentation des réalisations du Deutscher Werkbund (Ateliers allemands), les artistes français prennent conscience de la nécessité d'un renouveau stylistique, dont le précurseur sera un grand couturier : Paul Poiret, ébloui, lors d'un voyage à Vienne en 1911, par les Wiener Werkstätte (Ateliers viennois) de Koloman Moser et Joseph Hoffmann, et admirateur des Ballets russes de Diaghilev. Il transpose dans la mode et les tissus d'ameublement la féerie colorée d'un

sans modération, il s'imprime désormais sur toutes les matières, mélanges de coton, laine, crépon ou mousseline. C’est devant tant d’engouement qu’au début des années 1920, une succursale s'implante à Paris et rayonne dans toute la capitale. Paul Poiret, couturier français connu pour son audace et précurseur du style art déco en achète pour égayer ses collections.

prête les fonds nécessaires à l'achat d'une patente et à l'ouverture d'un salon de modiste au 31 rue Cambon à Paris, sous le nom de « CHANEL MODES ». Suivant sa seule inspiration, elle raccourcit les jupes et supprime la taille. À l'instar de Paul Poiret qui supprima le corset en 1906, elle libère le corps de la femme. D'un coup de ciseaux libérateur, elle devient une des premières femmes aux cheveux courts à créer des vêtements simples et pratiques, dont l’esthétique s’inspire d'une vie dynamique

d'une audace nouvelle. Durant la première guerre mondiale, les femmes sont mobilisées et remplacent donc les hommes dans diverses activités, de ce fait, elles portent des pantalon car cela est plus pratique. Au même moment, le corset disparaît et Paul Poiret s'en félicite: "C'est au nom de la liberté que je préconise la chute du corset". La silhouette féminine se libère. En 1915 et 1916, les couleurs des vêtements sont sombres à cause des nombreux deuils et souffrances du pays. De 1917 à 1920, en ville

pour les personnels de maisons mais chanel dit que non la couleur noire n'est pas seulement pour le deuil, le noir est une couleur d'elegance. Mais le probleme est que a ce moment la ca a fait un scandale a cause de sa couleur et la taille donc Paul Poiret egalement un couturier francais dit que chanel vient d'inventer le fait de la pauvrete du luxe. Le fameux Christian Dior apres que Coco Chanel a rendu la pettite robe noire un symbole a travers le monde dit que: La petite robe noire est un élément

complet : « GABRIELLE CHANEL » ; la boutique ne désemplit pas. En 1915, à Biarritz, elle ouvre sa troisième boutique et première vraie maison de couture. Suivant sa seule inspiration, elle raccourcit les jupes et supprime la taille. A l'instar de Paul Poiret qui supprima le corset en 1906, elle libère le corps de la femme. Ses boutiques bénéficient de la clientèle de toute la société élégante qui s’est repliée pendant la guerre dans ces deux stations balnéaires. La haute couture est née !!! Depuis la