Poiret

de cela, elle quitta la pension pour retourner chez son père. Mademoiselle Michonnau : C'est elle qui dénonce Vautrin, avec la complicité de Poiret, à Gondureau pour 2000 frcs. Pour cela, elle le drogue et le frappe sur l'épaule pour voir réapparaitre son immatriculation. A la suite de ce fait, Vautrin fût emprisonné, et après un vote à l'unanimité. Poiret est un de ses meilleurs amis, peut-être plus même, puisqu'il la suit pour quitter ensemble la pension. Bianchon : Jeune étudiant en médecine

indépendantes juxtaposées évoquant l’action de Rastignac s’oppose la longueur languissante de la phrase : «Le travail, compris comme vous le comprenez en ce moment, donne, dans les vieux jours, un appartement chez maman Vauquer, à des gars de la force de Poiret ». - Vautrin présente un côté paternel : « jeune homme », utilisation d’impératifs, « jugez », « il faut », il s’accorde le don de pouvoir lire dans ses pensées comme un père prévoit la réaction de son fils.(utilisation du discours indirect libre:

et physiquement aux funérailles. Poiret,pensionnaire de la pension Vauquer: Poiret est un ancien employé administratif. Il occupe un appartement au deuxième étage de la pension Vauquer. Sa seule source de revenus est une petite pension de retraite. Poiret n’a aucune culture et son langage est très prosaïque. En effet, il ne fait que répéter bêtement et sans réfléchir les propos des gens qui l’entourent. Son imbécillité est une raison qui explique que Poiret fait partie des victimes. Sans arrêt

va créer « La Gazette du Bon Ton », revue qui disparaît en 1925. C’était une revue de luxe, qui publiait des gravures d’artistes (Georges LEPAPE), des illustrations (Léon BASKT). Les modèles des couturiers étaient photographiés et représentés (Paul POIRET, Lanvin, Jacques DOUCET, Chanel). On illustre le luxe, l’élégance, le bon goût à la française. De grands poètes vont également intervenir dans ces revues (Jean COCTEAU, Raymond RADIGUET). Lucien VOGEL va également créer en 1922 « Le Jardin des Modes »

la société concurente HEPELBRUN, Monsieur Poiret et la société HEPELBRUN ont saisi le tribunal de grande instance de Nanterre à l’encontre de la société Schépar.Cette dernière ayant résisté, les 2 parties ont arrêté une transaction : La Société Schépar règle 5 340 euros à Hepelbrun et monsieur Poiret.Elle s’engage également à verser par le futur 760 euros par non respect de la propriété de la marque seltex. En contrepartie Hepelbrun et monsieur Poiret renoncent à toute poursuite ou assignation

de cent sous, vont filer comme des soldats à la maraude. Après, que ferez-vous ? Vous travaillerez ? Le travail, compris comme vous le comprenez en ce moment, donne, dans les vieux jours, un appartement chez maman Vauquer, à des gars de la force de Poiret. Une rapide fortune est le problème que se proposent de résoudre en ce moment cinquante mille jeunes gens qui se trouvent tous dans votre position. Vous êtes une unité de ce nombre-là. Jugez des efforts que vous avez à faire et de l'acharnement du

Père Goriot, il lui prêta même quelque sous. Sans oublier le personnage de Mlle de Michonneau, qui joue le rôle « d'agent secret » assistés de M. Poiret, dans l'affaire Vautrin. Elle semble être une femme plutôt froide et antipathique (« son regard blanc donne froid »). Mlle de Michonneau est toujours accompagnée du personnage de M. Poiret, tout deux pensionnaires de la Maison Vauqer. Cet employer travaillant dans un bureau est quelqu'un de passionné mais plutôt simple d'esprit. Il est souvent

PLAN : INTRODUCTION 1. Un habit passe partout 2. L’émancipation des femmes durant l’entre-deux guerre 3. Comparaison avec Paul Poiret CONCLUSION INTRODUCTION Coco Chanel (Gabrielle Bonheur Chanel) est une créatrice de mode née le 19 août 1883 à Saumur. Elle grandit en Corrèze, puis part vivre à Paris pour se lancer dans la chanson. Elle ne récolte pas un franc succès, alors

l’automne 1819. Dans cette pension tenue par Mme Vauquer se trouvent des pensionnaires et  des habitants du quartier qui viennent seulement y souper. Les pensionnaires les plus présents sont : Eugène de Rastignac, le père Goriot, Vautrin, Monsieur Poiret, Mademoiselle Michonneau… Eugène de Rastignac, personnage central de l’œuvre, est un jeune noble provincial et désargenté dans lequel sa famille a placé tous ses espoirs. C’est un jeune homme ambitieux qui veut intégrer le monde noble parisien. Grâce

donnant du sens aux objets et pas seulement aux vêtements. Le créateur prend alors conscience du rayonnement de son nom et de la possibilité d’élargir sa clientèle avec des produits nouveaux dans des domaines différents. Aussi, dès les années 10, Paul Poiret crée du mobilier, signe des papier-peints 1 ou élabore des parfums 2 . Jeanne Lanvin, qui commença comme modiste, développe des collections pour jeunes filles puis des collections de couture et se diversifiera avec des collections pour homme. La place