Poison

était judicieux pour lui de choisir le colchique, car cette plante suggère symboliquement la fin d'une passion amoureuse car cette plante contient un puissant poison qui tue, tout comme l'amour déçu qu'Apollinaire porte à cette femme. Le colchique, plante vivace, contient dans son bulbe un poison: la colchicine. On peut faire un lien entre ce poison et le titre du recueil alcools car tous les deux ont le même effet, ils « empoisonnent ». Il n'y a aucun doute: Apollinaire assimile le colchique à une femme

Mais qu'avez-vous fait là ? Parle, je te l'ordonne ! Ce n'est pas du poison, cette affreuse liqueur ? Dis ? Ruy Blas. Si ! C'est du poison. Mais j'ai la joie au cœur. Tenant la reine embrassée et levant les yeux au ciel. Permettez, ô mon Dieu, justice souveraine, Que ce pauvre laquais bénisse cette reine, Car elle a consolé mon cœur crucifié, Vivant, par son amour, mourant, par sa pitié ! La Reine. Du poison ! Dieu ! C'est moi qui l'ai tué ! – je t'aime ! Si j'avais pardonné ?

Aveu de Phèdre qui se sent coupable Elle boit un poison qui entraîne une mort progressive : elle meurt sur scène en faisant son aveu Situation de l’extrait : Nous assistons en effet à un dénouement hors du commun qui présente au spectateur une mort en direct. L’héroïne, Phèdre, livre un aveu qui s’avère

Montague Roméo, leur fils Benvolio, cousin et ami de Roméo Abraham et Baltazar, les serviteurs Autres personnages Frère Laurent, moine franciscain et confesseur de Roméo Frère Jean, moine franciscain Un pharmacien qui vend du poison à Roméo Un chœur qui lit le prologue des deux premiers actes Acte I L´entrée est faite par une chorale qui présente les deux familles et leur rivalité. On trouve Tybalt et Benvolio qui se battent... comme d´habitude à chaque fois qu´ils

on peut en relever toute une série : « toute sa fureur » (vers 672), « poison » (vers 675), « Je m'abhorre encor plus que tu ne me détestes » (vers 678), « Cet aveu si honteux » (vers 694), « Faibles projets […] trop plein » (vers 697) et enfin « supplice si doux » (vers 708). Ces hyperboles accentuent la fureur de Phèdre, sa haine envers elle-même, sa honte, sa faiblesse ou encore comparent l'amour qu'elle ressent à un poison. En résumé, cela donne une autre grandeur aux sentiments présents dans

passion : « La dentelle, la fleur, la lettre, c'est du feu ! ». Le bouquet desséché, le morceau de dentelle tâché de sang sont là pour évoquer la malédiction de l’amour. On retrouve les champs lexicaux de la mort et de la douleur : qui se meurt, poison, martyr, affligé et une prière à la vierge, à Jésus. Il y a aussi une idéalisation de l’amour, et la reine s’adresse à l’absent (début de la scène) avec une prosopopée (idéalisation, projection des sentiments). L’amant apparaît comme un héros (sang

auxiliaire sans effet thérapeutique notable destiné à permettre la mise en forme des substances actives. On leur donne aussi le nom d’additif (aromatisant, colorant, édulcorant), adjuvant, véhicules. Epoque gouverné par la notion de poison : Pharmakon = médicaments = poison C’est la dose qui fait la différence. Il n’y a jamais de prise de médicaments sans RISQUE. SupExam Marseille – 115, rue Sainte Cécile – 13005 Marseille – Tél. : 04.91.78.70.42 Ecole privée d’Enseignement Supérieur agréée par le

Tombeau (passege significatif) p190 Juliette est prête à se suicider mais Frère Laurent lui propose un sratagègène : poison qui va la faire passer pour morte .Mais il y a un Premier contretemppuisque que le lettere que devait recevoir Roméo pour l'avertir n'a pas été reçu .Roméo se précipite à Vérone et va au tombeau, désespéré.Parie intervient mais est tué par R.Boit le poison trouvé chez l'apothicaire, arrivé de Frère Laurent trop tard. C'est une scène tragique , puisque terrifiante et de nuit

first object he could find and started hitting the old woman with it. The poison was making him weaker and weaker by the minute. He took a moment to catch his breath and looked at the object. It was covered with blood, but he could still see what it was, it was a picture frame with a picture of her and her son? He really does look like her. The old woman got back up again, spit out a tooth and told him that the poison was still spreading in his body, that it won't take long for him to be dead

conquérir ma liberté » v. 14, « secourir » (v. 16), « te délivraient » (v. 22). Personnification du « poison » et du « glaive ». Seule issue symbolique: la mort souhaitée de cette femme (strophe 4). Impossibilité d’échapper à cet « esclavage » ( strophes 5 et 6). Passivité du poète. Poème qui s’achève sur une note de désespoir : Le poète semble dans l’impossibilité de s’en sortir. Ce sont le poison et le glaive qui lui rappellent une contradiction essentielle : il aime ce qui génère sa souffrance