Poison

N° 8 - 1er trimestre 2011 Publication officielle du Centre Anti Poison du Maroc Ministère de la santé Maroc l’intoxication par les drogues - N° 8 - 1 Toxicologie Maroc au Maroc Dossier spécial er trimestre 2011 - 1 Edito Le difficile et l’urgent combat contre la toxicomanie Directrice de Publication Pr Rachida Soulaymani Bencheikh Comité De RéDaCtion Rédactrice en Chef Dr Naima Rhalem Secrétaire de rédaction Mme Rachida Aghandous Rubrique institutionnelle Dr Hanane Chaoui

I- L’utilisation d’un mythe que le poète renverse Pour dire que l’amour est un poison dont il faut s’éloigner, Apollinaire réutilise le mythe de la femme fleur déjà utilisé par Ronsard. Mais dans cette comparaison, l’amour de la femme est toujours une souffrance. A- La fleur présentée comme un poison Les colchiques sont des plantes des prés qui sont un poison violent pour les hommes et les animaux. Le verbe « s’empoisonne » revient deux fois dans le poème. Une correspondance s’établit entre

que j’étais pauvre comparativement à elle » (p.53). Mais si Pauline vit son mariage avec Horace comme un conte de fée, il est de courte durée car elle se pose beaucoup de question, elle est inquiète. Son mari va l’emprisonner dans un caveau avec du poison. C’est Alfred qui va à son secours, il s’occupe d’elle, il est son protecteur. Il part avec elle en Angleterre et se fait passer pour son frère adoptif (chapitre 5). A la fin du roman, Alfred et Horace se battent dans un duel au pistolet. Horace meurt

trafiquant d'armes) J'suis comme une bulle de champagne, venue d'en bas, je veux crever à la surface" ~Nekfeu--Source: Égérie C) Un rapprochement avec la grèce antique et la littérature dionysiaque ALCOOL= « EMPOISONNER SES SENS »=> LA CIGÜE à poison athénien qui était

Deux quintils et un distique en octosyllabesCors de ChasseNotre histoire est noble et tragiqueComme le masque d’un tyranNul drame hasardeux ou magiqueAucun détail indifférentNe rend notre amour pathétiqueEt Thomas de Quincey buvantL’opium poison doux et chasteÀ sa pauvre Anne allait rêvantPassons passons puisque tout passeJe me retournerai souventLes souvenirs sont cors de chasseDont meurt le bruit parmi le ventGuillaume Apollinaire, Alcools, 1913Cors de Chasse· La métaphore cors de chasse

I- L’utilisation d’un mythe Pour dire que l’amour est un poison dont il faut s’éloigner, Apollinaire réutilise le mythe de la femme fleur déjà utilisé par Ronsard. Mais dans cette comparaison, l’amour de la femme est toujours une souffrance. A- La fleur présentée comme un poison Les colchiques sont des plantes des prés qui sont un poison violent pour les hommes et les animaux. Le verbe « s’empoisonne » revient deux fois dans le poème. Une correspondance s’établit entre les vaches et le poème

m'était doux ») La femme est rayonnante et brûlante, donc dangereuse (« poison »), comme le soleil ou le feu dans la cheminée, et rafraîchissante comme les soirées estivales ou les sorties nocturnes sur un balcon. Cette alternance entre le chaud et le frais, l'intérieur et l'extérieur, parsème tout le poème et s'exprime par de nombreux oxymores et antithèses (« soirs illuminés », « soleils… chaudes soirées », « Ô douceur ! Ô poison !). II) La douleur de la rupture A. La nostalgie de l'amour - L'emprise

sorcières, acharnés à faire le mal mais de les mettre hors d’état de nuire. Inspirés par Satan et les esprits mauvais, ils sèment la maladie, la ruine, la terreur et la mort. Ils ne respirent que la haine, la jalousie et la destruction. Par le poison et les maléfices, ils détruisent la santé mentale et physique des personnes, leurs affaires, leur commerce, leurs cultures, l’entente et la paix des familles. Seigneur, mets un terme à l’insolence de Satan et de ses serviteurs et servantes, les

Lecture linéaire 1 (ob3)IntroComment le poète sublime-t-il une charogne en en faisant un objet transfiguré ?I/ Une rencontre inattendue (v.1-4)II/ La description répugnante d’une charogne (v.5-20)III/ La métamorphose (v.21-32)IV/ Le retour prosaïque à la réalité (v.33-36)V/ Un memento mori (v.37-48)- dans ce poème, alternance vers longs-vers courts (alexandrins et octosyllabes)-alternance rimes masculines et féminines-poème classique mais modernité et liberté avec l’utilisat° de rimes pauvres et

pardonne !Mai qu'avez-vous fait là? Parle, je te l'ordonne !Ce n'est pas du poison, cette affreuse liqueur ? Dis ?RUY BLAS                       Si ! c'est du poison. Mais j'ai la joie au coeur.Tenant la reine embrassée et levant les yeux au ciel.Permettez, ô mon dieu, justice souveraineQue ce pauvre laquais bénisse cette reine, Car elle a consolé mon coeur crucifié,Vivant, par son amour, mourrant, par sa pitié !LA REINEDu poison! Dieu! c'est moi qui l'ai tué! - Je t'aime!Si j'avais pardonné?...RUY BLAS