Politique D Austerite Et Dette Publique

la compassion. Les femmes, les malheureuses femmes, on n’a pas l’habitude d’y songer beaucoup. On se fie sur ce que les femmes n’ont pas reçu l’éducation des hommes, on les empêche de lire, on les empêche de penser, on les empêche de s’occuper de politique ; les empêcherez-vous d’aller ce soir à la morgue et de reconnaître vos cadavres ? Voyons, il faut que ceux qui ont des familles soient bons enfants et nous donnent une poignée de main et s’en aillent, et nous laissent faire ici l’affaire tout seuls

vicieux; Si cela t'étonne! Vis et laisse au feu L'obscure infortune. ô ! joli château! Que ta vie est claire! De quel Âge es-tu, Nature princière De notre grand frère! etc. Vers nouveaux Je chante aussi, moi : Multiples sœurs! voix Pas du tout publiques! Environnez-moi De gloire pudique... etc.. ni Juin 1872. JEUNE MÉNAGE1 La chambre est ouverte au ciel bleu-turquin a , Pas de place : des coffrets et des huches! Dehors le mur est plein d'aristoloches Où vibrent les gencives des lutins

la compassion. Les femmes, les malheureuses femmes, on n’a pas l’habitude d’y songer beaucoup. On se fie sur ce que les femmes n’ont pas reçu l’éducation des hommes, on les empêche de lire, on les empêche de penser, on les empêche de s’occuper de politique ; les empêcherez-vous d’aller ce soir à la morgue et de reconnaître vos cadavres ? Voyons, il faut que ceux qui ont des familles soient bons enfants et nous donnent une poignée de main et s’en aillent, et nous laissent faire ici l’affaire tout seuls

la compassion. Les femmes, les malheureuses femmes, on n'a pas l'habitude d'y songer beaucoup. On se fie sur ce que les femmes n'ont pas reçu l'éducation des hommes, on les empêche de lire, on les empêche de penser, on les empêche de s'occuper de politique; les empêcherez-vous d'aller ce soir à la morgue et de reconnaître vos cadavres? Voyons, il faut que ceux qui ont des familles soient bons enfants et nous donnent une poignée de main et s'en aillent, et nous laissent faire ici l'affaire tout seuls

ennuis et des habitudes contractées. Il feuilletait des brochures sous les arcades de l'Odéon, allait lire la Revue des Deux Mondes au café , entrait dans une salle du Collège de France, écoutait pendant une heure une leçon de chinois ou d'économie politique. Toutes les semaines, il écrivait longuement à Deslauriers, dînait de temps en temps avec Martinon, voyait quelquefois M. de Cisy. Il loua un piano, et composa des valses allemandes. Un soir, au théâtre du Palais−Royal, il aperçut, dans une loge

ennuis et des habitudes contractées. Il feuilletait des brochures sous les arcades de l’Odéon, allait lire la Revue des Deux Mondes au café, entrait dans une salle du Collège de France, écoutait pendant une heure une leçon de chinois ou d’économie politique. Toutes les semaines, il écrivait longuement à Deslauriers, dînait de temps en temps avec Martinon, voyait quelquefois M. de Cisy. Il loua un piano, et composa des valses allemandes. Un soir, au théâtre du Palais-Royal, il aperçut, dans une loge

mauvais d'avoir une contrée à soi..." Roman-feuilleton méconnu, Les Mystères de Marseille est inspiré des archives des tribunaux de Marseille et d'Aix-en-Provence. Il fournit un tableau parfaitement documenté de la réalité historique, sociale et politique de Marseille entre 1840 et 1848. À travers l'exploration d'une ville et des faits divers qui l'agitent, c'est toute une société que dévoile Émile Zola: aristocrates et bourgeois, armateurs et banquiers, notaires et prêtres, usuriers, employés, femmes

; seulement nous ferons la remarque que le lion de Numidie n’a rien perdu de son caractère antique. Il est encore de nos jours le plus formidable, et, s’il faut encore en croire le récit des naturels, le plus magnanime de son espèce. La division politique du royaume d’Alger formait, avant la conquête de 1830, trois provinces : Oran, à l’ouest ; Titery, au sud ; Constantine, à l’est. La province de Titery a pour bornes, à l’ouest, la rivière de Mazafran (30° 12’ longitude est), qui la sépare de celle

met en évidence dans ses ouvrages « la parenté intime du christianisme et du stoïcisme, c’est-àdire la base rationnelle, d’origine toute divine, de ces deux philosophies6. » C’est l’idée que Guillaume du Vair va renforcer, « philosophe et homme politique qui jouera un rôle important pendant les guerres civiles et les désordres de la Ligue : il essaiera de vivre le stoïcisme en citoyen, en patriote et en chrétien. »7. Du Vair se comporte comme un vrai disciple du Portique, même s’il s’inspire davantage

d'où qu'elles viennent. Elles lui seront singulièrement mesurées, parce que la vie n'accorde que parcimonieusement le bonheur, même à ceux qui ne demandent pas grand-chose. Il serait vain de rechercher une histoire des idées ou un enseignement politique, ou même une étude de moeurs provinciales à travers "Une vie"; ce que nous avons tenté de dégager nous a été vraisemblablement imposé par le texte plus que par l'auteur, et André Vial est dans la vérité, quand il écrit: "Une vie n'est autre chose