Politique des auteurs

nous allons découvrir son histoire et ses grands auteurs. Ensuite, nous verrons ses grandes caractéristiques comme le respect des règles, l’idéal humain et la quête de la perfection. Et finalement, nous arborerons son étendue. Le classicisme commence en 1635 avec la création de l’Académie Française permettant ainsi de codifier la langue. En 1674, Boileau écrit le  manifeste « l’Art Poétique ». Louis XIV s’y intéresse et finance ainsi les auteurs qui créent pour lui plaire, comme il le fait avec

déplorer les apparences et l’orgueil qui en découle. Ainsi, il est largement compréhensible que, dans la lettre VII, Platon ne fasse qu’une brève mention de sa famille. De ce fait, l’unique référence est qu’il avait de la famille dans les institutions politiques de l’époque. On peut voir alors une manière délicate de placer l’intérêt sur une autre personne que lui-même dans un premier temps. Certes, il parle de sa propre vie dans ce texte, mais, comme nous aurons l’occasion d’en parler ultérieurement, il

centré sur l’humain, a confiance en ses capacités et en particulier la raison. Auteurs : • Rabelais : Gargantua • Montaigne (philosophe) • Du Bellay (poète de la Pléiade) • Ronsard (poète de la Pléiade) Le Classicisme 17ème siècle Cette période a été appelée classique parce qu'elle se donnait comme idéal l'imitation des Anciens (=auteurs de l’Antiquité) dans la continuation de l’Humanisme. Les grands auteurs de l'époque classique, tels Corneille, Racine, Molière, La Fontaine, s'inspirent

L’objectif du cours est d’avancer sur ces questions et de mener une réflexion à partir de l’étude de trois œuvres : « Illusions perdues » de Balzac (1839) « Le compagnon du Tour de France » de Sand (1841) « Madame Bovary » de Flaubert (1857) Ces auteurs sont intéressants pour l’activité réflexive qu’ils ont menée sur leurs œuvres romanesques. Ils ont travaillé à la conception du roman. Sand noue deux dialogues successifs, d’abord avec Balzac et ensuite avec Flaubert, dialogues qui tourne autour du

Monsieur Michel Setbon Drogue, facteur de délinquance? D'une image à son usage In: Revue française de science politique, 45e année, n°5, 1995. pp. 747-774. Citer ce document / Cite this document : Setbon Michel. Drogue, facteur de délinquance? D'une image à son usage. In: Revue française de science politique, 45e année, n°5, 1995. pp. 747-774. doi : 10.3406/rfsp.1995.403573 http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/rfsp_0035-2950_1995_num_45_5_403573 Résumé La lutte contre

des idées et des sensibilités des sociétés humaines, aux fils des siècles. Un grand nombre d’œuvres a été au service de la libération de l’homme, dans des luttes concrètes, politiques ou sociales. Seuls, la mise en forme, le langage et les procédés diffèrent selon les genres. Mais elles sont toutes nées de la réflexion d’un auteur, et porte à priori à raisonner le lecteur, par des notions abstraites et morales, visant ainsi à susciter une adhésion. Il est en ce sens légitime de s’interroger sur les

MOUHTADI Page 1 sur 25 INTRODUCTION I) L’ancrage historique et sémantique de la notion de société civile A) Les conceptions classiques 1) La philosophie politique de l’état de nature a) Hobbes et Pufendorf : équation entre société civile et Etat b) Locke et Rousseau : début de la connotation économique de la société civile 2) L’économie politique de la société marchande a) Mandeville : légitimation du caractère économique de la société civile b) Adam Smith : théorisation de la société civile comme

débouché sur la Révolution Française de 1789. En effet beaucoup d’auteurs majeurs des Lumières ont été des auteurs français – Voltaire, Rousseau, Diderot, Montesquieu… Par la suite ce modèle a fait école de différentes façons. Citons le rayonnement du système médical français, le système juridique et comptable français qui a inspiré d’autres pays tels Espagne et Maghreb, les valeurs politiques de liberté qui ont inspiré la Révolution américaine. Il y eut aussi les discussions philosophiques fructueuses

fédéraliste » de Hamilton, Jay et Madison. Ces auteurs sont tous trois de la fin du XVIIIème et début XIXème siècle. L’ouvrage du fédéraliste fut publié en 1788. Alexander Hamilton était un homme politique, financier, intellectuel, officier militaire américain et juriste constitutionnaliste. Il fut également délégué influant de la Convention constitutionnelle américaine en 1787. Il fut le fondateur du parti fédéraliste. John Jay était un homme politique, révolutionnaire, diplomate et juriste américain

discipline jeune. >2nd moitié du XVIIIe siècle. Jean Baptiste Say : Quand une science est ancienne on ne s’occupe pas de son histoire (par exemple la physique qui remonte aux grecs..) Cet économiste avait réalisé un cours complet d’économie politique pratique. Il avait pour idée de donner une économie disponible aux praticiens. « l’histoire d’une science est une narration d’évènement elle ne peut être que l’exposé des tentatives plus ou moins heureuses pour recueillir et solidement établir