Politique en Syrie

une poussée vers le Sud des royaumes chrétiens = dilatations des royaumes existants. On parle de Reconquista. Les différents fronts = - Royaume ibérique. (Reconquista) - A partir de la Sicile, il y’a une poussée vers le Maghreb. - Le Proche-Orient = Syrie/Egypte, avec les Francs installés là-bas. - L’empire byzantin = appétit pour les Latins. Cet empire fait l’objet de tentative de conquêtes pour des raisons économiques & commerciales. - Enfin il y’a les royaumes de l’est. Une expansion contre les

stratégiques graves dans leur gestion de ces pays et en même temps les puissances occidentales malgré leur retrait de ces pays ont continué à exploiter la carte des minorités pour faire pression sur le régime en place . Exemple des kurdes en Irak et en Syrie est le plus évident : les américains et anglais ont joué la carte des kurdes contre le parti Baath «  champion de l'arabisme »  à l’époque ) Dans la partie occidentale du monde arabe ( Tunisie, Maroc, Algérie …) , la lutte contre l'occupant était

crises et où en somme nous aujourd'hui ? 3.sur les conséquences : sur le plan politique, géo politique, économique , diplomatique..... A travers cette ébauche de raisonnement le terme " le moteur" semble quelque peu réducteur... il ne peut y avoir de conflits entre deux commautés que si elles existent, ansi interrogeons-nous sur les origines de ses deux communautés: Sionisme: doctrine et mouvement politique dont le but est la construction, la consolidation et la défense d'un État juif en

sont disposés dans quatre pays : la Turquie, l’Iran, l’Irak et la Syrie, et c’est un peuple sans Etat, ce qui forment donc un foyer de tension permanent. La ligne de partage la plus déstabilisante est celle d’Israël et des pays arabes, mais les pays arabes sont aussi en rivalité permanente entre eux Les tensions sont aussi d’origine économique. L’eau est une ressource rare et provoque des tensions. Par exemple la Turquie, la Syrie et l’Irak se disputent le Tigre et l’Euphrate. Le pétrole est la plus

réagi aux profonds changements structurels qu’a connus l’Irak durant la dernière période du régime ba’thiste : bouleversements de la place du pays dans l’ordre politique et économique mondial et régional, déstructuration de son économie nationale, renforcement de la nature autoritaire de son régime et recrudescence de la violence politique. On se propose ici d’élucider les mouvements migratoires des Irakiens quittant leur pays, tendance qui se développe considérablement après 1990 alors que les flux

pour les Juifs. Ceux-ci sont de plus en plus nombreux à s’y installer. Après la 1ère guerre mondiale, l’empire ottoman disparaît et les grandes puissances coloniales renforcent leur présence dans la région : * La France reçoit un mandat sur la Syrie et le Liban * L’Angleterre reçoit un mandat sur l’Irak, la Jordanie et sur la Palestine. Les objectifs sont contradictoires : favoriser le développement d’un foyer national juif sans porter atteinte aux droits de la population arabe. Les Palestiniens

traitement des eaux usées et l'épuisement de la ressource par le pompage souterrain de sources non renouvelables ou d'extractions plus élevées que le niveau de renouvellement. Toutefois, on remarque souvent que cet aspect est amalgamé à des objectifs politiques découlant du développement économique et agraire. Ceci met en péril la ressource et les perspectives de développement économique futur. Un bel exemple nous est donné par l'Arabie Saoudite. Entre la fin des années 1970 et le début de la décennie

à l’Angleterre, dans le but de créer un contre-pouvoir musulman assez crédible pour stopper l’appel du sultan à une guerre sainte, dirigée contre les puissances Européennes. Ceci constitua le premier acte de courage politique britannique. La réflexion quant aux objectifs politiques de la Grande-Bretagne se poursuivit durant la commission Bunsen. Les Anglais concluent qu’ils se doivent de consolider leurs acquis diplomatiques dans ces régions de façon à conserver leurs intérêts économiques (commerce

mourut en 632, il n’avait pas donné de directive pour sa succession. Ses compagnons se réunirent et désignèrent Abu Bakr comme « calife » (d’un mot arabe signifiant à la fois successeur et lieutenant).Il avait la responsabilité de poursuivre l’œuvre politique du Prophète, afin d’organiser la vie de la communauté musulmane. Ainsi né le califat. Cette version sunnite des faits est rejetée par les chiites qui affirment que Mahomet a désigné de son vivant Ali, son cousin et gendre. Il existe un troisième

stratégique des Etats : 5.1. La théorie de la frontière appliquée aux fleuves et lacs : 5.2. L’eau et la défense du territoire : 5.3. L’eau, moyen offensif : 6. Un instrument politique : 6.1. Les ambitions géopolitiques régionales : 6.2. Le règlement de problèmes politiques territoriaux : 6.3. Un enjeu stratégique : 7. Les zones " hydro conflictuelles " majeures: 7.1. Le contexte le plus alarmant : le Proche et Moyen-Orient : 7.1.1. Affrontements