Politique Monétaire Keynesiens Et Monetaristes

ou de services qu’une unité monétaire permet d’acquérir. Cette réserve du pouvoir d’achat n’est pas possible en période d’inflation. Qualité de la monnaie : * La confiance : qualité première d’une monnaie, leur acceptation repose sur la confiance. * La stabilité de la monnaie : la stabilité des prix détermine la stabilité de la monnaie tant en interne qu’en externe. * Stabilité interne : Hausse des prix diminue le pouvoir d’achat d’une unité monétaire → perte de confiance des résidents

Article « L’efficacité de la politique budgétaire en économie ouverte » Munir A. Sheikh, Patrick Grady et Paul H. Lapointe L'Actualité économique, vol. 56, n° 4, 1980, p. 499-534. Pour citer cet article, utiliser l'information suivante : URI: http://id.erudit.org/iderudit/600944ar DOI: 10.7202/600944ar Note : les règles d'écriture des références bibliographiques peuvent varier selon les différents domaines du savoir. Ce document est protégé par la loi sur le droit d'auteur. L'utilisation des services

15/10/07 Mécanismes et macroéconomie monétaire Sujet : Les théories de l’offre de monnaie semble-t-elle rendre compte de manière pertinente de la réalité ? La crise financière survenue cet été a été le point de départ d’une prise de conscience sur les dangers d’une création monétaire sans limite à travers l’accord de crédits à des clients peu solvables dont les créances sont introduites sur le marché financier. Dans ce cas, le phénomène de création monétaire est qualifié d’endogène c'est-à-dire

partie : Keynes contre les Classiques Chapitre 1 : L’économie « classique » au sens de Keynes Chapitre 2 : L’analyse keynésienne Les ruptures keynésiennes La formation du niveau de l’emploi et du salaire réel Les déterminants de la consommation et de l’épargne Les déterminants de l’investissement Le rôle de la monnaie Schéma d’ensemble et conclusions en termes de politiques économiques Deuxième partie : Le modèle ISLM en économie fermée Chapitre 1 : L’exposé du modèle Origines, principes

LA POLITIQUE MONETAIRE D’INSPIRATION MONETARISTE La politique monétaire d'inspiration monétariste est destinée à neutraliser l'influence déstabilisatrice de la monnaie sur l'économie. I – LES PRINCIPES DE LA POLITIQUE MONETAIRE MONETARISTE -Les monétaristes sont par principe hostiles à toute intervention de l'Etat dans l'économie. -La flexibilité des prix est supposée assurer automatiquement l'équilibre sur les marchés, c'est-à-dire l'égalité entre offre et demande. - Ils affirment

Maynard Keynes. Pour les keynésiens, les marchés laissés à eux-mêmes ne conduisent pas forcément à l'optimum économique. En outre, l'État a un rôle à jouer dans le domaine économique notamment dans le cadre de politique de relance. Toutefois, l'importance de ce rôle varie avec les courants keynésiens et avec les traditions étatiques des différents pays. Les courants dominants actuels sont la synthèse néo-classique nommée aussi néokeynésianisme et la nouvelle économie keynésienne. L'influence du post-keynésianisme

LES CLASSIQUES ET LES MONÉTARISTES : LA NEUTRALITÉ DE LA MONNAIE Selon les classiques et les néoclassiques, la monnaie n’a pas d’influence sur l’économie réelle. Il n’y donc pas de relation entre la sphère réelle et la sphère monétaire. La monnaie détermine le niveau général des prix : c’est la théorie quantitative de la monnaie. Si on augmente la quantité de monnaie en circulation, on augmente d’un coup la demande globale. Puisque l’offre, elle, n’a pas bougé, le niveau des prix va augmenter

des marchés par la main invisible, elle a également rendu les pays plus méfiants face à l’inflation depuis l’hyperinflation Allemande. Après la crise, les gouvernements suivent de plus en plus les idéologies Keynésiennes et l’Etat prend une place importante dans l’économie par les politiques budgétaires. Les objectifs à atteindre pour avoir une situation économique favorable sont ceux du carré magique de Nicholas Kaldor avec une balance commerciale excédentaire, une forte croissance, un chômage nul

n° 2 LES GRANDS THÈMES DE L’ITB > 2008 Les théories économiques INTÉRÊT DES THÉORIES ÉCONOMIQUES Les politiques économiques n’appliquent pas directement les théories économiques, mais elles les reflètent, et l'on y retrouve les grands clivages de la science économique, notamment l'opposition entre "classiques" et "keynésiens". L’ÉVOLUTION DE LA PENSÉE ÉCONOMIQUE L'essor économique qui prévaut à partir du XVIème siècle s'accompagne d'une réflexion sur les mécanismes de ce développement. ·

Delphine FerrandGroupe A3 | Le principe contra-cyclique dans les politiques de relance keynésienne : fondements et critiques | | | Dissertation d’analyse économique | 2008-2009 | Problématique : Quels sont les fondements et critiques des politique de relance keynésienne dans le principe contra-cyclique ? | A la fin du XIXème siècle a lieu la « Révolution marginaliste ». L’école Néoclassiques devient alors la principale école de pensée. L’Homme est parfaitement rationnel, il