Politique Monétaire Keynesiens Et Monetaristes

C. Conséquences de la création monétaire et politique monétaire Les économistes s'opposent sur la question de l'impact de la monnaie sur les flux réels, autrement dit sur le volume de la production, de la consommation, de l'emploi. 1 L’analyse libérale Doc. 15 poly la vision des quantitativistes 52 L’approche présentée dans ce texte est dite « quantitativiste » car elle attribue un rôle clé à la quantité de monnaie en circulation dans l’explication de l’inflation. 53 Émission de

nécessite quelques modifications. c. Diverses interprétations : Keynésiens versus monétaristes Les keynésiens se considéraient comme détenteurs de l’analyse de la courbe de Phillips jusque dans les années 1970. En effet l’approche keynésienne montrait qu’il existait un arbitrage entre l’inflation et le chômage. La courbe de Phillips était un outil de régulation, puisqu’elle permettait de savoir s’il fallait adopter une politique de relance (augmentation des dépenses publiques pour favorises la

La politique monétaire Qu'est-ce que la politique monétaire ? La politique monétaire consiste à agir sur l'activité économique par l'intermédiaire de la quantité de monnaie en circulation et /ou du taux d'intérêt. Depuis le 1° janvier 1999, la politique monétaire des pays ayant adopté l'euro est placée sous la responsabilité de la Banque centrale européenne (BCE) qui décide des mesures destinées à agir sur les conditions de financement de l’économie.  Les banques centrales nationales sont

une certaine impuissance de la politique budgétaire, une montée des PO, l’augmentation des déficits publics, et l’échec des politiques de relance, très forte instabilité de la courbe de Phillips. Le monétarisme a été relayé à partir des années 1980 par le monétarisme II, que l’on a appelé rapidement la nouvelle économie classique, ou le courant des anticipations rationnelles. Cette école va encore plus loin que Friedman dans la remise en cause de la politique conjoncturelle. I- Le

------------------------------------------------- Chapitre 3 : le modèle IS-LM On va se placer dans un régime de chômage keynésien. Comme la source de problème c’est la contrainte de débouché il faut augmenter la demande de biens et de services par une politique efficace, savoir laquelle sera l’objet de ce chapitre. Nous allons étudier l’efficacité des politiques économiques de relance de la demande : budgétaire et monétaire. On l’étudier au moyen du modèle IS/LM. Il y a tout d’abord la condition IS (introduite par John

« dette » • Financement des déficits publics : monétaire ou obligataire ? • Pertinence économique du financement monétaire • Le financement monétaire est praticable… parce qu'il est pratiqué ! • Les marchés de capitaux, ou la structure d'une tutelle délirante • La possibilité du financement monétaire… et ses risques • L'architecture institutionnelle du « compromis de financement monétaire » • Rendre la politique économique à la démocratie Questions: 1) Pourquoi

La politique monétaire Introduction générale : Après avoir analysé dans la partie précédente la notion de la monnaie, ses fonctions ainsi que sa création, il convient maintenant de s'interroger sur les interventions des pouvoirs publics dans le domaine monétaire, autrement dit sur les moyens qui permettent à la banque centrale de réguler l'émission de monnaie en fonction des objectifs de politique économique. Il est clair que pour exercer une telle action, l'institut d'émission doit

« Le principe contra cyclique dans les politiques de relances keynésiennes : fondements et critiques » INTRODUCTION : La révolution keynésienne a totalement remis en question le credo libéral. On peut considérer John Maynard Keynes comme le fondateur d'une des constructions intellectuelles les plus importantes de notre siècle. La pensée keynésienne est basée sur le fait de considérer que la demande effective (c'est-à-dire le niveau de consommation et le niveau d'investissement) détermine

investisseurs, alors que les marchés financiers ne participent pas assez au financement de l'économie. Ils préconisent enfin, dans une économie mondialisée, le recours aux politiques orthodoxes favorables au profit et à l'épargne. Les auteurs sont convaincus que « la crise mêle de manière indissoluble les causes réelles et monétaires ». 1. FRAGILITÉ DES EXPLICATIONS TRADITIONNELLES DE LA CRISE PAR DES CAUSES EXCLUSIVEMENT ÉCONOMIQUES A. Les interprétations schumpétérienne et régulationniste de

Sans titre-1Quelles sont les limites de la théorie keynésienne d’après les monétaristes Avec l’ensembles des bouleversements mondiaux et les changements qu’ont frappés l’histoire, l’approche keynésienne est devenue incapable et faible de maitriser l’économie au lieu de crée l’emploi il crée le chômage, au lieu d’assurer la stabilité des prix elle crée l’inflation, et donc la parenthèse de l’Etat providence va se fermer totalement, et on va ouvrir une autre consacrée principalement aux néo-libéraux