Politique nationale

de la nomenclature de programmes a. Principes généraux On procèdera à ce découpage en s’inspirant des principes suivants: • • • • • • • • • • On s’assurera en premier lieu de la cohérence entre l’architecture de programmes et l’articulation des politiques publiques du ministère. La structure de programmes retenue doit permettre d’identifier facilement une « chaîne de responsabilité » pour la gestion du programme ; elle doit donc être transposable dans la structure administrative du ministère. Le

Elle sous-tend la doctrine stratégique américaine et le Marine remarquera que son manuel de combat se présente explicitement comme une re-lecture de Clausewitz à la lumière de ces théories 1. Une telle approche est théorisée par l'Institute for National Strategic Studies et l'on pourra consulter utilement l'ouvrage de Barry D. Watts " Clausewitzian Friction and Future War " 2 ou l'article de Linda P. Beckerman, " The non linear dynamics of war " 3. Aux concepts newtoniens se substituent dans

est éditée en 1989. L'Europe sociale est alors une Europe qui accorde des droits aux travailleurs, on ne va pas plus loin. Le traité de Maastricht (1992) prévoit la mise en place de politiques visant à promouvoir un niveau d'emploi et de protection sociale élevée : c'est la première fois qu'on évoque les politiques communautaires. Il est aussi prévu le relèvement du niveau et de la qualité de la vie, ainsi que la cohésion économique et sociale, ou la solidarité entre les États membres. Ces ambitions

Populismes : la pente fatale, de Dominique Reynié Fiche de lecture Dans Populismes : la pente fatale, Dominique Reynié, professeur à Sciences Po et directeur général de la Fondation pour l’innovation politique, aborde un thème difficile à traiter qui est le populisme. Il propose une analyse très détaillée de ce courant, et introduit la notion de populisme patrimonial. La thèse du livre peut se résumer dans son titre : le populisme est une pente fatale pour nos sociétés européennes. D. Reynié

58 sera influencé par la pratique du pouvoir. Par des usages. Ces usages vont accentuer l’originalité de cette Vème république. C’est la pratique du pouvoir, les usages développés par le GDG. C’est l’étude du texte et la manière dont les hommes politiques vont utiliser les textes, cela va donner une interprétation de cette Vème république. Les hommes au pouvoir ont marqué la Vème. Cette constitution a bien entendue connu des évolutions, des modifications notamment dans l’union européenne. Ou une

subventionnée par l'Etat 2. La médiatisation à outrance qui s'est développée dans nos démocraties amène à ce que certains nomment une « dérive médiatique » 1. L'inversion du rapport entre médias et pouvoir politique, « crétinisation » de l'information 2. Vedettisation du politique, collusion et dérives Résumé Si gouverner consiste pour certains à « réfléchir, élaborer et concerter en secret », depuis quelques décennies, cette vision est devenue quelque peu irréalisable du fait de

REPUBLIQUE OU L’INVENTION DE LA VIE POLITIQUE MODERNE En matière d’institutions politiques, l’époque contemporaine commence pour la France en 1789. De 1789 à 1875, la France a connu 13 constitutions écrites. Certains de ces textes n’ont jamais été appliqué notamment la constitution de 1793 ou la constitution sénatoriale de 1814, d’autres sont des modifications d’une constitution existante (constitution de l’an 10 et de l’an 12). Certains régimes politiques ont fonctionné sans constitutions (comité

RESPONSABILITES POLITIQUES PREMIER MINISTRES: Les responsabilités des membres du Gouvernement sont de plusieurs ordres. La responsabilité politique des membres du Gouvernement n’existe, en principe, qu’à l’égard de l'AN. En effet, le Gouvernement peut être renversé à la suite d’une question de confiance posée par lui, ou d’une motion de censure déposée par les parlementaires. Dans ce cas, la responsabilité ne peut être que collective. Mais, en cas de faute grave, un ministre est individuellement

projet est d’alimenter un large débat public sur les politiques à mettre en œuvre dans le futur proche et lointain, et ce à la lumière des enseignements de l’expérience des réussites et des échecs du passé. Cette offre de débat est animée par une triple conviction : La destinée de notre pays est entre nos mains. Notre pays est à la croisée des chemins. Il a aujourd’hui les moyens de s’engager résolument sur la voie d’une grande ambition nationale, partagée par tous, et articulée autour du développement

française : la nation se construit sur la base d’une volonté de vivre ensemble, fondée sur un passé partagé. Ernest Renan, dans sa célèbre conférence de 1882 intitulée "Qu’est-ce qu’une Nation ?", pose, quant à lui comme critères de l’appartenance nationale, « le désir de vivre ensemble, la volonté de continuer à faire valoir l’héritage qu’on a reçu indivis ». Selon lui, « l’existence d’une nation est un plébiscite de tous les jours ». Mais la définition complète de la nation n’allie-t-elle pas éléments