Politique Rigueur Relance

en 2008 ( 1,7% en 2001) grâce au recul des prix du pétrole, selon les chiffres de l’Insee. Or depuis depuis la crise de 2008 , on nous explique que le grand danger qui nous menaçait, c’était la déflation, d’où la nécessité absolue des plans de relance keynésiens par la demande. Cela a été fait. Aujourd’hui, il est tentant de nous vanter l’utilité de l’inflation pour sortir de la crise. En effet pour rembourser leur dette à moindre frais, les Etats pourraient, à l'horizon de trois ans, laisser

PENSEES ET POLITIQUES ECONOMIQUES Introduction : Problème : une pensée économique non-unifiée, différents courants, différents auteurs, différentes théories…, d’où les sciences économiques. Il n’existe aucun consensus entre les auteurs. Thomas KUHN en 1962 a écrit « La structure des révolutions scientifiques ». Il s’intéresse au fonctionnement des communautés scientifiques. Dans les sciences dures, il existe un consensus entre les chercheurs avec le même noyau d’hypothèses, un cadre commun

(augmentation des coûts technologiques, politique de hauts salaires, fort prélèvements fiscaux etc.). → baisse des profits des entreprises en 60's et la consommation ralentie. → Baisse des investissements, pas de création d'emploi, moins de développement. Alors que d'autres pays sont à la pointe de la recherche et concurrence l'Europe ( Taïwan, Hong-kong, Corée du Sud, Singapour : 4 dragons ) C. échec des politiques anti-crises 1- L’échec des politiques keynésiennes → La plupart des gouvernements

essentiellement par la stimulation de cette demande effective, par le biais d’investissements publics financés par le déficit budgétaire (mise en route du multiplicateur keynésien), d’une politique de redistribution des revenus en direction des ménages ayant la propension marginale à consommer la plus élevée ou encore une politique fiscale favorisant ces mêmes ménages. Dans la logique de Keynes, le financement des dépenses publiques par déficit budgétaire se justifie car in fine les recettes fiscales devraient

achète à l’étranger et plus cher. Il ne faut donc pas en abuser. -début années 80 : changement de gouvernement Mitterrand. Politique de relance Keynésienne : augmentation du SMIC, allocations familiales… etc., pour augmenter la demande afin de donner des débouchés à l’entreprise pour faire redémarrer l’activité économique. Mais la France était le seul pays à faire une relance (relance isolée). Donc augmentation très rapide des importations car les entreprises françaises n’étaient pas capable de couvrir

gouvernements disposent ………… pour agir sur les fluctuations économiques : - On distingue les politiques conjoncturelles qui sont des politiques de court terme et les politique structurelle qui sont des politiques de long terme. Si les gouvernements sont en charges de la politique budgétaire, ce sont les banques centrales qui se chargent de la politique monétaire dans la plupart des pays. Ces deux types de politiques visent à agir sur la situation économique par la demande globale. Elles sont dites expansives

CHAPITRE 12 LA POLITIQUE ECONOMIQUE DE L’ETAT MOTS CLES - Déficit budgétaire - Dette publique - Effet d’éviction - Effet Boule de neige - Effet multiplicateur - Fonctions allocation, redistribution, stabilisation - Friedman M. - Keynes J.M - Hayek F. - Laffer A. - Marchés contestables - Nordhaus R. - Politique budgétaire - Politique fiscale - Politique industrielle - Politique monétaire - Principe d’équivalence (Ricardo-Barro) 380 PLAN I. LES POLITIQUES CONJONCTURELLES

CHAPITRE 12 LA POLITIQUE ECONOMIQUE DE L’ETAT MOTS CLES - Déficit budgétaire - Dette publique - Effet d’éviction - Effet Boule de neige - Effet multiplicateur - Fonctions allocation, redistribution, stabilisation - Friedman M. - Keynes J.M - Hayek F. - Laffer A. - Marchés contestables - Nordhaus R. - Politique budgétaire - Politique fiscale - Politique industrielle - Politique monétaire - Principe d’équivalence (Ricardo-Barro) 380 PLAN I. LES POLITIQUES CONJONCTURELLES A. La politique budgétaire B

économique, favorable à des dépenses publiques. 1) Le succès du Keynésianisme. Le courant s’impose. Augmenter les dépenses de l’Etat, relance basée sur la consommation. Mise en équation, avec ISLM BP. Théorème d’Haavelmo : Un budget peut stimuler la croissance si les dépenses progressent plus vite que le PIB. Grosse influence sur la classe politique. Expérience des années 30 : efficacité du New Deal Légitimité. 2) Le succès de l’Etat providence. Les visions Keynesiennes dominantes

plan de relance massif. Le PIB s'est redressé en 2010, avec une croissance estimée à 1,6% qui devrait se maintenir à ce faible niveau en 2011. La reprise a été essentiellement soutenue par le rebond du commerce mondial Dans la perspective des prochaines élections présidentielles de 2012, la politique économique menée par le gouvernement Sarkozy vise la reconquète d'un électorat mécontent. Priorité est également donnée au rétablissement des finances publiques via une politique de rigueur budgétaire