Politologue

La guerre froide oppose entre 1947 et 1991 les deux superpuissances nées de la Seconde Guerre mondiale : les États-Unis et l'Union des Républiques Socialistes Soviétiques (URSS). Le grand philosophe et politologue français Raymond Aron a parfaitement défini cette confrontation d'un genre nouveau en parlant de 1947 comme d'une période de « paix impossible, guerre improbable ». La paix est « impossible » car les deux grandes puissances mondiales veulent toutes deux imposer des idéologies radicalement

conquête du pouvoir se fait aussi parfois de manière violente . L’exercice du pouvoir dépend souvent de la façon dont il a été conquis . Dans un cadre démocratique, le pouvoir s’exerce dans le respect des lois en vigueur . Le politiste (ou « politologue ») cherche à comprendre comment s’organise la vie politique . Il s’agit donc de se demander ici : Comment s’organise la vie politique ? Nous verrons dans une première partie les principales spécificités du pouvoir politique (I), puis dans une

ainsi en mesure de répondre adéquatement à la demande croissante qu’elle enregistre. Ce nouvel edifice permettra également d’accueillir plus d’étudiants des deuxième et troisième cycles et offrira de la formation continue à un plus grand nombre de politologues, historiens, psychologues et autres. Plus de 1200 personnes - professeurs, chercheurs, étudiants - bénéficieront des meilleures installations dans un environnement agréable et stimulant pour l’enseignement et la recherche, ainsi que le développement

des partis d'extrême droite dans les majorités de gouvernement local, régional et national ainsi qu'à ne pas appeler ses électeurs à reporter leurs voix » sur le FN13. Historique[modifier | modifier le code] L'historien Nicolas Lebourg et les politologues Pascal Perrineau, Philippe Braud, Joël Gombin et Marc Crapez14 estiment que la stratégie du front républicain ne fait l'objet d'aucune tradition alors qu'elle est couramment présentée comme telle. Pour Nicolas Lebourg, « il y a en fait diverses

départ une forme de gouvernement liée à la personnalité d'un homme. Toutefois, on ne peut réduire le stalinisme à Staline, pas plus d'ailleurs que le nazisme à Hitler. Parallèlement, le nazisme est considéré par la plupart des historiens et des politologues comme un fascisme, et même comme la forme la plus aboutie du fascisme. Le fascisme est moins une doctrine qu'un ensemble de comportements gouvernementaux autoritaires, qui ont pour particularité la place prééminente d'un chef tout-puissant à la

l’action de l’armée française. Avec de tels appuis, l’historien a pu être qualifié ensuite par la presse la plus sérieuse – comme l’Agence-France-Presse (AFP) — d’« érudit », d’« intellectuel hypercultivé », d’« historien et politologue »,« docteur en histoire », « politologue » [2] et « l’un des meilleurs analystes de la droite française » [3]. Gageons que ces compliments vont se raréfier dans les colonnes. Il est vrai qu’il vaut mieux flatter Patrick Buisson que dire, comme je l’ai fait à propos

instance tierce pour en assurer la régulation. L’identité du pouvoir politique, c’est de gérer des rapports sociaux, de les réguler de façon à maintenir l’équilibre de fonctionnement de la société et d’assurer sa reproduction, sa pérennité. 2 politologues : Denni et Lecomte vont définir le pouvoir politique comme le système de régulation indispensable à la vie d’une société tissé de relations conflictuelles. La révolution industrielle a pour conséquence de modifier les caractéristiques de la

empêche un affrontement militaire. Paradoxalement, cet «équilibre de la terreur» stimule tout de même la course aux armements. Les phases de tensions alternent avec des périodes de détente ou de réchauffement des relations entre les deux camps. Le politologue Raymond Aron a parfaitement défini le système de la guerre froide dans une formule qui fait mouche: «paix impossible, guerre improbable». La guerre froide s’achève finalement de fait en 1989 avec la chute du mur de Berlin et l’effondrement des

Ce document est un recueil d’articles réalisé par Franck Mermier, anthropologue, et Elisabeth Picard, politologue et tous deux spécialistes du Moyen- Orient, retraçant un portrait panoramique du conflit de l’été de 2006. Il se compose de quatre parties : le bilan de la guerre, ses conséquences sur l’échiquier politique libanais, la répercussion sur la relation israélo-libanaise et sur la communauté internationale. Les textes sont tirés de nombreux auteurs dont certains experts renommés

structure parce qu’il a un adversaire structuré, en l’occurrence les libéraux.” Dans les deux cas, il y a un trait commun : la prise de conscience qu’un ou plusieurs enjeux divisent et qu’il faut s’organiser en conséquence. Mais comme l’explique le politologue du CRISP, il ne faut pas exclure une 3e cause : celle de la dissidence. On a ainsi vu naître de nombreux partis dans cette logique : le parti communiste, les partis d’extrême-gauche, la Lijst Dedecker, pour citer les premiers qui viennent à l’esprit