Polyandrie

monogame. Dans un certains pays comme le nôtre est pratiqué le mariage d'un homme avec plusieurs femmes, on parle alors de polygamie. En de très rares contrées, asiatiques, on pratique le mariage d'une femme avec plusieurs hommes, il s'agit alors de polyandrie. Le mariage est une union à vie dans certaines religions et à durée indéfinie qui ne s'achève qu'avec le divorce ou après le décès de l'un des conjoints. Cette union peut être civile lorsqu'elle est actée par un officier d'Etat civil mandaté

plusieurs maris. Les hommes ne pouvaient en effet refuser cette double union, les épouses étant suffisamment rares pour prétendre choisir leurs époux. Cela en allait de plus de la survie du clan. Si la polygamie du chef était exclusive à ce dernier, la polyandrie, elle, était monnaie courante et étendue à l’ensemble de la société. Néanmoins un point commun avec nos sociétés modernes occidentales : l’inceste était également prohibé dans ces communautés « sauvages ». Néanmoins, l’institution maritale avait

nos choix sont en parti dicté p129 « Nous n'inventons jamais nous-même notre façon de vivre ». Berger va une nouvelle fois reprendre Gehlen p129 sur « le caractère apparemment irrésistible de ses impératifs ». L'Homme va rejeter par exemple la polyandrie ou la polygamie car p129 « elles lui paraissent littéralement impensables ». En effet, pour lui, seuls les actes prédéfinis par les institutions seront à suivre p129 « les seuls dont il soit on ontologiquement capable ». Mais cette théorie a

(Etude sur l’Inde ; suite) → déficit féminin suite aux infanticides (estimés à 6M / an) et maltraitance des petites filles1, surtout dans le Nord du pays, à cause de facteurs culturels et économiques : transmission du patrimoine entre hommes, problème de la dot des filles, insuffisance ou absence d’un système de retraite → ce sont les hommes et leur épouse qui s’occupent de leurs parents → sex ratio (= indice de masculinité : confronte le nombre d’hommes et de femmes à un âge donné) très déséquilibré

système monogame. Parfois, plusieurs mariages peuvent être contractés simultanément avec plusieurs personnes en même temps ; le système est alors dit polygame. Le mariage polygame peut lier un homme avec plusieurs femmes : c'est la polygynie. La polyandrie désigne le mariage d'une femme avec plusieurs hommes, un type d'union polygame. Le mariage a été décrit par l'anthropologue Claude Lévi-Strauss comme le socle pratiquement universel de la famille : « La famille, fondée sur l'union plus ou moins

que nous avons présenté plus haut semble être le plus "cohérant ", il existe des pays, ou plutôt colonies où il n’est pas de même. Les toda des montagnes bleus, qui se trouvent en Inde. Cette société est organisée sur la polygamie des femmes, la polyandrie. Quand une femme épouse un homme, elle épouse aussi tous les frères. Les frères qui sont nées et ceux qui sont amené à naitre. Les toda ne se lies pas au lien du sang pour la paternité, mais sur une volonté d’acceptation. Père de l’enfant qui le

permet d’établir à la fois des liens d’alliance et de consanguinité qui sont à la base du système de parenté. Dans certaines sociétés, le mariage est strictement monogamique. Dans d’autres, la polygamie est autorisée, soit sous la forme rare de la polyandrie, soit fréquemment sous la forme de la polygynie. La règle la plus générale est celle de l’interdiction de l’inceste. Pour les ethnologues, la prohibition de l’inceste n’est en réalité qu’une application d’un principe de base des sociétés. Ainsi

prévoit une invalidité du contrat de mariage. B . Contraintes sociologiques Dans le droit français, la liberté matrimoniale va principalement connaître deux interdits. Dans un premier temps, la France prohibe la bigamie, la polygamie ou la polyandrie. Ce principe se retrouve dans l’article 147 du Code Civil. Il n’y a aucunes manières de déroger à ce principe. Le non respect de ce principe entraine une sanction civile, la nullité du mariage, mais aussi une sanction pénale, un an d’emprisonnement

monde chrétien devait régresser vers les mœurs des Romains de l’Antiquité qui pouvaient quasiment divorcer sur un coup de tête. Les nations, disait-il, « oublièrent plus ou moins la notion et la véritable origine du mariage ». « La polygamie, la polyandrie, le divorce furent cause que le lien nuptial se relâcha considérablement », avec pour résultat l’état « misérable » de la femme, « abaissée à ce point d'humiliation qu'elle était en quelque sorte considérée comme un simple instrument destiné à assouvir

matrimoniale est en jeu et le mari peut demander à ce qu’elle lui soit restituée. Beaucoup de sociétés considèrent que le prix d’une épouse se mesure à la valeur de sa virginité. On parle de polygynie quand un homme épouse plusieurs femmes et de polyandrie quand une femme épouse plusieurs hommes. La première union matrimoniale est appelée mariage primaire, les mariages contractés par la suite sont les mariages secondaires. Dans le cas d’union polygyne, toutes les femmes ont un statut d’épouse légitime