Polybe Livre 6

DE PARIS, LEIPZIG ET FLORENCE, DE LA SOCIÉTÉ DE LINGUISTIQUE DE PARIS, ETC. REVUE DE L’HISTOIRE DES RELIGIONS PUBLIÉE SOUS LA DIRECTION DE MM. RENÉ DUSSAUD ET PAUL ALPHANDÉRY PARIS ERNEST LEROUX, ÉDITEUR 28, RUE BONAPARTE (VIe) 1910 Livre numérisé en mode texte par : Alain Spenatto. 1, rue du Puy Griou. 15000 AURILLAC. spenatto@club-internet.fr D’autres livres peuvent être consultés ou téléchargés sur le site : http://www.algerie-ancienne.com Ce site est consacré à l’histoire de

noce, on en induit la paternité du mari de la mère (référence à l’a 312 qui trouve ces origines en droit romain : pater is est quem nuptiae demonstrant : le père est celui que les noces démontrent.) -selon les médecins grecs la grossesse dure entre 6 mois et 10 mois. Réserve : les choses sont un peut plus compliquées, il faut distinguer 2 périodes : *jusqu’au 1er siècle avant JC la filiation est soumise au bon vouloir du mari de la mère. Un enfant n’est légitime que si il y a mariage mais cette

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le but est le bien-être commun. La conséquence est que progressivement, la religion va être de plus en plus critiquée, ils souhaitent que la religion reste dans la sphère privée (nouveau courant religieux : protestantisme). Machiavel a écrit un livre sur des conseils concernant les politiques pour conserver le pouvoir (« Le prince »). S’il faut tuer alors tuons pour garder le pouvoir : théorie violente. En réalité, c’est beaucoup plus subtil, il leur conseille de rester au pouvoir, mais il faut

Ph. Raynaud et S. Rials (dir.), Dictionnaire de Philosophie politique, PUF, 1996, p. 29. 5. J. Procopé, « Théories politiques grecques et romaines », in J. H. Burns (dir.), Histoire de la pensée politique médiévale, PUF, coll. Léviathan, 1993, p. 23. 6. Sur l’intérêt du comparatisme diachronique et synchronique en droit, voir P. Braun, « Anthropologie juridique et droit à venir », in Droits en devenir, Pulim, 1998, p. 136 et s. ; sur l’intérêt de l’analyse historique : J. Gaudemet, Sociologie historique

divers auteurs contemporains : ils font la part belle aux auteurs grecs et tendent à ignorer l’apport de l’Egypte pharaonique, ou à isoler de l’héritage judéochrétien la pensée romaine, souvent jugée plus juridique que politique, à l’exception de Polybe et Cicéron, théoriciens de la « constitution mixte » de la République romaine. Une autre approche de l’histoire des idées politiques, plus restrictive encore, s’impose parfois dans les facultés de droit. Elle tend à limiter l’histoire des idées politiques

les stoïciens, disciples de Xénon. La pensée grecque va se diffuser dans tout l'empire car l'élite de la jeunesse romaine vient à Athènes faire ses études. De nombreux intellectuels grecs se rendront également à Rome. On citera notamment : POLYBE (205-125 AV JC) Un historien grec qui réside à Rome et qui écrit l'histoire de l'empire romain. Il fait l'éloge du système romain reprenant la théorie classique des cycles. Il explique que le mérite de la république romaine est d'avoir

au droit, il n’y a plus de coutumes. Il construise la Cosmopolis, cité universelle. Il intègre des cultures et des peuples différents en leur donnant une loi. Le droit fédère ses peuples. Le centre politique est Rome. B/Les penseurs romains 1/Polybe (205 à 125 av J.C) C’est un historien réputé, il fait l’histoire de la Grèce antique et l’histoire de Rome. Il croise une réflexion sur les régimes politiques à l’histoire. Il préfère les régimes mixtes. Pour lui, la République romaine est un régime

d’ailleurs aussi larges qu’on voudra, on ne détruira pas le caractère de compétition brutale, sanglante, entre deux quartiers, que présente clairement et avant tout la cérémonie, ni la forme et le sens guerriers du sacrifice que soulignent aussi bien Polybe (XII, 4 b) que Plutarque (Questions Romaines, 97) et le principal texte de Festus (s. v. october equus). Ainsi les quelques affectations économiques, rurales, qu’on peut alléguer se comprennent comme des extensions naturelles du service général de

épuiser tous les grossi par tant de humaine n'eût point suffi éléments. Chacune des dieût mérité, seule, visions lui de ce livre qu'on consacrât tout un ouvrage. Nous avons dû nous borner à une vue d'ensemble, à un exposé historique, plutôt que critique, des influences sont exotiques qui se manifestées dans notre 1* 6 AU LECTEUR littérature depuis les origines jusqu'à nos jours. En ce qui touche les origines^ les le nous avons som-