Polybe

Jocaste, le Corinthien «Œdipe : Ô RR7S CH7RE FEMME3….p 62 …Jocaste « Malheureux….bouche » p71 AUTEUR SOPHOCLE « ŒDIPE ROI » INTRODUCTION Cet extrait est un passage de……écrit par …….en. Le messager de Corinthe est venu annoncer la mort de Polybe, alors qu’Œdipe venait tout juste de révéler l’oracle terrifiant ( le 3e oracle évoqué dans la pièce) qui l’avait menacé de devenir parricide. A la surprise du messager, Jocaste a accueilli avec jubilation cette nouvelle qu’elle tient pour rassurante

enfant pour le pendre à une branche du mont Cithéron. C'est de la que viendrait son nom, Œdipe pour «Pieds enflés» Œdipe est sauvé miraculeusement: Polybe et Mériope, le roi et la reine de Corinthe, l'adoptent et l'élèvent comme leur fils. Œdipe grandit et, prit d'un doute sur sa famille, va consulter un oracle pour savoir si Polybe et Mériope sont ses vrais parents. L’Oracle de Delphes ne répond pas à sa question, mais le prévient comme il l'avait fait avec ses parents biologiques autre-fois

Il viendra. Mais ne suis-je pas digne, ô roi, d’apprendre moi J aussi ce qui te peine ? 217 Certes, je ne te le cacherai pas dans cette attente où je suis O car à qui me confier mieux qu’à toi en cette circonstance ? Mon père était Polybe, un Corinthien, et ma mère, Mérope, de la Doride. J’étais tenu pour le premier des citoyens quand survint un fait digne de surprendre : pendant un repas, en pleine ébriété, un homme pris de vin me traite d’enfant supposé.

chemins de Delphes et de Daulis. Mais Œdipe n’est pas satisfait pour autant. Il se souvient d’une époque lointaine, lorsqu’au cours d’une fête, un ivrogne avait raconté qu’il était un enfant trouvé. Pourtant, Œdipe a toujours cru que ses parents étaient Polybe et Mérope, roi et reine de Corinthe. Tourmenté par cette déclaration contradictoire, il était allé interroger l’oracle. Mais ce dernier, au lieu de lui répondre, prédit qu’il épouserait sa mère, engendrerai une descendance maudite et qu’il tuerait

mère. Ceux-ci, lorsque leur enfant ne, le donnent a un berger pour qu’il le tue (ils lui attachent les pieds, d’ou son nom : ouadipus qui veut dire pieds enfles). Mais le berger ne le tue pas, l’enfant sera adopte par Polybe, roi de Corinthe. Lorsqu’il grandit, il découvre que Polybe n’est pas son vrai père, et il s’en va. En route, il rencontre un vieil homme, avec qui il se querelle, et il finit par le tuer. Cet homme n’est autre que Laïos. Il arrive a Thèbes ou le sphinx ( ou la sphinge) inspire

une montagne afin de l’exposer aux bêtes qui finiront par le dévorer. Mais en chemin il croise par hasard la route des hommes de Polybe, roi de Corinthe. Ces derniers lui proposent de recueillir l’enfant et de le ramener à Polybe et sa femme qui rêvent d’en avoir un mais qui n’y parviennent pas. Le serviteur accepte et le jeune Œdipe est conduit jusqu’au royaume de Polybe. Durant toute sa jeunesse, il est élevé avec amour et abondance par le roi et la reine qu’il croit être ses vrais parents. Ils lui

: Sparte, une Constitution, la Retra, rédigée par Lycurgue, qui semblerait s’être fait dicté la constitution par les Dieux. Autre personnage, Polybe, grec, qui habite à Rome, parce que Rome a conquit la Grèce. Mais malgré la victoire militaire Romaine, la Grèce a conquit Rome intellectuellement, politiquement et religieusement. Au moment ou vit Polybe, il est persuadé que l’histoire du monde trouve sa réalisation finale dans l’empire Romain, qui a tout conquit. Mais en parallèle il constate que

l’autre côté de la scène. Le berger se dirige vers lui.BERGERToi, voyageur. Je te confie cet enfant orphelin aux pieds enflés, trouvé sur cette montagne. Amène-le à la cour de Polybe, qui pourra s’en occuper.VOYAGEURTrès bien, je m’apprêtais de toute façon à faire mon départ vers Corinthe.Cour de Polybe. Entre le voyageur et Polybe dans son palais.POLYBEQu’est-ce qui t’amène ici, étranger?VOYAGEURJe suis venu vous confier cet enfant aux pieds enflés. Le pauvre enfant a été trouvé sur une montagne, sans

cupiditate libertatis incenderetur, (Florus, I, 8). Voyez Zonare, et Denys d’Halicarnasse, Antiquités romaines, (IV). [M] D’ailleurs l’autorité du sénat était moins bornée dans les affaires du dehors que dans celle de la ville. [M] Voyez Polybe, livre X. [M] Note supprimée : Les Romains regardaient les étrangers comme des ennemis. Hostis, selon Varron, de Lingua lat., lib. IV, signifiat, au commencement, un étranger qui vivait sous ses propres lois. (Édition de 1734). Passage supprimé

marquée par le renouveau du royaume de Macédoine et le déclin de l’influence de la démocratie athénienne. SEANCE N°2 : Polybe, en grec ancien Πολύϐιος / Polúbios (vers 208 av. J.-C. à Mégalopolis – vers 126 av. J.-C.), général, homme d'État, historien et théoricien politique, est sans doute le plus grand historien grec de son temps. Issu d’une grande famille arcadienne, le jeune Polybe reçoit une solide éducation militaire. Il passe sa jeunesse près de Philopœmen, qui le forme dans l'art de la guerre