Polyclète

et symmetria désignent cette réalité. Un sculpteur grec (athénien), Polyclète, a réalisé un ouvrage qui dit comment sculpter un beau corps humain (devant ressembler Dieu à l’époque). Il a donné à cet ouvrage le titre de Canon. Par ailleurs, Polyclète a sculpté une statue conforme à l’ouvrage qu’il a rédigé, qui s’appelle, selon les vagues témoignages, le Doryphore. Cette sculpture a fini par prendre le nom de l’ouvrage de Polyclète, le canon. Cette sculpture a été célèbre dans l’histoire de la sculpture

représentation réaliste de l'anatomie humaine. A son époque il passait pour un faiseur de dieux. Né à Athènes peu après la bataille de Marathon, il est l'élève d'Hêgias et apprend la technique du bronze à l'école d'Argos, en même temps que Myron et Polyclète. Après avoir étudier à Argos il revient à Athènes , qui est à ce moment la gouvernée par l’homme d’état Cimon, Phidias exécute vers 460 une série de statues de dieux et de héros entourant le guerrier Miltiade pour l’entrée du sanctuaire de Delphes

Fulvie. Emilie pleure après avoir appris que Cinna compte y laisser sa vie et envoie Fulvie à sa poursuite pour lui demander de bien réfléchir à sa décision. Ce sera la mort de Cinna ou la main d’Emilie. Acte IV Scène I – Auguste, Euphorbe, Polyclète. Euphorbe apprend à Auguste le complot de Cinna et de Maxime. Celui-ci dit être mort, accablé par le remord. Euphorbe joue sur les sentiments d’Auguste pour le monter contre Cinna, ce qui ne faillit pas car il se trouve dévasté par la nouvelle

délicatesse de l’ovale de la mâchoire, une douceur qui peut confiner à l’androgynie. La coiffure est très proche de celle de l’Aphrodite de Cnide. C’est un Canon classique comme théorisé par Polyclète, la tête rentre 7 fois dans le corps, mais la musculature est beaucoup plus douce que dans les statues de Polyclète. Apollon s’appuie à un tronc d’arbre, qui fait partie de la composition, ce qui lui permet de dégager sa jambe libre derrière le talon de la jambe d’appui. Le poids du corps ne repose que

d'acrotères par le sculpteur Thimothéos d'Épidaure. La statue de culte chryséléphantine était l'œuvre du sculpteur Thrasymédès de Paros. Il n'en subsiste que le soubassement et la rampe d'accès, ainsi que deux exèdres[1]. Tholos La tholos, œuvre de Polyclète le Jeune, est un temple rond de marbre blanc du milieu du IVe siècle av. J.-C., à 26 colonnes doriques externes et 14 colonnes corinthiennes internes délimitant la cella. Le plafond à caissons était décoré de grandes fleurs sculptées, dont certaines

se trouvent les plus grands chantiers de l'époque : • Epidaure rassemble dans le sanctuaire d'Asclépios les meilleurs architectes du IVè : temple d'Asclépios (dorique 380-375), tholos de 360 et surtout le théâtre (330), ces deux derniers par Polyclète le Jeune. • A Tégée, Scopas reconstruit le temple d'Athéna Aléa (dorique - corinthien 350-340) et réalise celui de Zeus à Némée. |[pic]

correspondant grecs de lui envoyer des statues afin de décorer sa maison. - Les imitations (des objets) : (Cf. : diadumène de Polyclète). Le diadumène représente un athlète qui se prépare aux jeux. Celui-ci est en train de nouer un bandeau autour de sa tête. La statue présentée est une réplique du chef d’œuvre de Polyclète retrouvée dans une maison romaine (cette statue à souvent été retrouvée dans des habitations romaines). Mais, nous trouvons quand même en

ressort que Hippocrate, originaire de Cos et issu de la famille des Asclépiades, était un médecin contemporain de Socrate et des sophistes, qui enseignait la médecine moyennant salaire. A la fin du Ve siècle, il était aussi célèbre comme médecin que Polyclète d'Argos et Phidias d'Athènes, comme sculpteurs. Hippocrate voyagea en Thessalie et fit des observations sur des "pestilences". On lui attribue une soixantaine de traités médicaux, regroupé dans un "corpus hippocratique". Toutefois, ce dernier n'est

« technê », le savoir-faire individuel dans tous types domaines. Ils ont donc rédigé des traités sur le sujet. Le traité le plus connu est « Le Canon de Polyclète » (milieu du Vè siècle), ce sont des traités d’architecture, de peinture, de sculpture. Il s’agit d’un hommage à l’art, quel qu’il soit, et d’une valorisation du travail manuel. Polyclète y explique aussi la construction de sa sculpture idéale. Ces textes artistiques montrent un regain d’intérêt pour le travail manuel. * Les patrons

Cinna ou la Clémence d’Auguste Corneille Introduction I. Résumé de la tragédie II. Présentation des personnages – Cinna – Auguste – Emilie – Maxime – Livie – Fulvie – Polyclète, Evandre, Euphorbe III. Axes de lecture – L’influence de Scudéry – Souvenirs du passé – La transformation d’Auguste Introduction Cinna ou la clémence d’Auguste est une tragédie écrite par Pierre Corneille. Elle est représentée pour