Polyclète

Empereur de Rome. Tuteur d’Emilie. Cinna : Chef du complot contre Auguste, amoureux d’Emilie. Emilie : fille de Caius Toranius, amoureuse de Cinna. Maxime : Autre chef du complot. Fulvie : Confidente d’Emilie. Euphorbe : Affranchi de Maxime. Polyclète : Affranchi d’Auguste. Evandre : Affranchi de Cinna. Livie : Impératrice. Résumé Acte 1 : Emilie exprime son désir de venger son père (Caius Toranius) car l’empereur Auguste a proscrit et fait assassiner celui-ci. L’empereur considère

mythologiques et de la vie quotidienne avec la figure humaine au centre. -sentiment d'équilibre et d'harmonie : géométrie et proportions mathématiques, ordre, rationalité. -symétrie & harmonie des proportions -définition d'un idéal classique -canon de Polyclète : les proportions idéales du corps humain. -sculpture isolée pouvant être vue sous tous les angles. traitement des drapés (dit mouillés) et de la figure féminine. -art de la mimésis -réalisme > maniérisme : mouvement et émotions -art hellénique

esthétique. La nécessité des règles L'art suppose une maîtrise technique qui s'apprend dans les écoles : les règles qui gouvernent l'art sont donc en premier lieu, celles de son apprentissage qui est toujours mimétique. Ainsi une statue de Polyclète fut nommée La Règle parce que, par sa perfection, elle pouvait servir de guide à tout sculpteur. L'essence même de la beauté obéit à des règles. L'idée que ce que vise l'artiste est en lui-même ordonné devient une conviction au XVIIe siècle. Ainsi

cela correspond à la période classique. La période classique va de 490 avant Jésus-Christ à 338 avant Jésus-Christ. C'est Myron qui en est l'auteur. Myron est un sculpteur grec. Il est d'origine d'Eleuthères en Attique. Il était comme Phidias et Polyclète l'élève d'Hagéladas d'Argos. Il a exercé son activité surtout au milieu du siècle et principalement à Athènes. Il est bronzier et célèbre pour s'être attaché à rendre un mouvement. Les textes mentionnent plusieurs statues d'athlètes et de divinités

cherchait dans l'anatomie des plus beaux corps, autour des gymnases. Il s'agissait de trouver des formules mathématiques, révélatrices de l'ordre divin au sein de la nature, inscrites dans la nature elle-même. Ces réalisations ont abouti au canon de Polyclète (vers 440). Naturalisme et idéalisme ont donc fusionné dans la phase classique de l'art grec. Selon la formule de Bernard Holtzmann et Alain Pasquier 6 : « Au-delà d'une observation pourtant de plus en plus aigüe, le réel n'est [alors] qu'une figure

d'Apollon, Vénus et autres modèles grecs par ces artistes ont ainsi imposé leurs canons de beauté et d'harmonie, qui seront redécouverts et glorifiés par les artistes de la Renaissance. Avec sa célèbre statue, « Le doryphore » (porteur de lance), Polyclète avait entrepris de démontrer, par une « statue dont toutes les parties seraient entre elles dans une proportion parfaite », quels sont les rapports de grandeur dans lesquels la nature a placé la perfection des formes humaines. Il atteignit si bien

fondatrice de la gens des Iulii (par Enée) Elle représente Auguste l’empereur, dans une posture militaire, il porte le « paludamentum » qui est la toge portée par les chefs de guerre. Sa posture est inspirée du modèle grec (Doryphore de Polyclète) de sa taille idéale (sept tête) , de sa musculature apparente et de son nez dans le prolongement de son front (nez grec), la position de sa main nous rappelle également la statue grecque, qui semble tenir une lance. Sur sa cuirasse nous pouvons

le précédent. Ses colonnes ioniques, parées d'or, s'élançaient à plus de 18 mètres de hauteur et comportaient des scènes à caractère mythologique sculptées par les plus grands sculpteurs et architectes grecs tels que Scopas, Praxitèle, Phidias et Polyclète. Ce dernier sanctuaire abritait les statues d'Artémis et de Zeus où ces dieux étaient vénérés par la population grecque. Mais, pillé par une expédition de Goths venus de la mer Noire vers 262, il fut définitivement fermé par l'édit général de

afghanes l’encouragent plutôt à la pudeur en l’obligeant à se voiler ou à se cacher derrière une burqa. En dernier lieu, l’histoire des sociétés et des cultures a toujours cherché à façonner le corps de la femme selon des critères de beauté suprême. Polyclète, grand sculpteur grec du premier classicisme (Vème siècle av J-C.)et l’un des plus célèbres du monde de l’Antiquité, exigeait déjà que la tête devait se retrouver sept fois dans le corps pour avoir des proportions corporelles parfaites. Avec l’évolution

puis vieux = les liens se relâchent et lorsqu’ils se séparent ils libèrent l’âme.Cicéron  : la plus belle figure est la sphère, qui contient en elle toutes les figures. 4. LE CANON (PLYCLÈTE ET VITRUVE)Polyclète, Le Doryphore  : · La perfection s’obtient par de nombreux calculs et dépend d’un rien· La valeur est autour du petit· La réalisation est le plus difficile quand l’argile est dans l’ongle· La perfection résulte d’un grand nombre