Pont de Neuilly

besogne : elle nettoyait sa chambre, se raccommodait elle-même, si occupée, qu’elle ne se peignait souvent qu’à cinq heures. Cependant, elle sortait quelquefois par raison, emmenait l’enfant, lui faisait faire une longue course à pied, du côté de Neuilly ; et leur régal était de boire, là-bas, une tasse de lait chez un nourrisseur, qui les laissait s’asseoir dans sa cour. Jean dédaignait ces parties ; il se montrait de loin en loin, les soirs de semaine, puis disparaissait, en prétextant d’autres

besogne : elle nettoyait sa chambre, se raccommodait elle-même, si occupée, qu'elle ne se peignait souvent qu'à cinq heures. Cependant, elle sortait quelquefois par raison, emmenait l'enfant, lui faisait faire une longue course à pied, du côté de Neuilly ; et leur régal était de boire, là-bas, une tasse de lait chez un nourrisseur, qui les laissait s'asseoir dans sa cour. Jean dédaignait ces parties ; il se montrait de loin en loin, les soirs de semaine, puis disparaissait, en prétextant d'autres

besogne: elle nettoyait sa chambre, se raccommodait elle-même, si occupée, qu'elle ne se peignait souvent qu'à cinq heures. Cependant, elle sortait quelquefois par raison, emmenait l'enfant, lui faisait faire une longue course à pied, du côté de Neuilly; et leur régal était de boire, là-bas, une tasse de lait chez un nourrisseur, qui les laissait s'asseoir dans sa cour. Jean dédaignait ces parties; il se montrait de loin en loin, les soirs de semaine, puis disparaissait, en prétextant d'autres

besogne : elle nettoyait sa chambre, se raccommodait elle-même, si occupée, qu’elle ne se peignait souvent qu’à cinq heures. Cependant, elle sortait quelquefois par raison, emmenait l’enfant, lui faisait faire une longue course à pied, du côté de Neuilly ; et leur régal était de boire, là-bas, une tasse de lait chez un nourrisseur, qui les laissait s’asseoir dans sa cour. Jean dédaignait ces parties ; il se montrait de loin en loin, les soirs de semaine, puis disparaissait, en prétextant d’autres

besogne : elle nettoyait sa chambre, se raccommodait elle-même, si occupée, qu'elle ne se peignait souvent qu'à cinq heures. Cependant, elle sortait quelquefois par raison, emmenait l'enfant, lui faisait faire une longue course à pied, du côté de Neuilly ; et leur régal était de boire, là-bas, une tasse de lait chez un nourrisseur, qui les laissait s'asseoir dans sa cour. Jean dédaignait ces parties ; il se montrait de loin en loin, les soirs de semaine, puis disparaissait, en prétextant d'autres

besogne : elle nettoyait sa chambre, se raccommodait elle-même, si occupée, qu'elle ne se peignait souvent qu'à cinq heures. Cependant, elle sortait quelquefois par raison, emmenait l'enfant, lui faisait faire une longue course à pied, du côté de Neuilly ; et leur régal était de boire, là-bas, une tasse de lait chez un nourrisseur, qui les laissait s'asseoir dans sa cour. Jean dédaignait ces parties ; il se montrait de loin en loin, les soirs de semaine, puis disparaissait, en prétextant d'autres

Pékin voit comme une provocation le fait que les visiteurs soient accueillis à l’entrée du musée par un zero fighter (l’avion des kamikazes) et une des locomotives de la voie de chemin de fer de Birmanie (popularisée par le roman de Pierre Boule, Le pont de la rivière Kwai). C’est le caractère officiel des visites du Premier ministre Koizumi qui a déclenché l’ire de Pékin. Pourtant, celui-ci s’y rendait pour « prier pour la paix et en hommage aux morts sacrifiés ». On ne peut que constater la manière

Marseille Saint-Menet ont accueilli plusieurs classes de collégiens pour une visite de leurs installations. Des ateliers de démonstrations et d’expériences ont été proposés par nos ingénieurs des sites de Jarrie, sur le « Village de la science » de Pont de Claix, et de La Chambre, à la Galerie Eurêka de Chambéry, afin de faire connaître l’apport de la chimie au quotidien aux visiteurs de ces lieux. Du 4 au 7 décembre 2014, sous la nef du Grand Palais à Paris, ARKEMA était partenaire de l’exposition