Pontife

prochains pontificats, en effet certains cardinaux aussi sont gênés par le fait que ce geste retire au pape son côté sacral. Ceux-ci sont conscients que l’église qui traverse des temps troublés ne pouvait se permettre de conserver pendant des mois un pontife qui « ne répond plus » et qui « ne voyage plus ». Peu suspect d'irrespect envers Benoît XVI, ces cardinaux ont reconnus pourtant que ce geste « va affaiblir les pontificats à venir ». Doit-on désormais se demander si les prochains papes vont renoncer

la haine de ses nombreux ennemis qu'en se déguisant pour s'enfuir à Barcelone, d'où il reprit le bateau pour Naples. La roue tourna à la mort du pape Eugène IV en février 1447 : Valla était à ce moment à nouveau à Rome lorsque le nouveau souverain pontife, Nicolas V, le recruta comme secrétaire apostolique et le fit nommer à la Curie romaine. Désormais respecté pour son savoir, Valla conserva son crédit sous le règne de Calixte III. Publié en 1442, l’essai de Lorenzo Valla Sur la donation de Constantin

un caractère coutumier. Paragraphe 1 : un droit religieux A Rome, les premiers à avoir été en charge des questions juridiques du droit ce sont les prêtres. On appel les prêtres les pontifs. Le chef des prêtres à Rome s’appelait pontifex maximus ce qui est aujourd'hui le titre du pape qu’on appel le souverain pontif. Ces prêtres à Rome œuvraient dans le cadre d’une religion polythéistes : les romains étaient à la foi pieux et très laxiste avec leur religion. Il y avait de la religion partout mais

à -509) : Commence avec la fondation légendaire de Rome par Romulus er Remus et s’achève avec la chute du dernier roi, Tarquin Le superbe. Durant cette période, dt et religion ne sont pas distinct : la connaissance du dt est entre les mains des pontifes (prêtres) qui ont la maîtrise du calendrier judiciaire, ils déterminent les jours fastes (fas : ce que les dieux ont dit ou permettent) durant lesquels ont peut plaider. A contrario, les jours néfastes, tout procès est impossible. Le droit est réservé

-les pontifes qui veillent au respect des rites, consacrent les édifices et organisent le calendrier divin -A leur tête se trouve le Grand Pontife, nommé à vie et chef incontesté de la religion, -Les

dacique, pontife MAXIMO·TRIB·POT·XVII·IMP·VI·COS·VI·P·P· grand tribunitienne puissance 17e imperator pour la 6e fois, consul pour la 6e fois, père de la patrie AD·DECLARANDVM·QVANTAE·ALTITVDINIS pour faire savoir de quelle profondeur MONS·ET·LOCVS·TANT[ISOPER]IBVSSITEGESTVS « Le sénat et le peuple romain, à l’empereur César Nerva Trajan Auguste, fils du divin Nerva Auguste, germanique, dacique, grand pontife, en sa 17e

disparait en 476 après JC et l’empire byzantin. Droit inspiré à ce moment.Le droit était le monopole des pontifes (prêtre monothéistes), à l’époque les romains leur religion : paganisme. Seulement eux pouvaient rendre justice. Les jour fastes (peu faire procés) et jours néfastes (peu pas faire de procès.) A cette époque on distingue le fas ( droit des pontifes) et le us qui va échapper aux pontifes. Cette évolution va être accéléré par la royauté qui ne trouvent pas normal que seul prêtre connaissent

la poussée plébéienne, fut la société des prêtres. Ces pontifes, qui avaient si longtemps conservé le droit comme un secret, retinrent, même après la Loi des XII Tables, le secret des formules nécessaires pour intenter une action judiciaire, ou pour se défendre efficacement. En se trompant sur un seul mot (par exemple en parlant d'"arbustes" alors qu'il fallait dire "vignes", on pouvait perdre, définitivement! son procès). En outre les pontifes gardaient jalousement le secret des jours fastes et néfastes

d’espèce. Ce droit est confondu avec des considérations proprement religieuses. Aux origines de Rome les interprètes du droit romain sont des prêtres qui assurent à la fois la justice entre les hommes et les dieux qu’entre les hommes entre eux. Ces pontifes interprètent, apprécient, conseillent les citoyens dans l’adoption des actes juridiques qui ont également un fond religieux. Au fond ces prémices du droit romain se distinguent assez peu des autres doits. Cependant pour la première fois un peuple

des procès (les droits procédurales se développent durant ces procès). Les partifs enseignent les formules des réponses aux questions qui leurs seront poser mais également les gestes qu’ils doivent faire pour se voir accorder un droit. Ce sont les pontifes qui vont expliciter et dire les droits. Ils déterminent également le droit à l’occasion des conflits. Ils définissent également, une sorte de calendrier avec les jours faste (ou on peut plaider) et les jours néfaste (ou on ne peut pas plaider).