Porfirio Díaz

nombreux, soit entre 50 000 et 60 000 au moment de l'annexion américaine. La mise en valeur de ces terres lointaines du Sud s’accéléra avec le rapide accroissement de la main-d’œuvre et les facilités de crédit. En 1897, le président du Mexique, Porfirio Diaz, déclarait déjà que son pays était soumis aux États-Unis: «Si loin de Dieu et si près des États-Unis.» Vers 1810, la population du Mexique (6,1 millions) n'était que légèrement inférieure à celle des États-Unis (7,5 millions). En Arizona, 25 %

géographique, soutenu dans son développement technique par le voisinage des Etats-Unis, il est aussi, semble-t-il, très évolué du point de vue politique. La Révolution (la “Reforma”) de 1910, mettant fin à la dictature semi-féodale, semi-capitaliste de Porfirio Diaz, réalisa la réforme agraire, lutta contre l’influence réactionnaire du clergé, instaura le suffrage universel et la liberté de la presse, élabora une constitution parlementaire, se proposa un vaste plan de modernisation du pays. Plus tard, un homme

Président et général Porfirio Díaz vs Révolutionnaires (socialistes, anarchistes et nationalistes) La population, déjà mécontente de la mauvaise situation économique du pays de laquelle était responsable le parti au pouvoir, également mécontente de la réélection mystérieuse de celui-ci depuis 1876, en était à bout. Ça ne prendrait qu'une étincelle pour mettre le feu au poudre. La révolution mexicaine éclate alors en 1910 lorsque le président et général Porfirio Díaz du Mexique est accusé de

influence mondiale que l’on peut parler d’elles comme des « villesmonde » ou « métapole » : New York, Londres, Paris et Tokyo. « Pauvre Mexique , si loin de Dieu et si près des États-Unis », déclarait au début du XXe siècle le dictateur mexicain Porfirio Diaz. Il s’agissait alors d’expliquer la mauvaise situation de son pays. Aujourd’hui, vous pourriez utiliser cette phrase au contraire pour en prendre le contre-pied : si le Mexique est un pays du Sud qui monte en puissance, c’est bien perce que les

le Mexique s'engageait dans la Réforme, violemment anticléricale. En 1857, une nouvelle constitution était promulguée. Porfirio Díaz, au pouvoir depuis une trentaine d'années, voulait à nouveau se représenter à l’élection présidentielle de 1910, mais Francisco Madero annonça aussi sa candidature. Díaz fit emprisonner Madero, puis le relâcha. Les autorités déclarèrent que Díaz avait aisément et que Madero n'avait recueilli que quelques centaines de voix à travers tout le pays. De nombreuses personnes

l'intervention armée de la France, Angleterre et Espagne.  Napoléon III implante une monarchie dans une tentative de contrebalancer l'influence nord-américaine dans la zone. Maximiliano, archiduc d'Autriche, est couronné empereur.  1876 Le Général Porfirio Diaz, qui milita du côté des libéraux contre l'intervention française, prent le pouvoir et l'exerçe jusqu'en 1911. Pendant ces 35 années de dictature, le pays ouvre ses portes aux capitaux étrangers, l'économie se modernise mais les inégalités sociales

ont tout intérêt à ce que le Mexique se stabilise (et de manière générale l’ensemble de l’AL) et, du coup, petit à petit, la doctrine des USA vont être « les Amériques aux américains ». Election dans les années 1870 du président mexicains : Porfirio Diaz. Il est élu sur un programme démocratique basé sur la réforme agraire, revendication permanente en Amérique latine jusqu’en 2009 puisque 2% des propriétaire possédaient 99% des terres. Il crée des corporative et limite, de manière graduée, la

intervention française dans ce pays. * 28 mai 1864, Maximilian Ferdinand Joseph von Habsburg devient l'empereur Maximilien Ier du Mexique, il règnera jusqu'au15 mai 1867. À cette date Benito Juárez rétablit la république. * 21 novembre 1876, Porfirio Díaz s'empare du pouvoir suite à un coup d'État, il restera à son poste jusqu'au 25 mai 1911, Révolution mexicaine. ------------------------------------------------- Amérique du Nord[modifier] Jean-Jacques Dessalines, premier dirigeant d’Haïti après

sans domination des « bourgeois » sur les prolétaires. Au Mexique, on parlait également de « révolution mexicaine » et de « guerre civile mexicaine » pour qualifier les événements ayant commencé en 1910 suite à la réélection truquée du président Porfirio Díaz. Les paysans se soulevèrent contre les grands propriétaires et plusieurs groupes armés affrontèrent l'armée fédérale pendant plusieurs années. Ces factions ne formaient pas de groupe homogène comme les bolcheviques mais étaient de différentes inspirations

concernant le développement de l’industrie pétrolière, entre la phase que Kozul-Wright14 appelle la « golden age of international integration » (1870-1913) et celle de la globalisation qui se trouve en cours actuellement. Au début du siècle (dictature de Porfirio Díaz15), le développement des secteurs comme le pétrole et la modernisation de l’ensemble de l’économie ont demandé la participation massive et directe des capitaux étrangers et un démantelement du cadre institutionnel existant, en particulier concernant