Porfirio Díaz

attirent le public. Le Cid, qui sera joué en 1637 au Théâtre du Marais  sera un triomphe. La tragi-comédie est inspirée d’une pièce d’un auteur espagnol, Las Mocedades del Cid (La Jeunesse du Cid) de Guillén de Castro qui raconte les exploits de Rodrigo Diaz de Bivar, héros légendaire de Castille. Si la trame est la même, Corneille raccourcit sensiblement l’action et fait de ses héros des personnages caractéristiques de son temps, ce qui est perceptible dès les deux premières scènes. L’acte I présente

CONTRÔLE DE LECTURE : LE CID Nom et prénom : ………………………………………………………………….. NOTE : ………………/20 Soin / présentation/phrase : _____/ 1 point Langue/orthographe : _____/ 1point 1. Vous trouverez dans la liste suivante, des personnages de la pièce présentés par couples. Indiquez les relations (sociales, familiales ou sentimentales) qui les unissent l’un à l’autre. Chimène-Elvire : ………………………………………………………………………………………………… Chimène-Rodrigue : …………………………………………………………………………………………….. Chimène-Don Gomès : ……………………………………………………………………………………………

 Objet d’étude n°1, le théâtre: Expression orale Apprendre un rôle pour le 03/11 (veillez à choisir votre partenaire dans votre groupe d’AP du mardi en semaine B) Apprendre un rôle au choix et mettre en scène avec un partenaire qui vous donnera la réplique : 1. Tartuffe : Acte I scène 4 : Orgon, Dorine ou Cléante dans la scène du « pauvre homme ! » 2. Tartuffe : Acte III scène 2 : Laurent, Dorine ou Tartuffe dans la scène du faux-dévot. 3. Tartuffe : acte III scène 3 : Tartuffe ou Elmire dans

1492-1580 : L'Argentine indigène Christophe Colomb découvre en 1492 les Amériques. Jusqu'à l'arrivée sur le territoire sud américain du marin portugais Juan Diaz de Solis en 1516, le territoire que l'on appelle aujourd'hui Argentine était peuplé de communautés indiennes éparses. Il s'estime à environ 330 000 aborigènes regroupés en une vingtaine de groupes éthniques. Les habitants du Nord-Ouest, des sierras centrales et de la Mésopotamie pratiquaient l'agriculture quand le reste du territoire était

été transmis par les récits du conquistador Andrés de Tapia, par le biographe « officiel » de Cortés, Gómara, et surtout, par les chroniques de Díaz del Castillo. Sa version de ses origines est un récit pittoresque qui semble trop romantique et biblique pour être entièrement crédible, bien qu’il n’y ait aucune preuve infirmant cette histoire. D’après Díaz, La Malinche était l’aînée du seigneur de Paynala (près de l’actuelle Coatzacoalcos, alors à la « frontière » entre l’empire aztèque et les Mayas

de leur culture à l'époque coloniale. Les études de cette civilisation précolombienne se fondent sur les codex mésoaméricains, livres écrits par les autochtones sur papier d'amate, les témoignages des conquistadors, comme Hernán Cortés et Bernal Díaz del Castillo, les travaux des chroniqueurs du XVIe et XVIIe siècle, comme le célèbre codex de Florence compilé par le moine franciscain Bernardino de Sahagún avec l'aide de collaborateurs aztèques, ainsi que, depuis la fin du XVIIIe siècle, les recherches

había muerto ya en 1529, por documentos de las gestiones de su viudo para volverse a casar. Al parecer Malintzin falleció enferma de viruela por una epidemia que hubo en 1528 o 1529. Marina tuvo un papel relevante en la conquista de México. Bernal Diaz del Castillo, en su Historia verdadera , encomia repetidamente su compromiso con los conquistadores y su valor en la batalla. Recuerda también la alegría de los españoles cuando supieron que Marina había sobrevivido a la Noche Triste

de leur culture à l'époque coloniale. Les études de cette civilisation précolombienne se fondent sur les codex mésoaméricains, livres écrits par les autochtones sur papier d'amate, les témoignages des conquistadors, comme Hernán Cortés et Bernal Díaz del Castillo, les travaux des chroniqueurs du XVIe et XVIIe siècle, comme le célèbre codex de Florence compilé par le moine franciscain Bernardino de Sahagún avec l'aide de collaborateurs aztèques, ainsi que, depuis la fin du XVIIIe siècle, les recherches

non croyants. Ces croyances en plusieurs dieux et les rites auxquels se livraient les Aztèques déplurent fortement aux Européens. Mais ce qui a le plus marqué les conquistadors reste le cannibalisme dont ils ont été témoins comme le raconte Bernal Díaz del Castillo dans ses ouvrages. Les conquistadors s’étaient d’abord présentés en « amis » chez les Aztèques afin de pouvoir mieux les connaître et établir une stratégie, les conquistadors purent ainsi profiter de la générosité des Aztèques, qui n’hésitaient

brigantins de cesser de pilonner les maisons et les huttes et de se lancer à la poursuite des pirogues dans le but de capturer Cuauhtémoc vivant sans lui causer ni offense, ni humiliation mais en essayant tout simplement de le prendre ». Source : Bernal Díaz del Castillo, Historia verdadera de la Conquista de la Nueva España, 2e moitié du XVIe siècle, édition Porrúa, Mexico, 2005, p. 367. Después de la derrota española de la Noche Triste el 30 de junio de 1520, los conquistadores inician el asedio de