Port-au-Prince

 Commentaire de texte: Le traité de mariage de Marie Tudor et Philippe II d’Espagne (7 décembre 1553). Ce document est le traité de mariage du 7 décembre 1553, réglant les clauses liant Marie Tudor, nouvelle reine d’Angleterre et le prince Philippe d’Espagne. Ce document officiel doit être rédigé par chacune des deux parties concernées lors d’une union matrimoniale. Il s’agit ici d’un mariage diplomatique, à l’image de l’union d’Henri VIII, père de Marie Tudor, avec Anne de Clèves.

politique. Ce mouvement prend son essor au 15e siècle et se répand, grâce aux princes et aux papes, mais également grâce aux doges, banquiers et clercs. Cinq cours princières sont à étudier en Italie: Naples, Urbino, Milan, Ferrare et Mantoue. Le terme italien de corte pour désigner la cour princière désigne un endroit clos, une « cour ». Dans le contexte politique et social, la cour désignait l'espace habité par le prince mais également son épouse, sa maison, ses courtisans et ses officiels. Au

juxtaposition Adjectifs qualificatifs (citez des exemples) 2) Les hauts personnages de la cour a. Des personnages de haut rang : Duc de Nevers, prince de Clèves, le Vidame (responsable, administrateur d’un territoire soumis à la direction d’un évêque) de Chartre, le Duc de Nemours, la Reine Dauphine, Dames, Maîtresses, princes… b. Personnages valorisés par leurs carrières glorieuses : Champ lexical de la réussite, de la conquête : « vie glorieuse » « guerres » l1, « grands

broderies, fins diamants, rubis, turquoises, velours, de l’or, plume, jaspes, argent, acier, cuivre, rubis… Enfin, Gargantua porte des accessoires qui font de lui un prince en apparence tels que : l’épée, le plumet, le médaillon, la chaîne en or, les gants et les anneaux. Son apparence vestimentaire est là pour montrer qu’il est le prince et pas quelqu’un d’autre. Ensuite, Rabelais décrit à demi-mots la tromperie qu’il utilise dans sa description. Il avoue en effet, lors de la description de la ceinture

un jour , le jeune prince du royaume l'aperçoit par le trou de la serrure , parée par sa robe couleur du soleil , et en tombe aussitôt amoureux .Il se renseigne sur elle , mais on lui repend que c'est une souillon , qu'on nommait peau d’âne a cause de la peau dont elle s’habillait , et qu'elle étais, si sale et si crasseuse que personne ne la regardait ni lui parlais et qu'on ne l'avait prise que par pitié , pour garder les moutons . Rentré au palais de son père , le prince se laisse dépérir

Importance sociale des scarifications chez les Moose de Manga 
Les cicatrices permettaient une classification sociale divisant la société en nobles, princes ou esclaves selon le type de scarifications que l’on porte. 1. Le Marende : ce sont des cicatrices de la beauté, de l’élégance qui consistent à faire deux ou trois traits horizontaux sur la tempe. Ce terme Marende renvoit aux marense (teinturiers d’origine Sonrhaï) qui sont une catégorie socio professionnelle des moose. La relation avec

multiplie les expansions au récit tout sec et tout uni dont il a hérité. Il s'attarde aux descriptions du Pô, de la nature dans laquelle le prince s'égare, aux longs discours adressés aux courtisans et à Grisélidis, aux comparaisons élaborées, aux discours intérieurs, et surtout Grisélidis porte encore la marque du style précieux. Résumé : Un riche, beau, puissant prince, aimé de tous ses sujets, refuse de prendre femme car il pense que les femmes sont des hyprocrites qui ne présentent qu'un masque de

Luther n'admet que deux sacrements, ceux que Jésus a explicitement créés, le baptême et l'eucharistie. Cet accès à l'Ecriture doit être librement ouvert à tous et donc Luther traduit la Bible du latin en langue courante. Un chrétien a le devoir de porter assistance à l’Ecriture et de réprimander le pape et l’obliger à obéir. Que doit chercher et trouver un chrétien par l’étude personnelle ? Doc 3 Luther explique qu’un pape ou des prêtres n’ont aucune utilité. Le croyant doit lire lui-même la Bible

Clèves, les princes, ducs, et princesses parlent très peu mais ils regardent tous ce qui passe. Par conséquent, des ragots répandent dans toute la cour. ‘Le regard’ dans le roman de Madame de Lafayette, est utilisé dans des moyens différents pour démontrer la réalité de la cour du France dans la Seiziéme siècle, une analyse psychologique des émotions humaines, et de montrer qu’avec regard bien conçu, on peut cacher ses émotions ou avec un regard légèrement mal interprété on peut porter ses émotions

amoureux de sa propre fille. Demandée en mariage, la princesse, conseillée par sa marraine la fée, exigera des cadeaux insensés, puis s’enfuira du palais, revêtue d’une peau d’âne. Elle vivra pauvrement, loin du royaume, avant de rencontrer un jeune prince Ce conte de fées fut longtemps passé sous silence, et parfois même censuré parce qu’il aborde de front le tabou des tabous : l’inceste Le roi se résout à épouser sa fille. Prétextant la promesse qu'il a faite à sa femme défunte, il choisit d'épouser